Maroc Numeric Cluster et le cabinet d’études et de sondages d’opinion Averty ont livré les résultats d’une étude sur les canaux digitaux au Maroc afin de permettre aux entreprises locales une utilisation optimale du Digital dans la construction des liens avec leurs cibles.
3. Search engines
marketing*
* Le search engine marketing ou SEM regroupe l’ensemble
des techniques permettant de tirer un profit marketing et
commercial de l’activité de recherche d’informations sur
Internet qui s’opère sur les moteurs de recherche.
Source : www.definitions-marketing.com
4. Search Engine Marketing
Google au sommet…
Baidu en émergence
Google accapare la part du lion au
niveau mondial dans la liste des
moteurs de recherche les plus
consultés avec près de 78% de
part de marché.
Baidu, le moteur de recherche
Chinois gagne de position au
niveau mondial avec une part de
marché de plus de 13%, laissant
Bingau 3èmerang.
Google
77.73%
Baidu
13.60%
Bing
4.64% Yahoo!
0.41%
P a r t s d e m a r c h é d e s m o t e u r s d e
r e c h e r c h e - 2 0 1 8
S o u r c e : n e t m a r k e t s h a r e . c o m
La visite des moteurs de recherche
figure sur le top3 des activités en
lignedes marocains.
44% des marocains consultent les
moteurs de recherche au moins une
fois par semaine.
Google Consumer Barometer 2017
5. Search Engine Marketing
SEO* Google
toujours auTop#1
Les moteurs de recherche génèrent
51% du trafic du site web.1 De ce fait, le
SEO est un canal digital vital pour
garantir un bon classement sur les
résultats de recherche, et donc un
trafic plusimportant.
Google est à l’origine de 83% du trafic
généré via mobile.2 Les entreprises
ont donc intérêt à optimiser leurs
sites web pour être « mobile-
friendly ».
S o u r c e s : 1 - B r i g h t E d g e R e p o r t – 2 0 1 7 / 2 - n e t m a r k e t s h a r e . c o m
Google
82.72%
Baidu
15.07%
Bing
0.77% Yahoo!
0.88%
P a r t s d e m a r c h é d e s m o t e u r s d e
r e c h e r c h e v i a M o b i l e - 2 0 1 8
du trafic mobile est généré par
le moteur de recherche
Google.
SEO est l'acronyme de Search Engine
Optimization et peut être défini comme
l'art de positionner un site, une page web
ou une application dans les premiers
résultats naturels des moteurs de
recherche. En français, le SEO est désigné
par le terme de référencement naturel.
Source : www.definitions-marketing.com
6. Les tactiques du SEO ;
Perceptions des praticiens
Le on-page SEO est perçu comme la tactique
SEO la plus efficace et parmi les pratiques les
moins exigeantes.
48% de marketeurs à travers le monde le
considèrent comme la pratique la plus effective,
Alors que seulement 4.1% une tache difficile.
Le link-building est, par contre, accapare la part
du lion en terme de difficulté de mise en œuvre.
En effet 67.46 % des marketers le voit comme la
pratique la plus difficile a appliquer.
Search Engine Marketing
S o u r c e ; S E O s t a t s r e p o r t 2 0 1 7
On-
pqge
SEO
48.45
%
Réseaux
sociaux
1.65%
Link
building
14.96%
Création de
contenu
33.20%
Autres
1.73%
L e s t a c t i q u e s S E O l e s p l u s
e f f i c a c e s - 2 0 1 7
On-
page
SEO
4.10%
Réseaux
sociaux
3.20%
Link
building
67.46%
Création de
contenu
17.62%
Mots clés
1.73%
Autres
3.13%
L e s t a c t i q u e s S E O l e s p l u s
d i f f i c i l e s - 2 0 1 7
S o u r c e ; S E O s t a t s r e p o r t 2 0 1 7
7. SEO : Think local !
50% des consomateurs ayant conduit
une recherche locale via mobile ont
visité le magasin le même jour.et 34%
de ceux ayant cherché via desktop ou
tablette ont agit de même.
Les recherches locales conduisent à
plus d’achats comparativement aux
recherches non locales. En effet, 18%
des recherches locales via mobile se
sont achevées par un acte d’achat
Durant la journée contre 7% des
recherches non locales.
Search Engine Marketing
U n d e r s t a n d i n g C o n s u m e r s ’ L o c a l S e a r c h B e h a v i o r , G o o g l e , M a y 2 0 1 4
Ont effectué
l’achat
Ont effectué
l’achat
8. SEO et Contenu :
Vers la convergence
La recherche organique était la priorité numéro
un pour les répondants du sondage de BrightEdge.
Selon eux le SEO procure 51% du trafic de leurs
sites web.
La grande majorité des marketeurs (97%) sont
d’accord sur l’idée que le SEO et le contenu
marketing sont de plus en plus intégrés, ou se
convergent carrément en une seule fonction.
52% des répondants affirment qu’une stratégie
SEO bien maitrisée est critique pour le succès à
long terme du contenu marketing.
Search Engine Marketing
3.00%
64.00%
43.00%
Deux disciplines séparées
SEO et contenu deviennet de plus en plus intégrés
Ils ont en train de se convertir en une seule fonction
S o u r c e s : - B r i g h t E d g e R e p o r t
Voient que SEO et le contenu
marketing sont de plus en
plus intégrés, ou se converge
carrément en une seule
fonction.
10. La messagerie électronique:
Une croissance continuelle
Malgré l’expansion des réseaux et de la
messagerie instantanée, l’e-mail demeure très
populaire. Les statistiques1 dévoilent que le
nombre de comptes e-mail va passer de 1.7
comptes/individu en 2017 vers 1.86 en 2021. La
même source estime une croissance
exponentielle du nombre des e-mails reçus et
envoyés pour atteindre 320 milliards messages
en 2021.
D’autres statistiques2 montrent que bien avant
le début de 2019, on va compter plus de 3.8
milliards utilisateurs, soit 100 millions
utilisateurs additionnels comparativement à
2018. La courbe va continuer de monter pour
atteindre 4.3 milliardsutilisateurs en 2022.
Email marketing
E-mails
vers 2021
1 - S o u r c e :
E m a i l S t a t i s t i c s R e p o r t 2 0 1 7 - 2 0 2 1
Utilisateurs
vers 2021
2 - S o u r c e : s t a t i s t i c a . c o m
11. Email marketing
La ligne d’objet:
La 1ère impression est la bonne
La ligne d’objet d’un e-mail est la première
impression qu’un e-mail laisse et peut ainsi
conduire au succès d’une compagne emailing,
ou mener directement à un flop.
En chiffres, 48% des consommateurs ouvrent
les e-mails en prenant en considération la
ligne d’objet, ce qui se traduit par une
augmentation du taux d’ouverture.
La mauvaise impression semble avoir un
effet plutôt irréversible. 69% signalent les
spams en ne se basant que sur l’objet de l’e-
mail.
69%
S o u r c e : i n v e t p c r o . c o m
48%
12. Email marketing
Décalage entre perception
et réalité du marché
Les marketeurs sont en décalage avec ce que
leurs clients potentiels et réels attendent de
leurs compagnes e-mailing.
En effet, pour les praticiens perçoivent la
bonne réputation (38%) et le contenu
exclusive (29%) comme les plus effectifs
critères pour booster les sign-ups. En
revanche, les consommateurs de leur coté
cherchent les remises (45%), des échantillons
gratuits (35%) offres avec livraison gratuite
(35%) .
41% 41%
35% 33%
29%
21% 21%
17% 16% 14% 13%
8%
4%
50% 51%
23% 23%
6%
38%
4%
16%
12%
43%
38%
Ce quechercheles récepteursdes e-mails
Perception Consommateurs vs marketeurs
B2C Ce que les consommateurs aiment le plus dans un e-mail
D M A , M a r k e t e r E m a i l T r a c k i n g S t u d y , 2 0 1 7 , R o y a u m e U n i
13. Email marketing
Les e-mails transactionnels:
Une performance à ne pas rater
Les e-mails transactionnels (ou triggered emails)
constituent 4.6% de la totalité des e-mails envoyés au
premier trimestre de 2018.
Si ce type de e-mails ne représente que moins de 5%; ses
performances s’avèrent plus élevées par rapports aux e-
mails marketing (ou de masse).
Ainsi, le taux d’ouverture et le taux de clics des mails
transactionnels sont respectivement 60.2% et 91% plus
élevés par rapport aux e-mails de masse.
Conscients que les triggered emails affichent les
indicateurs de performance les plus élevés, les praticiens
ne ratent pas l’occasion pour en tirer profits en termes
d’expérience-client, de fidélisation, image de marque…
++
S o u r c e : Q 1 2 0 1 8 e m a i l t r e n d s a n d b e n c h m a r k s , E p i l s o n .
14. Email marketing
L’optimisation mobile :
Un « Must-Do »
Les internautes semblent exigeants
lorsqu'il s’agit de la qualité visuelle de
e-mails qu’ils reçoivent. La réaction la
plus populaire face à un email non
optimisé mobile est la suppression. 70
% des consommateurs suppriment
les e-mails qui s’affichent mal sur
l’écran mobile.
S o u r c e : C o n s u m e r V i e w s o f E m a i l M a r k e t i n g
Supprimer
31%
Désabonner
31%
Voir sur PC
23%
Ne sais pas
13%
Lire en tout
cas
3%
Les actions menéeslorsque un e-mail n’est
pas mobile-friendly- 2015
15. Désabonnement :
Question de fréquence
et de pertinence
Les consommateurs se désinscrivent
des programmes d’emailing parce
qu’ils se sentent envahis par des
messages ne correspondant pas à
leurs attentes et préférences.
La pertinence des emails ainsi qu’une
fréquence étudiée s’avèrent parmi
facteurs les clés d’une relation
durable.
Email marketing
Pertinence
31%
Fréquence
31%
Boite e-
mail
surchargée
23%
Moins interessé
de la marque
13%
Autres
3%
R a i s o n s d e d é s a b o n n e m e n t
d ’ u n p r o g r a m m e e m a i l i n g
S o u r c e : B l u e h o r n e t r e p o r t
C o n s u m e r V i e w s o f E m a i l M a r k e t i n g
17. Social Media marketing
Utilisateurs
Facebook
en Oct, 2018
2 - S o u r c e : s t a t i s t i c a . c o m
Utilisateurs
des media sociaux
en 2018
1 - S o u r c e : s t a t i s t i c a . c o m
Les réseaux sociaux
Une croissance continuelle
En 2017, 71% des internautes étaient des
utilisateurs des social media et sont
sensés continuer de croitre.
L’expansion du mobile a ouvert aux les
réseaux sociaux les possibilités de
développer des fonctionnalités avancées
tels les services géo-dépendants.
Avec plus de 2 milliards utilisateurs actifs
mensuellement, Facebook est en ce
moment le leader du marché en termes de
couverture et de portée.
18. Facebook toujours au top1#
Instagram en forte croissance
Au titre de 2018, Facebook, Instagram, et Twitter sont
les top3 des plateformes utilisées par les marketeurs,
avec une leadership de une semble garder sa
longueur d’avance.
Comparativement à 2017, cette année a connu des
changements notables notamment pour Instagram qui
a sauté du 4ème rang en 2017, au top2 en 2018, c-à-d.
de 54% à 66 % tout business inclus.
Youtube et Snapchat ont gagné aussi du terrain,
passant respectivement de 45% et 7% en 2017 à 50 % et
8 % en 2018,
Twitter et Pinterest ont évolué à la baisse. Twitter
céder sa 2ème position à Instagram, passant de 68%
en 2017 à 62% en 2018. Pinterest quant à lui à chuter de
30% au titre de 2017 à 27% en 2018.
8%
27%
50%
56%
62%
66%
94%
0% 20% 40% 60% 80% 100%
Snapchat
Pinterest
YouTube
Linkedin
Twitter
Instagram
Facebook
L e s r é s e a u x s o c i a u x l e s p l u s
u t i l i s é s p a r l e s m a r k e t e u r s -
2 0 1 8
Social Media marketing
250
290
300
335
1,000
1,900
2,284
- 500 1,000 1,500 2,000 2,500
Pinterest
Snapchat
Linkedin
Twitter
Instagram
YouTube
Facebook
L e n o m b r e d ’ u t i l i s a t e u r s d e
r é s e a u x s o c i a u x d a n s l e
m o n d e – O c t o b r e 2 0 1 8
( e n m i l l i o n s )
S o u r c e : s t a t i s t i c a . c o m
19. Social Media marketing
Facebook pour le B2C
Facebook pour le B2B
Selon le Social Media Marketing Industry
Report, il est clair que Facebook domine la
sphère du B2C (75% des marketeurs l’ont
choisi comme le réseau le plus important).
Pour les marketeurs B2B , Facebook accapare
aussi la part du lion (54%), surpassant
LinkedIn (28%).
Selon le même rapport, Linkedin a perdu de
son importance au yeux des marketeurs B2B
au profit de Facebook. Ce dernier est passé de
43% en 2017 à 54% en 2018, alors que Linkedin
a chuté de 37% à 28% dans la même intervalle.
Facebook
54%Instagram
6%
Twitter
6%
Linkedin
28%
YouTube
4%
I m p o r t a n c e d e s m e d i a
s o c i a u x s e l o n l e s
m a r k e t e u r s B 2 B - 2 0 1 8
Facebook
75%
Instagram
11%
Twitter
4%
Linkedin
4%
YouTube
3%
I m p o r t a n c e d e s m e d i a
s o c i a u x s e l o n l e s
m a r k e t e u r s B 2 C - 2 0 1 8
S o u r c e : 2 0 1 8 S o c i a l M e d i a M a r k e t i n g I n d u s t r y R e p o r t
20. Social Media marketing
9%
35%
60%
63%
72%
Podcasting
Live vidéo
Blogging
Vidéos
Images (visuels)
0% 20% 40% 60% 80%
L e s c o n t e n u s l e s p l u s u t i l i s é s
s u r l e s r é s e a u x s o c i a u x - 2 0 1 8
Images, Vidéos et Blogs
Le top3 des contenus sociaux
Les contenus les plussollicités par les marketeurs
sur les réseaux sociaux sont notamment: les images
(32%), soit 9 points de moins par rapport à 2017.
Le Blogginga chuté de 32% en 2017 à 27% en 2018.
Ce dernier s’avère plus important pour les
marketeurs B2B (36% le choisissent comme le plus
important) que pour les marketeurs B2C (
seulement 22%).
Les professionnels du B2C accordent plus
d’importance au visuel (36%) alors que seulement
25% des marketeurs B2B le considèrent comme le
plusimportant.
Les marketeurs envisagent augmenter l’utilisation
des : vidéos (77%),visuels(68%), live vidéos (63%),
blogging(57%), et du podcasting (25%),
Prévoient augmenter l’usage de
la vidéosur les réseaux sociaux
en 2019
21. Social Media marketing
Quelle plateforme pour quel business ?
Type de business Audience
Facebook Tout type de business (B2Bet B2C) General Actualité du Business, produits, announces, articles, videos…
3-7 fois par
semaine
Twitter
Les businesses qui ciblent une large audience
d’amateurs de technologieavec une bite-sized
information
Amateurs de technologies de tout
âge
Mises à jour urgentes, information du business , annonces,
retweets…
1-3 fois par jour
LinkedIn
Les activités B2B,notammentceux qui visent à
cibler ou à recruter des professionnels
Professionnels de toute= secteur ou
activité
Mises à jour sur l’activité de l’organisation, liens vers des
contenus intéressant ou révélateurs…
1-4 fois par
semaine
Instagram
Businesses B2Cayant intérêt à publier des
visuels attrayant et un contenu doté d’une ligne
narrative en utilisant photos et vidéos
Les millénialsissus de milieux
urbains et semi-urbains
Visuels attrayants, photographies de produits, des
évènements, des personnes , coulisses….
3-5 postes par
semaine
1-15 stories par
jour
YouTube
Les businesses B2Bet B2Cdont les produits ou
les services favorisant les vidéos
informationnels l’attrait visuel.
Tout consommateurcherchant le
divertissement ou effectuant une
recherche général
Vidéos informationnels, éducationnels ou de divertissement
1-3 videos per
week
Google
My Business
Les magasins en dur les entreprises classiques
qui veulentse positionner sur les résultats de
Google search et googlemap .
Tout utilisateur Google utilisant la
fonctionnalité de recherche pout tout
type de business local
Profile détailléedu business -
Pinterest
Les marques orientées-client ciblantles
femmes et quiprônent une présentation
esthétique de leurs produits.
Millennialset femmes d’age moyen
ayant des revenus disponibles
Recettes, fashion, design, décoration, bricolage…
1-5 fois par
semaine
Snapchat
Les marques ciblantune audience de millennial
dont l’imageest associée à la spontanéité et au
fun
Millennials(85% des utilisateurs de
Snapchat’s sont âgés entre 18 et 34)
Actualité, trucs et astuces, ,ises à jour, coulisses,selfies….
1-10 fois par
jour
22. Visibilité et trafic
Les bénéfices les plus visibles
La majorité des marketeurs, soit 87%, indiquent que leurs efforts
marketing ont généré une plus grande visibilité pour leurs affaires.
L’accroissement du trafic semble être le deuxième bénéfice des
réseaux sociaux cité avec 78% de professionnels témoignant des
résultats positifs. Le classement des bénéfices top2 demeurent
inchangé depuis 4 années.
Cependant, pour la première fois depuis 4 ans, l’ordre et le poids
des autres bénéfices ont changé.
Social Media marketing
46%
49%
53%
54%
63%
64%
78%
87%
Accroit le leadership éclairé
Accroit les partenariats business
Améliore les ventes
Fournit des renseignents sur le marché
Développe des fans fidèles
Génère les leads
Renforce le trafic
Améliore la visibilité
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%
L e s b é n é f i c e s p e r ç u s d e s r é s e a u x
s o c i a u x - 2 0 1 8
A m é l i o r e n t
l a v i s i b i l i t é
A c c r o i s s e n t
l e t r a f i c
« Génère les leads » a diminué vers
64% (66% en 2017).
« Développe des fans fidèles » a
passé de 69% à 63% in 2017.
« Fournit des renseignements sur
le marché » a chuté de 66% in à 54%
.
« Améliore les ventes » reste
quasiment inchangé avec un taux de
53% en 2018 en 52%in 2017.
« Accroit les partenariats business »
» a diminué vers 49% de 53% en 2017.
« Accroit le leadership éclairé » a
diminué vers 46% vers 57% en 2017.
24. Plus jeune, plus mobile !
Les statistiques confirment l’évidente
corrélation entre l'âge et la tendance à
préférer le mobile. En effet, plus la
personnes détenant plusieurs devices est
âgée, plus elle aura tendance à préférer le
lap-top et le desktop. Inversement plus elle
est jeune,pluselle tend à préférerle mobile.
La même observation s’appliquent
géographiquement parlant: plus le
l’économie est développé, plus on a moins
tendance à privilégier le mobile : à peine un
quart des utilisateurs provenant de l’Europe
et de l’Amérique du Nord déclarent leurs
smartphone comme leurs appareils
préférées. Alors que, en Afrique, au Moyen-
Orient et en Asie Pacifique plus de la moitié
préfère le mobile aux autres appareils.
Mobile marketing
des personnes en
préfèrent le smartphone
aux autres appareils
S o u r c e : G l o b a l w e b i n d e x , 2 0 1 7
de la populationen
et au Moyen-Orient
détient un smartphone
S o u r c e : G l o b a l w e b i n d e x , 2 0 1 7
25. Mobile App VS Mobile Web
Vivent les applications !
Selon le GlobalMobile Report, plusde 80%
des minutes passées sur les appareils
mobiles sont consommées sur les
applications, alors que moins de 20 % du
temps est passé sur les navigateurs web.
Les taux peuvent relativement changer en
passant du smartphone vers la tablette.
Cette dernière semble un peu plus
confortable pour la navigation web, chose
qui se répercute sur le temps de navigation.
Mobile marketing
S o u r c e : T h e 2 0 1 7 U . S M o b i l e A p p R e p o r t
L e t e m p s p a s s é s u r l e s a p p a r e i l s m o b i l e s a u x U S A - 2 0 1 7
26. le GlobalMobile Report relève que la durée passée sur la
communication et lesloisirs dépassent largement le temps consommé
pour des usages plus utilitaires.
Mobile marketing
L e t e m p s p a s s é s u r m o b i l e ( M i n u t e s p a r p e r s o n )
27. Mobile marketing
L e p o u r c e n t a g e m o y e n d u m o b i l e d u t e m p s d i g i t a l p a r a c t i v i t é
le GlobalMobile Report identifie lescatégories« Mobile-First ». Ces catégories d’activité sont celles pratiquées plutôt sur
mobile. En d’autres termes, ce sont les activités où le mobile accapare une part importante du temps digital.
28. Smartphone VS Desktop
L a c o n c u r r e n c e ? ( 1 / 2 )
Plus accessible, plus disponible, le mobile
semble largement plus utilisé que le desktop
selon plusieurs études et sondages.
Selon The 2017 U.S. Mobile App Report, le
temps consommé sur le smartphone est
généralement 2 fois ou plus du temps alloué
au desktop.
En 2013, le rapport de google Mobile path to
purchase, relève que les internautes passent
plus de 15 heures hebdomadairement rien
que sur leurs mobiles.
Cependant, les professionnels remarquent
une relation paradoxale entre la durée de
navigation sur mobile et le taux de
conversion. Le desktop semble réaliser plus
de performance comparativement à sa durée
d’utilisation largement inférieur au mobile.
Mobile marketing
+
par semaine
de recherche
via mobile
S o u r c e : M o b i l e p a t h t o p u r c h a s e , 2 0 1 3
3.9%
2.7%
1.4%
Desktop Tablette Smartphone
0.0%
0.5%
1.0%
1.5%
2.0%
2.5%
3.0%
3.5%
4.0%
4.5%
L e t a u x d e c o n v e r s i o n
p a r d e v i c e - 2 0 1 7
S o u r c e : S m a r t I n s i g h t , 2 0 1 7
29. Smartphone VS Desktop
L a c o n c u r r e n c e ? ( 2 / 2 )
Selon Adobe 2016 Mobile Retail Report , le
desktop génère 59% du trafic, et 75% du revenue
global, alors que les smartphones est à l’origine
de 32% du trafic des sites marchands, mais
seulement 16% du revenu.
Le Mobile path to purchase, contribue à
apporter des éléments de réponse. En effet, si la
recherche est effectuée principalement sur
mobile, c’est sur un écran offrant plus de détails
ou, plus fréquemment, au magasin que
l’internaute va effectuer son achat.
De plus, le Global Mobile Report, souligne que 25
% du temps écoulé sur mobile est consommé
rien sur que les applications sociales (réseaux
sociaux et messagerie instantanée) ce qui
explique le décalage entre la durée d’utilisation
du mobile et les taux de conversion.
Mobile marketing
+
par semaine
de recherche
via mobile
S o u r c e : M o b i l e p a t h t o p u r c h a s e , G o o g l e - N i e l s o n 2 0 1 3
Au magasin
En ligne
(Desktop/Tablette)
Directement via
smartphone
A c t e s d ’ a c h a t
30. La majorité (74%) des utilisateurs du mobile
s’en servent durant leurs processus d’achat
via les moteurs de recherche. Les
informations les plus cherchées concernent
notamment les catégories : maison et
jardinage (42%), santé et nutrition (41 %) et
automobile (38 %).
La recherche sur mobile influence les
décisions d’achat. En effet, 93% des
personnes qui cherchent l’information via
mobile envisagent d’acheter ou passent
effectivement à l’acte d’achat. Les activités de
restauration, beauté et fashion, et les
électroménagers affichent les meilleurs taux
de conversion.
Mobile marketing
S o u r c e : M o b i l e p a t h t o p u r c h a s e , G o o g l e - N i e l s o n 2 0 1 3
70%
Envisagent acheter
63%
Envisagent acheter
61%
Envisagent acheter
54%
Ont effectué un achat
40%
Ont effectué un achat
36%
Ont effectué un achat
Maison
et jardinage
Santé
et nutrition
Automobile
32. Selon une étude du fonds d'investissement Partech
Ventures, les levées de fonds de jeunes pousses en
Afrique ont grimpé de 53% en 2017, atteignant 560
millions de dollars. L'étude a recensé 128 opérations de
levées de fonds sur le continent, une hausse de 66% sur
l'année antérieure.
Ce développement a été accéléré par l'explosion de la
téléphonie mobile: selon une étude du cabinet Deloitte,
660 millions d'Africains devraient être équipés d'un
smartphone en 2020, soit plus d'un habitant sur 2 -
même si seulement 500 millions de ces appareils
auront accès à internet.
Une évolution à la hausse de
l’entrepreneuriat africain
+
des jeunes entrepreneurs
africains en 2017
S o u r c e : P a r t e c h V e n t u r e s
33. Lorsqu’il s’agit du digital, il est difficile de lister en détail les différents
modèles économiques adoptés par les entreprises en ligne.
Cependant, ont peut tenter de classer les entreprises digitales suivant
une liste des business modèles les plus répandus, à savoir :
Le modèle de financement par la publicité
Le modèle du Freemium
Le modèle de l’abonnement
Les modèles économiques collaboratifs
Et les Data-driven models
Il est à noter que les entreprises peuvent mixer deux ou plusieurs
modèles pour former leurs modèles uniques.
Business
models du
digital
Financement
par la Pub
Freemium
Abonnement
Modèles
collaboratifs
Data-driven
models
Une multitude de business
models digitaux
34. L e s m o d è l e s d u f i n a n c e m e n t
p a r l a p u b l i c i t é
L E C P A :
L e c o û t p a r a c t i o n
C’est le cas où l’annonceur paie
l’éditeur à condition que la cible
réalise une action particulière.
Exemples : inscription à une
newsletter, remplissage d’un
formulaire, commande ou achat
d’un produit, installation d’une
application...
Certains sites internet ou application
mobiles offrent du contenu ou un accès
totalement gratuits à leurs utilisateurs.
L'entreprise est alors rémunérée par ses
contrats publicitaires. Plusieurs sous-
modèles peuvent s’appliquer.
Le CPC permet aux annonceurs
de payer uniquement lorsque
l’internaute clique sur un lien ou
une bannière publicitaire…
L E C P C :
L e c o û t p a r c l i c
Le CPM ou le coût pour mille,
consiste en la rémunération
de l’éditeur par l’annonceur
en fonction du nombre
d’affichages de sa publicité.
Cette publicité c’est souvent
sous forme d’une bannière
plus ou moins grande.
L E C P M : L a v e n t e d e s
e s p a c e s p u b l i c i t a i r e s
35. Vue son caractère gratuit, le freemium consiste
à faire adhérer une masse d’internaute à une
version basique, pour les rediriger ensuite vers
un service payant plus complet, avec des
fonctionnalités à forte valeur ajoutée.
De très nombreux logiciels et plateformes
digitales ont opté pour le freemium. On peut
compter parmi eux : Facebook, Dropbox,
LinkedIn, Skype… Le modèle attire également
les développeurs des jeux en ligne, sites de
recrutement, vente des cours et formation en
ligne, les plateformes de musique ou de vidéo
en streaming….
Le Freemium
36. Dans ce modèle, l’entreprise reçoit régulièrement des paiements
en vue de livrer (ou donner accès à) un produit ou un service.
Au lieu de vendre le produit ou le service en une seul transaction,
le modèle privilégie une vente étalée sur une période de temps.
Ce modèle a tété introduit dans le 17ème siècle par les journaux et
trouve sa place aujourd’hui dans pas mal de secteurs.
En ligne, l’abonnement est combinée souvent au Freemium. La
partie payante du service est offerte en format abonnement.
Le modèle de l’abonnement
facturés mensuellement facturés mensuellement
S o u r c e : i n f o p r e s s e . c o m
un Américain d’âge adulte
dispose en moyenne de…
TV et vidéo sur demande (VOD)
Courses du mois
37. Iroko TV,Nigeria
C’est une entreprise de distribution de films sur Internet déjà
surnommée le « Netflix africain ».
Les films de la très prolifique industrie cinématographique nigériane,
Nollywood, étaient jusqu’ici surtout distribués sur des dvd vendus un
dollar ou deux, à la sauvette, dans les embouteillages de Lagos.
Jason Njoku a eu l’idée de les rendre accessibles par Internet et ainsi
de toucher l’immense diaspora africaine des pays occidentaux qui en
est friande.
Aujourd’hui,IrokoTV reçoit un million de visiteurs uniques par mois.
Près de 90% du contenu du site –plus de 5. 000 films– est gratuit et en
partie financé par la publicité en ligne. Un système d’abonnement a
aussi été lancé récemment et donne accès aux films les plus récents,
pour 7,99 dollars par mois.
Source : Jeune Afrique
Startups africaines en mode “Freemium +Abonnement”
Mdundo,Kenya
Le site a vocation à donner accès aux musiques locales absentes
des grandes plateformes de streaming et surtout de permettre
aux artistes africains de gagner leur vie.
Tout comme Spotify et Deezer, Mdundo propose une formule
« freemium » : des titres en accès gratuit, accompagnés de
publicité et un abonnement premium à deux ou trois dollars par
mois selon les pays.
Un système qui veut rivaliser avec le téléchargement illégal, dans
une région où 95% de l’écoute se fait soit sur des sites pirates soit
par échange entre particuliers.
Source : Jeune Afrique
Mvelani
RadioVybe
38. Les entreprises collaboratives comme Airbnb, Blablacar
ou Uber ont construit leurs modèles économiques sur la
foule (crowd) et la désintermédiation du service par la
mise ne relation directe des acteurs. Ce principe se
déploie sur différentes phases de la chaîne de
valeur notamment :
Crowdsourcing: pour collecter les avis clients pour co-
construire un produit ou un service.
Crowdfunding: pour lever des fonds et financer les
idées et les petites entreprises
Crowdshipping: pour transporter les personnes et les
colispar des particuliers
Les modèles économiques
collaboratifs
CrowdfundingCrowdshipping Crowdsourcing
Quelques startups collaboratives de l’Afriqueet la région MENA
39. Les business models axés sur les data offrent aux porteurs de
projets un champs encore vierge pour innover des produits et des
solutions en utilisant et rentabilisant d’énormes quantités de
données.
Les objets connectés ou ce qu’on appelle les IoT (Internet of
Things) est un nouveau champs d’invention de business models
encore plus innovants. Les specialistes IT stipulent qu’on est
aujourd’hui en train de vivre une nouvelle révolution
technologique après celle de la micro-informatique.
Plusieurs startups ont saisi l’opportunité et se sont lancés dans
l’aventure de l’IoT. Les voitures, les maisons smart, la montre
iPhone sont les exemples les plus populaires.
En Afrique, plusieurs startup IoT dans des domaines aussi variés
comme l’agriculture ou les solutions BtoB ont déjà vu le jour.
Les modèles data-driven
Plateformed'analyse parcellaire.
Nigeria
Plateformede détection d’incendies
Sud-Afrique
41. L’étude a été réalisée pendant le mois de Décembre
2018 via Internet auprès d’un échantillon de 700
professionnels marocains, répartis sur 40 villes, âgés de
15 ans et plus et pouvant s’exprimer en arabe ou en
français .
Il sont d’abord des étudiants (35%), des employés et
cadres (23%), des inactifs (10%) et des chefs de PME
(6%), des professions intermédiaires et libérales (6%),..
Les répondants de cette étude ont été sélectionnés
aléatoirement à partir du panel Averty selon un procédé
de stratification des listes d’invitation assurant la
représentativité optimale des répondants. Les
panélistes ont été recrutés aléatoirement. À titre
comparatif, un échantillon probabiliste de même taille
(n=700) aurait une marge d’erreur de +/- 4%, 19 fois sur
20.
MÉTHODOLOGIE DE L’ÉTUDE
42. 30.29%
31.29%
16.14%
22.29% Je ne fais pas la différence
Les resultats normaux
Les resultats sponsorisés
Peu importe, ça depend de la pertinence
Sur le moteur de recherche, privilégiez-vous les résultats sponsorisés ou
bien les resultats organiques ?
SEARCH ENGINES OPTIMIZATION /
SEARCH ENGINES MARKETING
43. Quels sont les réseaux sociaux que vous utilisez parmi la liste suivante ?
RÉSEAUX SOCIAUX
13.1%
9.0%
9.6%
10.2%
16.3%
16.8%
36.4%
77.2%
0.0% 10.0% 20.0% 30.0% 40.0% 50.0% 60.0% 70.0% 80.0% 90.0%
[Aucun]
[Pinterest]
[Twitter]
[Viadeo]
[LinkedIn]
[Snapchat]
[Instagram]
[Facebook]
45. Comment vous décrivez votre relation avec les marques
sur les réseaux sociaux ?
39.57%
15.86%
44.57%
Je ne suis aucune page
Je suis certaines pages sans pour autant interagir
Je suis et j'interagis avec certaines pages
RÉSEAUX SOCIAUX
46. 79.71%
20.29%
Non
Oui
Etes-vous inscrits à des newsletters
commerciales ou à but non lucratif ?
1.71%
5.00%
13.57%
14.29%
20.71%
44.71%
0.00% 10.00% 20.00% 30.00% 40.00% 50.00%
La longueur expectée de l'e-mail
Les premières lignes
Le titre
L'organisation d'où il provient
L'offre qu'il propose
Je ne les ouvre pas
Qu'est ce qui vous encourage le plus à ouvrir
un e-mail commercial ?
EMAILING / NEWSLETTERS
47. En cas de recéption d'e-mails de contenu commercial sans
votre permission, quelle est votre réaction
37.14%
26.00%
15.14%
12.57%
9.14%
Cela ne me dérange pas
J'ignore le mail
Je dénonce l'e-mail comme spam (courrier indésirable)
Je supprime simplement le message indésirable
Je me désabonne de la liste de diffusion
EMAILING / NEWSLETTERS
48. 50.86%
49.14%
L'application mobile de la marque
Le navigateur (pour consuter le siteweb d'une marque/organisation)
Que préférez-vous pour intéragir avec vos
marques préférées ?
36.71%
25.86%
37.43%
Jamais Rarement Souvent
Abandonnez-vous la viste en ligne d'une marque si
son siteweb n'est pas compatible avec le mobile -?
APPLICATIONS MOBILES
49. Pour vos marques préférées, pourquoi optez-vous pour le site
web plutôt que l'application mobile ?
21.80% 21.80% 21.22% 20.64%
17.73%
7.27%
0.00%
5.00%
10.00%
15.00%
20.00%
25.00%
[Le site web
contient plus de
contenu/offres]
[Je ne les consulte
pas très
fréquement]
[Pour la protection
de mes données
personnelles]
[Pour le manque
d'espace sur mon
téléphone]
[Pour des raisons
de sécurité]
[Elles ne
possèdent pas
d'applications]
APPLICATIONS MOBILES
50. Pour vos marques préférées, pourquoi préférez-vous
l'application mobile au le siteweb ?
37.36%
21.35%
19.10%
17.98% 17.98%
0.28%
0.00%
5.00%
10.00%
15.00%
20.00%
25.00%
30.00%
35.00%
40.00%
[C'est plus
rapide]
[Pour rester à
jour grâce aux
notifications]
[Pour les
consulter à tout
moment]
[Pour profiter
des offres
exclusives]
[Je les consulte
très fréquement]
[Autre]
APPLICATIONS MOBILES
51. 23.71%
13.86% 13.86% 13.29%
8.00%
39.57%
0.00%
5.00%
10.00%
15.00%
20.00%
25.00%
30.00%
35.00%
40.00%
45.00%
[Les
réseaux
sociaux]
[Les videos] [Les e-
mails]
[Les
applications
mobiles]
[Les
résultats
des
moteurs de
recherche]
[Aucun]
Sur votre mobile, préférez-vous
voir les publicités sur :
22.86%
17.00%
14.57%
9.14%
7.71%
41.71%
0.00%
5.00%
10.00%
15.00%
20.00%
25.00%
30.00%
35.00%
40.00%
45.00%
[Les réseaux
sociaux]
[Les videos] [Les e-mails] [Les
applications
mobiles]
[Les résultats
des moteurs
de
recherche]
[Aucun]
Sur votre PC (Desktop ou portable),
préférez-vous voir les publicités sur :
PUBLICITÉ EN LIGNE
52. Préférez-vous voir les publicités sur :
23.7%
13.9% 13.9% 13.3%
8.0%
39.6%
22.9%
17.0%
14.6%
7.7%
41.7%
0.0%
5.0%
10.0%
15.0%
20.0%
25.0%
30.0%
35.0%
40.0%
45.0%
[Les réseaux
sociaux]
[Les videos] [Les e-mails] [Les applications
mobiles]
[Les résultats des
moteurs de
recherche]
[Aucun]
Mobile PC
PUBLICITÉ EN LIGNE
53. Quels types de contenus appréciez-vous le plus ?
24.1%
18.0%
16.1% 16.1%
11.9% 11.7% 10.9%
9.6%
6.7% 6.3% 6.3% 5.9% 5.7% 5.6%
4.4% 4.1% 3.4%
20.9%
0.00%
5.00%
10.00%
15.00%
20.00%
25.00%
30.00%
TYPES DE CONTENU
54. Avec quels types de contenus interagissez-vous le plus ?
21.14%
11.43% 11.00%
9.29% 9.14%
6.57%
5.43%
4.43%
3.43% 2.86% 2.71% 2.43% 2.43% 2.29% 2.29% 2.29% 2.14%
20.86%
0.00%
5.00%
10.00%
15.00%
20.00%
25.00%
TYPES DE CONTENU
55. Comparatif des types de contenus les plus appréciés et ceux
qui suscitent le plus d’intéractions
24.14%
18.00%
16.14% 16.14%
11.86% 11.71%
10.86%
9.57%
6.71% 6.29% 6.29% 5.86% 5.71% 5.57%
4.43% 4.14% 3.43%
20.86%21.1%
2.1%
11.4%
9.1%
6.6%
2.4%
9.3%
2.9%
5.4%
2.7%
6.6%
2.3% 2.3%
4.4%
3.4%
2.3% 2.4%
20.9%
0.00%
5.00%
10.00%
15.00%
20.00%
25.00%
30.00%
Appréciation
Interaction
TYPES DE CONTENU