3. Plateforme de travail et partage
Nombreux modules web permettant d'échanger et de progresser sur les déterminations
4. Des programmes d'inventaires citoyens
Si les plantes exceptionnelles doivent être enregistrées par des experts,
la science « participative » permet de relever des grandes
masses d'observations, d'espèces assez ordinaires, qui font du sens.
Il existe de nombreux programmes où les citoyens sont mis à contributions
pour faire des relevés : http://vigienature.mnhn.fr/
Mais les amateurs (français en tout cas) hésitent à contribuer, de peur de
faire des erreurs en nommant les espèces observées.
Afin d'accompagner dans leur démarche les utilisateurs néophytes,
iHerbarium a scindé en deux étapes le process d'observation puis
identification des plantes à fleurs, de façon à offrir à l'utilisateur
une session de photographie la plus simple et libre possible
Ainsi il est remis en position de participants.
5. La 6ieme extinction a commencé
L'Union internationale pour la conservation de la nature
évalue qu'une espèce d'oiseaux sur huit, un mammifère
sur quatre, un amphibien sur trois et 70 % de toutes les
plantes sont en péril (wikipedia).
Mais les scientifiques manquent de données pour affiner leur modèles.
Le Global Biodiversity Information Facility
→ est une organisation centralisant toutes les informations
de biodiversité au niveau mondial.
→ permet aux chercheurs d'avoir des données unifiées
(accès par http://data.gbif.org/ )
→ améliore la connaissance des eco-systèmes,
et la précision des modèles.
Les programmes 'participatifs' comme les institutions scientifiques
y envoient leurs données.
7. Un format d'échange presque universel
Le GBIF et de nombreuses bases de données naturalistes échangent leurs
informations à l'aide du format DarwinCore (DwC)
13. Bénéfices de ce type d'inventaire « société »
La collecte « massive » permets d'avoir des informations d'abondance
et d'absence, deux données difficiles à prendre en compte
On n'a des informations que sur les plantes, mais de manière
quasi-exhaustive, les autres types d'inventaires (insectes par exemple) auront
toujours d'énormes freins à la collecte
•
Motivation de la société qui promeut l'inventaire : le résultat final est
un indicateur unique, solide, orienté « patrimoine »
– stable dans le temps,
– auditable par un organisme extérieur
– pouvant s'intégrer aux indicateurs RSE
(bientôt obligatoire pour les grandes sociétés)
Les sociétés devant avoir un suivi régulier, on s'assure de données collectées
de manière homogène pendant de nombreuses années.
14. Qui sommes nous ?
Agoralogie est une Jeune Entreprise Innovante, créée début 2010.
Nous avons développé l'outil de détermination iHerbarium pour les amateurs et
la plateforme « indicateurs-biodiversité » d'auto-inventaire pour les utilisateurs
commerciaux
Nous sommes partenaires avec le Museum et Cnam d'un projet de sciences
citoyennes et participatives, dans le cadre de "Infrastructures Nationales
en Biologie et Santé", pour l'exploitation de la numérisation des herbiers.
Pour tout renseignement :
philippe.laroche@agoralogie.fr
Téléphone 01 56 950 950