2. Définition
La xénogreffe désigne la transplantation d'un
greffon (ex : organe) où le donneur est d'une espèce
biologique différente de celle du receveur. La
xénotransplantation pourrait potentiellement fournir
une réserve illimitée de cellules, de tissus et
d'organes pour les humains.
3.
4. Pour qui ?
Les transplantations cellulaires : aux
personnes atteintes de diabète ou des
maladies d'Alzheimer ou de Parkinson.
Les transplantations tissulaire : Les
greffes cutanées pour les brûlés, la greffe
de cornée pour les personnes ayant une
déficience visuelle, ou la transplantation
osseuse pour la reconstruction de
membres.
La transplantation d'organe : L’organe
transplanté doit assurer toutes les
fonctions de l’organe qu’il remplace. le
cœur entier, les poumons, le foi, les reins
ou le pancréas.
5. Quels animal est il préférable d’utiliser pour
xenotransplanter ?
Les primates non humains => risques importants pour la santé.
Meilleur choix d’animaux donneurs : les porcs car :
- possible de les élever dans des conditions très contrôlées afin que leurs
organes soient moins susceptibles de transmettre des maladies infectieuses
aux humains.
- organes ≈même taille que ceux des humains.
- élevage de porcs dans lesquels des gènes humains ont été introduits (« porcs
transgéniques »). Les cellules de ces animaux sont alors plus facilement
tolérées par le système immunitaire du patient.
- En élèvant les porcs en milieu conditionné, on peut réduire au minimum leur
exposition aux micro-organismes et satisfaire leur besoin d’interaction
sociale.
6. Qu’est ce que le rejet ?
facteur important dans la transplantation
d’organe
C'est la destruction, après sa
reconnaissance, de tout élément étranger
pénétrant dans un organisme vivant
1ère barrière pour la xénotransplantation :
présence du sucre Gal à la surface de
toutes les cellules porcines, sucre contre
lequel l'homme a développé des anticorps
naturels.
7. Quel est la position des ≠ religions ?
La plupart des courants religieux sont favorables au Don
d'Organes : le catholicisme, le protestantisme, l'islam, le
judaïsme.
opposition de l'hindouisme et du shintoïsme.
La conviction religieuse n'influe pas sur les notions de fraternité,
d'amour, de dignité, de respect.
Comment un receveur de religion juive ou musulmane
accepterait de vivre avec un organe de porc alors que sa religion
lui interdit d’en manger ?