3. Lloyd franc Wright (Lincoln franc soutenu
Wright) a vécu de 1867 à 1959. Pendant les la plupart de ces
années, de 1885 à 1959, il était un architecte prolifique, avec
près de 500 de ses conceptions construit (et d’unbuilt plus
restant de centaines) - une carrière durant trois quarts d’un
siècle, et sans égal dans le rendement. M. Wright a travaillé
pour des architectes J. Lyman Silsbee et Louis Sullivan, et il
plus tard a formé lui-même beaucoup d’architectes à sa école
de Taliesin. Lloyd franc Wright expoused “l’architecture
organique” et est responsable des modèles résidentiels de
prairie et d’Usonian. M. Wright est né dans le Wisconsin, et il
a vécu la majeure partie de sa vie là, également dépensant
une certaine heure habitant à New York City, l’Allemagne, Le
japon, un parc de chêne (l’Illinois), et l’endroit d’hiver de son
école en -Arizona. M. Wright a eu trois épouses et plusieurs
enfants. La troisième épouse, Olgivanna Wright a dirigé
l’école franche de Lloyd Wright de l’architecture jusqu’à sa
mort en 1985.
Lloyd franc Wright d’un coup d’œil
IBLIOGRAPHIE
4. Immeuble Larkin « New York » (1902-1906)
Plan de rez-de chaussée
Façade principale
Autour d’un atrium, des
planchers libres pour des
bureaux .
L’ossature (métallique) est
invisible de l’extérieur, revêtue
de briques, tandis que les
cages d’escaliers aux quatre
angles sont en maçonnerie.
D’où l’opposition entre l’aspect
massif du dehors et la légèreté
et la luminosité intérieures. La
partie gauche du plan montre le
haut des murs, à droite le bas.
5. Unity Temple Oak Park « Chicago » (1904-1907)
Façade principale
Plan de rez-de chaussée
Coupe sur l Bâtiment de l’auditorium
Deux bâtiments, séparés, abritent les deux activités
de la congrégation, l’office et la vie paroissiale. Les
deux bâtiments sont groupés autour de deux cours
surélevées par rapport à ta rue. le bas du croquis
représente l’étage bas de l’auditorium (notamment la
circulation en <(cloître s) et du bâtiment paroissial, le
haut du croquis montre la mezzanine du temple et les
salles de cours du bâtiment paroissial.
Une église comme un amphithéâtre, un lieu d’étude.
Observer la constitution complexe de la toiture, le grand
caisson central, les petits caissons de la verrière,
l’anneau des poutres creuses qui permettent l’avancée
des dalles en porte-à-faux. Malgré cette décomposition
la surface interne du plafond est lisse, sans aspérité.
L’élévation vue montre le rôle des lignes, des moulures
qui réunissent par un motif ornemental (un cadre de
part et d’autre de la chaire) les deux piliers.
6. Perspective
Plan et coupe schématique
Décomposition du volume en éléments indépendants
L’enclos ramène au centre. La dalle de toiture fuit
vers la périphérie. Lumière zénithale chaude.
Lumière latérale ombrée (froide).
7. Étage principale
Perspective du salon
vers le proche terrasse d’extrémité
Analyse de principe
structurelle de l’ossature
Détalle sur l’articulation
des deux poutraisons et de leurs appuis
Pour obtenir les porte-a-faux de
la terrasse et de la toiture des
piles de maçonnerie supportent
deux poutraisons distinctes,
longitudinale et transversale
Encadré, poutre
et porte—faux
8.
9. Hôtel Impérial résisterait aux pires
tremblements de terre, En avril 1922, alors
que la construction se parachevait, le
bâtiment fut soumis au tremblement le plus
violent depuis cinquante ans, Il tint bon.
Mais il ne survécut pas aux boulets du
démolisseur et, en 1967. ce noble immeuble
dut faire place â un nouvel hôtel.
Le plan original ôtai, un H allongé, dont les
ailes de 170 mètres abritaient les chambres,
b structure en était unique: elle reposait sur
des pilotis s’enfonçant dans le sous-sol
spongieux. comme les doigts d’un serveur
ponant un plateau, et la dalle, par cette
mobilité, négociait les secousses
géologiques. Les murs extérieurs étaient
érigés en blocs spécialement encochés,
entourant une couche intérieure de blocs
creux, qu’on avait remplis de tiges en fer et
de béton.
Hôtel Impérial « Tokyo-Japon » (1916-1922)
10. Maison sur la cascade « Bansilvania » (1935-1937)
La maison sur la cascade construite en 1936, Bear Run,
pennsylvanie est considérée comme étant la plus célèbre,
elle s’élève au dessus d’une cascade, dans les collines de
pennsyvanie, s’incorporant aux rochers.
Le cheminement est plein d’imprévus après avoir franchi la
passerelle d’accès on passe par un étroit couloir à l’arrière
de la maison contre le talus ; l’entrée elle même a des
dimensions réduire de manière à donner au vide lumineux
du séjour toute son ampleur.
Dans le site escarpé, en plein cœur de la forêt. Les tabliers
surplombant librement une cascade à laquelle une trappe
dans l’énorme pièce du séjour donne l’accès.
On descend au niveau de l’eau par un escalier suspendu.
Ici la construction hardie prend une valeur de premier ordre :
« Wright a conçu la maison comme une série de plateaux
posés sur des lits de pierre et renforcés sur les bords.
1er Étage
2éme Étage
Plan R.D.CPlan de masse
11. Il a fixé la masse de la cheminée à
même un gros rocher et autour du
foyer s’ordonnèrent les espaces ».
Cette section s’inspire dit on d’une
pyramide Maya et forme la clé de tout
le bâtiment.
La nature environnant l’architecture.
Vue du torrent. L’allure cubique d’une
caisse a été entièrement abandonnée,
il n’y a plus de parois. Plus de formes
géométriques, ni de symétrie ni de
rapport directs, ni d’agencement, ni
des règles qui ne soient pas liberté et
mobilité
coupe
12.
13. Johnson House Wisconsin (1937)
Plan de masse
La maison relier deux masses boisées e
t fait écran au vallon en contrebas
Plan de rez-de-chaussée
La forme en « ailes de moulin »
Détermine les quatre coupes
attachés aux quatre ailes
ainsi que le noyau central
e du grande living
Les Coupes
Le noyau centrale autour de la grande cheminée
14. Vue perspective du séjour vers la mezzanine
et l grande terrasse sud-estVue de la mezzanine vers le sud.
Un ample pan de toiture sépare l’éclairage zénithal et latérale.
Les ouvertures sont nombreuses main les trumeaux
Diagrammes en plan et coupe.
L’organisation du noyau est inspirée
de la forme du « Wigwam » indien.
15. Société Johnson
Les colonnes champignon
serrant en réalité à morceler le
vaste espace du bureau et fournir
du relief à la lumière rayon haute
qui miroite par le châssis vitré du
toit, sons elles l’espace aurait été
à la fois trop monotone et boite,
disparaît complètement.
Wright amplifie les horizontales
par des verticales, et pour la 1er
fois dans l’industrie de
l’architecture, il ouvre largement
à la lumière le raccordement
entre les parois et la toiture.
Il en résulte un arrangement
fluide, magique, l’enveloppe n’a
plus de pesanteur, elle s’entiché
de faisceaux lumineux
c’apparentant aux sentiments
humaine.
Tour des laboratoires « Johnson » (1952)
16. Tour des laboratoires « Johnson »
La tour est haute de 15 étages.
Les planches carrées
arrondies aux côtés, sont
alternés par des niveaux
circulaires traités en
Mezzanine.
Les murs extérieurs sont faits
des bandes de brique et de
verre.
Ces bandes de verre font
pénétrer un maximum de
lumière dans les laboratoires.
Section sur la tour
La grande sale aux
piliers champignon
Pilier champignon
à 3 étages
17.
18. Musée GUGGENHEIM « New York » (1943-1959)
C’est pour la première fois en
architecture qu’une rampe se
désolant en spirale continue
éclairant ainsi un espace
ouvert créant par son
mouvement ascensionnel un
effet plastique extraordinaire
Plan de rez-de-chaussée
19. La musée Guggenheim constitue
un manifeste poélimique car il
dénonce l’absurdité du
quadrillage New York. Il est
contre l’habituelle conception
des musées, il rejette la rigidité
des salles, referme et contraire à
la continuité des volumes, aussi
il préconise l’idée d’un rapport
entre le musée et la ville.
Musée GUGGENHEIM
20.
21. 1-Le plan cruciforme:
Il est essentiellement par Wright pour affirmer de fluidite des espaces qu il
recherche; a partir d un coeur central, ex:: la chemine et foyer de maison
Robie
Cette solution ouverte permet une adoption et une adhésion de 1 intérieur du
bâti avec extérieur
2-une effet il horizontalité prépondérant:
Il a obtenu par la réduction des dimensions humaines des pièces intérieurs
,par la dilatation du plan control. Cette disposition permet aussi d obtenir
a sentiment de repos et de calme (serenite)
3-La rationalisation de la structure et des éléments qui la composent:
Les parois s élevaient d un soubassement de ciments et de pierre . Ce qui
donne une continuité ou plasticité entre les sol et les murs.
4-Le souci du lieu les construction et la nature environnant:
Un édifice doit surgir du terrain avec naturel, sa configuration doit harmoniser
la configuration doit être sereine, essentiellement organique , tel que la
nature aurait elle-même crées si elle avait 1 opportunité.
5- le respect les matériaux employés dans la construction:
Et en conséquence un traitement qui doit valoriser la nature , c. a. d. Wright
sortir la nature des matériaux .Wright utilise les matériaux nature comme
:le bois le pierre de la brique
•Les principes de Wright
22. 6- les références liées aux caractère les plus prolonges de la
tradition
7- tout les fonctions domestique s’effectue d’une boit a
l’autre
8- la continuité de l’espace:
9-la lumière :
en architecture moderne utilise la lumière ,le lumière diffuse, le
lumière réfléchie, réfractée, l’ombre était donne par sur croit
le degrés de lumière étudies sont utilise pour la continuité d’espace
10- la plasticité:
Pour ce la il faut examiner le concept de l’extérieur vers l’intérieur et
l’espace intérieur entre eux de aspect fond mentaux de la conception
wrightienne, c.a.d. l’aidée de la colonne élément n’ant pour fonction
que d’habiller la structure
11- la simplification
23. Conclusion
Wright inventera un nouveau langage architectural en
assemblant des figures géométriques pour engendrer un espace
fluide. Cette conception usonienne donnera notamment naissance
à la maison sur la cascade (1936) et la maison Pew construite par
les apprentis de Taliesin, en 1940, avec des matériaux bon marché.
Wright inventera de nouvelles associations de formes et matériaux.
Il emploiera ainsi le verre Pyrex pour ses fameuses colonnes fines
et évasées du Johnson Wax (1936-1939), la brique pour l'entrée du
magasin Morris de San Francisco (1948), le béton uni pour la
spirale du musée Guggenheim à New York (1959) et la tôle ondulée
translucide pour la synagogue Beth Sholom à Philadelphie (1959).
Wright, qui dessinera les plans de 800 constructions au cours de
sa très longue carrière, verra la moitié des projets exécutés.