Kredietverlening aan ondernemingen update februari 2015
Febelfin conférence de presse 04.03.2013
1. Défis pour un secteur financier belge au
service de l’homme et de l’économie
Filip Dierckx, Président Febelfin
Michel Vermaerke, Administrateur délégué Febelfin
Febelfin 4 mars 2013
2. AGENDA
Défis pour le secteur financier belge au service
de l’homme et de l’économie
I. 3 missions de base
II. 3 facteurs de réussite
III. 4 engagements
IV.Conclusion
Febelfin 4 mars 2013 2
4. Missions de base fixées par exercices externe et interne
Rapport CSR Agenda stratégique
Notre souhait est maintenant que dans le cadre d’une
étroite concertation, un Modèle financier durable et
vital puisse être instauré. Cette concertation doit
permettre de développer une vision à long terme
pour le secteur. Une vision tenant compte de la
capacité du secteur et basée sur les principes
d’égalité des conditions de concurrence et de
proportionnalité. Ce n’est qu’à ce prix que nous
pourrons mettre en place un cadre stable qui
permettra au secteur de contribuer à la création de
prospérité pour la communauté.
Filip Dierckx, Febelfin Luncheon
Febelfin 4 mars 2013 4
5. 3 missions de base du secteur financier pour la société
QUELLES MISSIONS DE BASE ?
Financer l’économie
Tendre vers un équilibre
dans le traitement de
l’épargne et des
investissements
Oeuvrer à une
infrastructure financière
moderne et efficace
Dans le cadre d’une réglementation équilibrée, d’un contrôle
efficace et d’un fonctionnement de marché concurrentiel
Febelfin 4 mars 2013 5
6. Missions de base du secteur financier
Financer l’économie
Octroi de crédit Formes alternatives
bancaire traditionnel de financement
• Octroi de crédit aux • Fonds PME à LT
-entreprises
-ménages • Obligations de projets /
-pouvoirs publics prêt citoyen
• Taux concurrentiels • Capital à risque
• Gestion des risques • …
responsable
Febelfin 4 mars 2013 6
7. Missions de base du secteur financier
Tendre vers un équilibre dans
le traitement de l’épargne
et des investissements
Febelfin 4 mars 2013 7
8. Missions de base du secteur financier
Oeuvrer à une infrastructure
financière moderne et efficace
Febelfin 4 mars 2013 8
9. II. 3 facteurs de réussite
Mots clés : réalisme, collaboration, rentabilité
Febelfin 4 mars 2013 9
10. Que faut-il pour continuer à remplir les
missions de base ?
Réalisme
Collaboration
L’exécution et dialogue
des missions avec les
de base va de pouvoirs
pair avec publics
Rentabilité
suffisante
Febelfin 4 mars 2013 10
11. Le réalisme est indispensable
Eviter les dichotomies insurmontables
Les banques ne
peuvent prendre
aucun risque Les banques doivent
Les banques octroyer des crédits
doivent attirer bon marché
davantage de Le funding à LT
funding à LT deviendra plus cher et
plus risqué du fait de
Bâle III et du bail-in
Les banques
doivent réduire
leurs bilans et Les banques doivent
leurs leviers octroyer davantage de
Les banques ne crédit
peuvent pas être
complexes Les banques opèrent
sur des marchés
globalisés complexes
Les banques
doivent mieux
rémunérer le Les banques doivent
carnet d’épargne octroyer des crédits
bon marché
11
12. Collaboration et dialogue avec les pouvoirs publics
Quelques exemples
Bâle III (financement des
exportations, LCR)
Moratoire produits complexes
Covered Bonds
Trajet d’accompagnement
Ford Genk & ArcelorMittal
Plan bancaire /
Table ronde financement des PME
Febelfin 4 mars 2013 12
13. Une rentabilité suffisante est essentielle …
ROE
2000 20,4
2001 13,7
2002 11,8
2003 13,6
2004 15,8
2005 18,5
2006 22,4
2007 13,2
-36,5 2008
-2,6 2009
2010 10,5
2011 0,7
Jan-Sept 2012 4,5
-40 -30 -20 -10 0 10 20 30
Source : Présentation Febelfin sur la base de données BNB.
Données consolidées, et, à partir de 2006, sur la base des schémas de
reporting IAS / IFRS. ROE: return on (average) equity.
Febelfin 4 mars 2013 13
(Uniquement pour les banques de droit belge).
14. … mais la rentabilité est mise sous forte pression …
Environnement
économique
Mesures structurelles Initiatives
prudentielles
RENTABILITE DU
SECTEUR
Mesures Exigences en
opérationnelles FINANCIER BELGE capitaux
Contributions Protection des 14
sectorielles Coût du capital consommateurs
15. … pour des raisons fiscales …
Contribution bancaire brute : 961 mio EUR
(paiement Fonds de protection “ordinaire” non comptabilisé)
2012 2013*
(en mio EUR) (en mio EUR)
Taxe d’abonnement 175 ~210
Contribution annuelle DGS 258 258
“ordinaire”
Contribution temporaire 580 161
DGS spéciale / supplémentaire
Contribution annuelle au Fonds de 251 251
Résolution (FSC)
Nouvelle taxe annuelle sur les 81 81
établissements de crédit
Charge de contributions brutes 1.345
totale pour le secteur
~961
Paiement par le Fonds de 580
protection “ordinaire”
~161
Charge de contributions nettes 765
totale pour le secteur
~800
* Estimation 2013. Montant dépendant de l’évolution exacte des dépôts d’épargne en 2012.
Febelfin 4 mars 2013 15
16. … pour des raisons opérationnelles …
Evolution du cost – income ratio (en %)
Les charges
2000 72.2 opérationnelles
2001 74.1 croissantes sont
2002 74.7 sources d’importantes
2003 73.9
préoccupations, e.a. :
2004 72.0
2005 72.6
• Plus de
2006
réglementation, de
55.7
contrôle et de
2007 61.1
compliance
2008 85.0
• Dossiers spécifiques
2009 77.5
de réforme (21% +
2010 65.9
4%, réforme carnet
2011 67.3
d’épargne, …)
Jan-sept 2012 71.4 • Evolution coûts
50 55 60 65 70 75 80 85 90 salariaux
Source : Données sur une base consolidée et, à partir de 2006, conformément
aux normes IFRS.
Febelfin 4 mars 2013 16
17. … et un manque de rentabilité durable peut
avoir un impact dans différents domaines
Une réduction des fonds
propres nuit à la liquidité et à
la solvabilité
Système financier moins solide
Febelfin 4 mars 2013 17
18. L’évolution vers un secteur financier durable et vital
au service de l’homme et de l’économie
passe par :
3 MISSIONS DE BASE
3 FACTEURS DE REUSSITE
4 ENGAGEMENTS
Febelfin 4 mars 2013 18
22. “Pour chaque EUR d’épargne supplémentaire,
un EUR de crédit a été octroyé”
(fin 2007 – fin 2012)
Evolution volume comptes d’épargne réglementés et crédits depuis 2007
(Source : Banque Nationale de Belgique)
Fin 2007 Fin 2010 Fin 2011 Fin décembre Hausse entre fin
2012 2007 et fin
décembre 2012
Dépôts EUR 148,8 EUR 214,8 EUR 218,7 EUR 235,8 + EUR 87,0
d’épargne milliards milliards milliards milliards milliards
réglementés (+ 58,5 %)
Crédits aux EUR 97,1 EUR 112,6 EUR 115,8 EUR 116,7 + EUR 19,6
entreprises milliards milliards milliards milliards milliards
(+ 20,2 %)
+ 87,5
Crédit EUR 139,3 EUR 165,5 EUR 175,6 EUR 183,2 + EUR 43,9 milliards
hypothécaire milliards milliards milliards milliards milliards EUR
(+ 31,5 %)
DE PLUS
Crédits aux EUR 68,8 EUR 82,2 EUR 91,7 EUR 92,8 + EUR 24,0 (depuis
pouvoirs publics milliards milliards milliards milliards milliards 2007)
belges (+ 34,8%)
Febelfin 4 mars 2013 22
23. Evolution de l’octroi de crédit aux entreprises
Extrait du Rapport annuel 2012 de la Banque Nationale de Belgique :
En Belgique, les établissements de crédit ont poursuivi la restructuration de leur bilan qu’ils avaient entamée dès
l’éclatement de la crise financière. En 2012, ils ont notamment procédé à une réduction de leurs expositions envers
les pays périphériques de la zone euro. Dans le même temps, ils se sont recentrés sur leur activité d’intermédiation en
Belgique et sur leurs marchés stratégiques : les dépôts collectés auprès de la clientèle de détail se sont accrus, et l’octroi
de crédits a globalement été maintenu.
Données Febelfin
= BNB + crédits
d’engagement +
indépendants /
professions libérales
128 mia EUR
(Décembre)
117 mia EUR
(Décembre)
Données BNB
= volume de crédits
utilisés par les sociétés
non financières belges
Febelfin 4 mars 2013 23
24. Octroi de crédit aux entreprises à des taux
concurrentiels
Taux d’intérêt moyen pondéré
des nouveaux crédits
2,92%
Septembre Septembre Septembre Septembre Décembre
2008 2010 2011 2012 2012
5,54% 3,05% 3,43% 2,98% 2,92%
(plancher
historique)
Febelfin 4 mars 2013 24
25. Octroi de crédit traditionnel sous pression …
Conjoncture
Baisse de la production
Baisse de la demande de crédit
de crédit
Impact possible sur la
solvabilité et dégradation de
Contexte économique difficile
l’indépendance financière des
PME
Réglementation
Octroi de crédit à LT/MT
Bâle III
plus difficile
Febelfin 4 mars 2013 25
26. La conjoncture pèse sur la demande et
la production de crédit
Demande de crédit Production de crédit
Source: Données Febelfin. Baromètre trimestriel du crédit aux entreprises.
Febelfin 4 mars 2013 26
27. Conjoncture : fonds propres des PME sous pression
Le degré d’ndépendance financière est le rapport entre les capitaux propres et le total du passif. Quand le ratio
est élevé, l’entreprise est indépendante des fonds de tiers, ce qui a deux conséquences positives : d’une part, les
charges financières sont faibles et pèsent donc peu sur les résultats ; d’autre part, de nouvelles dettes peuvent, si
nécessaire, être contractées facilement et dans de bonnes conditions. Le degré d’indépendance financière peut
également être interprété comme une mesure du risque financier encouru par l’entreprise, la rémunération des
tiers étant fixe, contrairement aux résultats de l’entreprise, qui fluctuent dans le temps.
• Ces 2 dernières années (après une
progression continue entre 2003 et 2009), le
degré d’indépendance financière (rapport
entre les fonds propres et les engagements)
des PME a diminué
• Ces 10 dernières années, le degré
d’indépendance financière a baissé de
12,7 points de pour cent pour les toutes
petites entreprises
• En 2011, 17,3% des entreprises avaient des
fonds propres négatifs
• Enquête de la BNB auprès d’un échantillon de
242.000 sociétés non financières (226.000
PME et 16.000 grandes entreprises; pour
l’année 2011)
Source: BNB – Résultats et situation financière des
entreprises en 2011
27
28. Conjoncture : les dossiers des PME présentent un
niveau de risque croissant
Nombre de demandes de crédits de PME
Catégorie de PME dont moyennes entreprises dont petites entreprises
risques
(1) Part dans le total des Part dans le total des Part dans le total des
Evolution Evolution Evolution
demandes de crédit demandes de crédit demandes de crédit
(en %) (en %) (en %)
(en %) (en %) (en %)
2011 2012 2012 / 2011 2011 2012 2012 / 2011 2011 2012 2012 / 2011
Risque faible 55,5 50,6 -15,2 56,0 50,6 -14,5 55,3 50,6 -15,6
Risque
27,9 30,7 2,7 31,3 35,4 7,3 25,9 27,9 -0,7
moyen
Risque élevé 7,9 10,1 18,6 6,7 8,0 13,2 8,6 11,4 21,0
Risque très
1,4 1,5 0,5 1,1 1,2 -0,9 1,5 1,7 1,0
élevé
Pas de
7,3 7,1 -9,7 4,9 4,8 -7,0 8,7 8,5 -10,6
résultat
Source : enquête interne Febelfin
(1) Les catégories de risques sont réparties sur la base de la Probability of Default (PD)
- Faible (de 0% à environ 0,8%)
- Moyen (d’environ 0,8% à environ 4%)
- Elevé (d’environ 4% à environ 21%)
- Très élevé (d’environ 21% à 100%)
Febelfin 4 mars 2013 28
29. Besoins de financement de l’économie
Octroi de crédit bancaire Formes alternatives
traditionnel de financement
Octroi de crédit à Octroi de crédit à Financement à
LT par les banques CT par les banques Capital à risque
LT de la dette
Crédits d’investissement Crédits documentaires
Straight loans Fonds PME
Crédits à l’exportation Obligations de projets
Win-win
à LT Crédits à l’exportation Crowd funding
à CT Prêt citoyen
TRANSFORMATION INTERMEDIATION
Febelfin 4 mars 2013 29
30. Dialogue du secteur avec les pouvoirs publics sur le
financement alternatif
Fonds PME Capital à risque
Prêt citoyen
~ Obligations de
projets
Febelfin 4 mars 2013 30
31. Autres points d’attention
Conditions et
Funding loss recommandations de
crédit
Financement à CT Crowd funding
Febelfin 4 mars 2013 31
32. • Maintien octroi de crédit (BNB)
• Conjoncture et donc dossiers plus difficiles
• Initiatives financement alternatif
• Points d’attention particuliers
Febelfin 4 mars 2013 32
34. 2013 n’est pas 2008
Le secteur a travaillé durement à améliorer la solvabilité et
la liquidité et à réduire ses bilans
Bilans et leviers réduits, augmentation des fonds propres
Total des passifs Total du capital Levier
du secteur et des réserves
bancaire belge du secteur
bancaire belge
(en milliards (en milliards (en unités)
EUR) EUR)
Fin 1.567,9 50,7 29,9
Septembre 2007
Fin 1.143,0 59,1 18,3
Septembre 2012
Evolution en % -27,1% +16,6% -38,7%
Source: Calculs Febelfin sur la base de données BNB (base consolidée)
Febelfin 4 mars 2013 34
35. 2013 n’est pas 2008
Le secteur a travaillé durement à améliorer sa liquidité
Les banques belges recourrent davantage aux dépôts
qu’au financement via les marchés financiers
800 120
102
700
100
600 83
78
454 80
500 362 68
308 249
400 60
300
40
200
283 300 304 318 20
100
0 0
2009 2010 2011 Sep-12
Dépôts retail Total financement wholesale CT Ratio de liquidité réglementaire (en %) *
Source : BNB (en mia EUR)
* Ratio de liquidité réglementaire : ce ratio traduit le rapport entre d’une part les sorties nettes de moyens
dans un scénario de stress (avec un horizon d’un mois) et d’autre part le tampon d’actifs liquides
disponibles pour pouvoir faire face aux sorties. Le ratio doit être de 100 % ou moins (c.-à-d. que plus le
chiffre est faible, plus la position de liquidité sera solide). Source BNB
Febelfin 4 mars 2013 35
36. 2013 n’est pas 2008
Le secteur a travaillé durement à améliorer
sa solvabilité
Les banques prennent moins de risques
Evolution des actifs pondérés en fonction des risques
(Source : BNB, en milliards EUR)
2007 2008 2009 2010 2011 Sept Différence
2012 (%)
583,5 491,7 407,5 372,5 373,8 368,5 - 36,8%
Febelfin 4 mars 2013 36
37. 2013 n’est pas 2008
Les activités bancaires belges sont devenues plus
belges
National (mia EUR)*
International (mia EUR)
Actifs Passifs
Réduction :
• Des activités internationales et de
-27,1% -27,1%
1.567,9 1.567,9 l’exposition sur l’étranger
• Du financement via les marchés
financiers
1.143,0 1.143,0
-46,0% -49,9%
1.110,1
999,6
599,6 500,9
Croissance :
• Du funding via le marché national
(dépôts d’épargne)
+18,7% +13,0% • De l’octroi de crédit au marché
568,3 642,1 national (crédit hypothécaire et
457,8 543,4 crédit aux entreprises)
09/2007… 09/2012
Sep-12 09/2007… 09/2012
Sep-12
* Chiffres consolidés, banques de droit belge.
Febelfin 4 mars 2013 37
38. 2013 n’est pas 2008
Réglementation plus stricte et contrôle renforcé :
niveaux belge, européen et international
Bâle III Loi bancaire 2010/
(e.a. exigences en Twin Peaks I
capital et de liquidités (e.a. modèle BNB /
plus FSMA, blocage
strictes, gouvernance) décisions stratégiques)
Twin Peaks II
G20/UE
(e.a. diversification plus
(SEBC, ABE, ESMA, Uni
poussée possibilités de
on bancaire)
contrôle et de sanction)
Febelfin 4 mars 2013 38
39. Bruxelles n’est pas Wall Street
La banque d’affaires en Belgique est essentielle pour une
économie de PME ouverte et orientée vers l’exportation
Qu’est-ce que la banque d’affaires
en Belgique?
Financement des entreprises
Financement spécialisé :
Commerce extérieur vital pour l’économie belge
Couverture contre les risques de taux de change, risques de taux, etc.
Les activités pour compte propre ont fortement diminué
et ont une importance limitée
Febelfin 4 mars 2013 39
40. • Paysage radicalement différent
• Réglementation plus stricte et durcissement
du contrôle à différents niveaux
• Banques d’affaires en Belgique importantes
pour une économie ouverte et pour les PME
Febelfin 4 mars 2013 40
42. La prestation de services des banques belges est
multicanaux et innovante
Réseau d’agences
et d’agents Selfbanks Phone banking
indépendants
Internet banking Mobile banking
Febelfin 4 mars 2013 42
43. Sécurité et approche préventive sont des priorités
pour le secteur
Succès national & international de la
vidéo YouTube sur le médium
• Visionnée plus de 8 millions de fois
• A un moment la plus partagée au monde
• Obtenu différents prix
Communication sur une base
régulière de conseils de sécurité à
propos de la banque par internet
Prochaine campagne en préparation
Febelfin 4 mars 2013 43
44. Deux raisons de poursuivre les investissements
dans les paiements électroniques
Coût sociétal du cash Toujours une marge de croissance
Nombre moyen de paiements sur une base annuelle par carte
de débit dans différents pays européens (2011)
200 183
180 168
160 148
140 115
120 95
100 88
80 65
60 40 48
39
40 23 26
20
0
Source : Calculs Febelfin sur la base des données de la Banque centrale européenne (2011)
Les paiements électroniques sont
un atout pour la société
Febelfin 4 mars 2013 44
45. Que peut faire le secteur ?
Développement de Implication pouvoirs
Promotion des
nouveaux instruments publics
paiements
Campagne “Par
Plusieurs formules Fonction d’exemple des
carte, évidemment” avec
smartphone / banque mobile pouvoirs publics
Comeos
Introduction de paiements Miser sur le
Incitants fiscaux
sans code e-commerce
Interdire les paiements en
… … cash au-dessus d’un certain
seuil
Febelfin 4 mars 2013 45
46. • Paysage multicanaux
• Elargissement de l’offre de paiement par l’innovation
• Sécurité prioritaire, e.a. via des campagnes de
prévention
Febelfin 4 mars 2013 46
48. Les banques assument leur rôle sociétal
Code de conduite pour les banques - entreprises
Code de conduite signé en mai 2010
Table ronde plan bancaire :
toutes les parties confirment
l’exécution complète et correcte du
code par les banques
Febelfin 4 mars 2013 48
49. Les banques assument leur rôle sociétal
Nouveau Code de conduite relation grand public
Un esprit
d’ouverture et clarté
de l’information
une bonne relation bancaire
Le dialogue honnête
et ouvert
7 principes de base pour
La discrétion, la
confidentialité et
protection des
données
personnelles
La compétence et le
savoir-faire
La sécurité et la
fiabilité
L’intégrité du
système bancaire
Le respect de
l’équilibre des
intérêts
Febelfin 4 mars 2013 49
50. Les banques assument leur rôle sociétal
Assister les clients en difficulté
• Ford Genk
• ArcelorMittal
• En cas d’aléas de la vie, parlez-en avec
votre banquier
• Recherchez ensemble des solutions
Febelfin 4 mars 2013 50
51. Les banques assument leur rôle sociétal
Cadre pour une épargne, des investissements et
des crédits durables
Recommandation produits
Parties prenantes durables
Politique ISR
Secteur
Transparence
Experts
Febelfin 4 mars 2013 51
52. Les banques assument un rôle sociétal
Miser sur la formation des collaborateurs
Formation de base des collaborateurs
en contact avec le client réglementée Formation intermédiation en
par la loi – Intermédiation bancaire : assurances réglementée par la loi :
depuis 2007 plus de 13.000 depuis 2007 plus de 6.000
collaborateurs et presque 50.000 intermédiaires / collaborateurs et
examens presque 40.000 examens
Formation auto-régulée :
-private banking : Nouvelles initiatives :
plus de 750 banquiers -intermédiation en crédit
-risk managers : -compliance officer
plus de 150 risk officers
Febelfin 4 mars 2013 52
53. Les banques assument leur rôle sociétal
Contribuer à soutenir l’éducation financière
Le paiement
L’emprunt
L’épargne
L’investissement
Relancement site internet
éducatif actualisé en mars 2013
La banque
Febelfin 4 mars 2013 53
54. En 2012, Febelfin a également été active dans
d’autres domaines
Child & Youth
Bank of the future
(KPMG & hazel Finance
heartwood) (conjointement
avec la FSMA)
Union bancaire
francophone Women in financial
(financement PME - services
conférence Marrakech)
Febelfin 4 mars 2013 54
56. • Actualisation Codes de conduite
• Trajets d’accompagnement spécifiques
• Créer un cadre pour l’investissement, l’épargne et
l’octroi de crédit responsables
• Miser sur la formation
• Implication dans des initiatives sociétales
Febelfin 4 mars 2013 56
Introspectie“Nietvanuiteenivorentoren” maar samen met stakeholdersUitwerkingStrategische Agenda
Traditionele bancaireoctroi de crédit om te bestendigen wat er al isAlternatieve financiering om mogelijkheden te creëren voor verzuchtingen samenleving binnen de nieuwe context en beperkingen (regels & rendabiliteit)
Hierbijkangesprokenworden over Mifidalsook Twin Peaks IIOorzakelijkverbandMiFiD II!:Inzake juridische aansprakelijkheid:Oorzakelijk verband tussen eventuele fout en eventuele geleden schade dient niet meer te worden aangetoondVraag kan gesteld worden of dit nog een proportionele maatregel en de verhouding respecteert tussen enerzijds mogelijk geleden schade ten gevolge van een fout en anderzijds de voorziene dwangsommen (“haalt men hier geen onredelijk grote kanonnen naar boven”?)
‘betaalverkeer moet als het wegennet zijn: zo snel, zo veilig en goedkoop mogelijk’Hoe komen we daartoe? Multikanaal = best of bothworlds (brick & click)Innovatief om banksector in de digitale wereld van de toekomst binnen te brengen (vb. recente aankondiging van BC/MC over betalen met smartphone)Veiligheid: investeren in hardware & sensibiliseringStimuleren betaalverkeer om maatschappelijke cost of cash te verlagen
!!! Opgelet: dit jaar eerder rond de 4% - beduidend méér, maar te weinig voor gezonde en duurzame financiering economie (verder uit te werken)Duiding rond 4,5%:Hoe duurzaam is deze winst?Vergeet niet dat je oog moet hebben voor verplichtingen inzake versterking van eigen vermogen & winstreserveringen die in deze gebruikt worden (goed voor een 60% van die 4,5% = > 1,8% blijft over)Hierop eveneens nog roerende voorheffing betalen (in zelfde voorbeeld blijft er met roerende voorheffing ad 25% nog 1,35 over)
Hier kunnen eventueel ook aangehaald worden:20 miljoen kosten voor roerende voorheffing 21 +4Kostrpijs hervorming spaarboekje= operationele kosten (zie ook slide 15)
Rentabilité pour leclient:Unerentabilitéinsuffisantepourraitaboutir àuneréduction des investissements,un étiolement de l’offre.Unerentabilitéinsuffisantepourraitaboutir àuneraréfaction des crédits,un renchérissement du prix des crédits,une contraction au niveau du service,unehausse du prix des produits.Rentabilité pour lepersonnel:Rentabiliténécessaire pour pouvoirrémunérer les travailleursRentabilité pour l’actionnaire:Rentabiliténécessaire pour pouvoirrémunérer les actionnaires
Ditvormteen kern-slide omtetonendat de Belgischebanksectorzijnopdrachtinzake de financiering van de Belgischeeconomienietheeftveronachtzaamd.
Watbetreftdalinggraadfinanciëleonafhankelijkheid: in heteerstedeciel (dwzvoor de allerkleinsteondernemigen) van de onderzochte KMO-populatiedaalde de graad van financiëleonafhankelijkheid maar liefst met 12,7%-punt over de voorbije 10 jaar!Watbetreftnegatiefvermogen: in 2002 bedroegdit 15,4%
Wijhebben nu eerst de traditionele, bancaireoctroi de créditbelicht,Nu kijken we het andereluik: de alternatievevormen van financiering
Zie hierover ook de NBB in haar jaarverslag (quote geciteerd op slide 20):“In Belgiëzetten de kredietinstellingen de sedert het uitbreken van de financiële crisis begonnenherstructurering van hunbalansvoort. In 2012 verminderdenze met name hunvorderingen op de periferelanden van het eurogebied. Terzelfdertijdspitstenzezichopnieuw toe op hunintermediatieactiviteiten in België en op hunstrategischemarkten: de bij de retailcliëntenaangretrokkendeposito’snamen toe en de octroi de créditbleef over het geheelgenomengehandhaafd. “
Veranderdlandschap: hard gewerktaansolvabiliteit, liquiditeit risicoprofiel is forsverminderdNieuwregelgeving & toezicht arsenaalomrisicoprofieltebeperken is aanwezig