2. C’est quoi, Le Spleen de Paris?
Le Spleen de Paris: “Petites Poèmes en Prose” est une collection
de petites textes écrit par Baudelaire. Bien que Baudelaire travaillait
sur ces textes pour beaucoup d’années, la collection était publié
après que Baudelaire est morte (1867)1 La contenue de Le Spleen de
Paris était inspiré par ce que Baudelaire voyait dans les grandes villes
et dans les rues2 Les critiques avaient décrit les textes comme petites
fenêtres à travers lesquelles on voit les vies ou les moments dans les
vies des personnages divers. Dans l’œuvre, on trouve les types
d’écriture variés; on trouve des rhapsodies, des narrations courtes,
des litanies, des fantaisies, des paraboles, des petits essais, et plein
d’autres types. En plus, on y trouve les parodies de sens commun.
Edward Kaplan, un critique des oeuvres de Baudelaire, considère La
Spleen de Paris comme "fables de la vie moderne ». Tous ces
« fables » se présentent dans les petites proses poétiques, ou bien
les poèmes en prose.
3. La Lettre de Baudelaire
Au début de son oeuvre, Baudelaire adresse le lecteur
dans une petite lettre dans lequel il parle de l’assemblé de Le
Spleen de Paris, et la genre dont il emploie. Baudelaire n’était
pas la première personne d’utiliser ce mélange de genres. Il a
imité Aloysius Bertrand. Baudelaire pense que le mélange des
proses et de la poésie est un miracle car ce genre est
« musicale sans rythme ou rime », et parce qu’il y a assez
d’opportunités pour suivre les « soubresauts de la
conscience ». Enfin, le genre que Baudelaire utilise l’a donnait
l’espace pour écrire tout ce qui se passe dans son esprit et sa
coeur, même si les penses et les sentiments n’étaient pas
concrète ou complètement formulés. Dans cet oeuvre unique,
on voit les « ondulations de [son] rêverie ».
4. Les divisions de l’oeuvre
Dans sa petite lettre, Baudelaire parle de
comment les pièces individus constituent un
ensemble. Baudelaire, car il est toujours poète, dit
qu’il n’y a ni tète ni queue distincts. Plutôt, « tout…
est à la foi tête et queue ». En plus, on peut couper
n’importe quel « vertèbre » de ce « tortueuse », on
peut soulever n’importe quelle poème, et
l’ensemble resterait complet. En plus, chaque
fragment peut exister seule ; cependant, Baudelaire
nous suggère qu’il y en a une beauté dans
l’ensemble.
5. Les premières poèmes
Dans les deux premiers poèmes il s’agit de la
solitude, la sensitivité de la beauté, et l’idée
d’être une étrangère. Ces thèmes existe partout
dans l’ouvre---car Baudelaire souffrirait de ces
trois problèmes3
6. L’Étrangère
« Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ? ton père, ta mère, ta soeur ou ton
frère ?
– Je n’ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère.
– Tes amis ?
–
Vous vous servez là d’une parole dont le sens m’est resté jusqu’à ce jour inconnu.
– Ta patrie ?
– J’ignore sous quelle latitude elle est située.
– La beauté ?
– Je l’aimerais volontiers, déesse et immortelle.
– L’or ?
– Je le hais comme vous haïssez Dieu.
– Eh ! qu’aimes--tu donc, extraordinaire étranger ?
– J’aime les nuages... les nuages qui passent... là--bas... là-bas... les merveilleux nuages ! »
7. Le désespoir de la vieille
La petite vieille ratatinée se sentit toute réj
ouie en voyant ce joli enfant à qui chacun faisai
t fête, à qui tout le monde voulait plaire; ce joli
être, si fragile comme elle, la petite vieille, et, c
omme elle aussi, sans dents et sans cheveux.
Et elle s’approcha de lui, voulant lui faire d
es risettes et des mines agréables.
Mais l’enfant épouvanté se débattait sous le
s caresses de la bonne femme décrépite, et rem
plissait la maison de ses glapissements.
Alors la bonne vieille se retira dans sa
solitude éternelle, et elle pleurait dans un coi
n, se disant: –
« Ah ! pour nous, malheureuses vieilles femelles
, l’âge est passé de plaire, même aux innocents
;; et nous faisons horreur aux petits enfants que
nous voulons aimer !
»