Exercice de FLE pour enfants sur les transports et les prépositions
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque
1. Un acteur de la ville intelligente :
La bibliothèque
lionel.dujol@gmail.com
2. Comprendre le concept de la ville intelligente.
- Contexte et définition.
- Les composantes de la ville intelligente
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
- Une bibliothèque inscrite dans la ville intelligente.
- Des dispositifs au service de la ville intelligente.
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
3. Comprendre le concept de la ville intelligente.
- Contexte et définition.
- Les composantes de la ville intelligente
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
- Une bibliothèque inscrite dans la ville intelligente.
- Des dispositifs au service de la ville intelligente.
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
4. La ville du 20ème siècle est mise en question
Un contexte d’urbanisation et de péri-urbanisation croissants…
Majorité de la population vit en milieu urbain (60% en Fr). D’ici 2050, environ 70 %
de la population mondiale (ONU, 2014).
… de plus en plus problématiques :
- Etalement urbain : explosion des mobilités et congestion des infrastructures
routières.
- Lutte contre les gaz à effet de serre et contre la pollution atmosphérique
- Consommation croissante d’énergie
- Production excessive de déchets.
- Ressources en eau de plus en plus rares
- Fractures sociales - ségrégation urbaine, ghettoïsation
5. Un contexte technologique : émergence du numérique .
- Accès à l’information en abondance et en temps réel.
- Facilité du partage de l’information.
- Technologies nomades : smartphone …
- Internet des objets (capteur et actionneur intelligent).
- Big data : gouvernance de l’information.
6. L’objectif de la ville intelligente : favoriser le développement
le plus vertueux possible.
La ville intelligente a pour vocation :
- d’améliorer la situation actuelle des villes et de
répondre aux diverses problématiques urbaines,
- d’améliorer la vie quotidienne des usagers et des citoyens,
- d’engager un changement de comportement chez les citoyens, mais aussi
au sein de l’administration et dans les entreprises vers un développement plus
durable,
- d'Incorporer les technologies numériques aux différents secteurs et services
de la ville afin de permettre d’atteindre ces objectifs. Le numérique n’est pas
donc une fin en soi.
7. De nombreux termes sont utilisés pour désigner la ville intelligente
Le concept est souvent accompagné de notions connexes :
innovation urbaine, sociale, participation citoyenne, communs …
Smart city,ville numérique, green city, connected city,
éco-cité, ville durable…
9. Un regard critique de la smart city
Surveillance et traçabilité :
La ville intelligente repose sur une surveillance massive, sur une analyse permanente
des données produite par les citoyens via les objets connectés ou les réseaux
comme les smart grids.
Source : la smart city est elle inhumaine ?
10. Un regard critique de la smart city
Un citoyen consommateur :
L’habitant, travailleur ou touriste de la ville, est encore trop perçu comme un
consommateur ou un fournisseur de données.
Source : la smart city est elle inhumaine ?
11. Un regard critique de la smart city
Intérêt général vs intérêt privé ?
Risque de voir des collectivités, souvent budgétairement contraintes, céder tout ou partie des
données produites par les citoyens à des entreprises impliquées dans les offres d’infrastructures
pour les villes intelligentes, (IBM, Cisco, Microsoft, Schneider Electric, EDF…) afin de profiter de
nouveaux équipements et de s’inscrire au sein du mouvement Smart city.
Source : la smart city est elle inhumaine ?
12. Pas de « Smart City » sans « Smart Citizen » !
La ville intelligente est un territoire qui met le citoyen au cœur de sa démarche.
Elle est imaginée et construite pour lui et, mieux encore, avec lui.
Elle remet le citoyen au centre du forum, il devient acteur, décideur, voire juge.
Il est la colonne vertébrale de cette nouvelle façon d’envisager la gestion d’un espace
commun.
13. Source : Présentation de la stratégie montréalaise 2014-2017 au comité exécutif du 28 janvier 2015
14. Source : Présentation de la stratégie montréalaise 2014-2017 au comité exécutif du 28 janvier 2015
16. Comprendre le concept de la ville intelligente.
- Contexte et définition.
- Les composantes de la ville intelligente
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
- Une bibliothèque inscrite dans la ville intelligente.
- Des dispositifs au service de la ville intelligente.
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
17. Source : La ville intelligente comme vecteur pour le développement durable : le cas de Montréal - Joëlle Simard
18. Source : La ville intelligente comme vecteur pour le développement durable : le cas de Montréal - Joëlle Simard
19. Source : La ville intelligente comme vecteur pour le développement durable : le cas de Montréal - Joëlle Simard
20. - Il n’y'a pas de ville intelligente sans association des citoyens au projet.
Quel intérêt de développer des outils quand il n’y a personne pour les utiliser ?
- Il n’y pas de ville intelligente sans révolution marketing de l'image de la ville:
La ville est devenue une marque. Séduire pour attirer.
- Il n'y a pas de ville intelligente-type.
S’adapter aux spécificités locales
- Il n’y a pas de ville intelligente sans bouleversement du fonctionnement des
services publics.
Abandon du modèle en silo et hiérarchique. Ère de la transversalité
Les principes de la ville intelligente
Source : La ville intelligente pour les nuls - Barge, Christophe, et Lorraine Auffray.
21. Les principes de la ville intelligente
Source : La ville intelligente pour les nuls - Barge, Christophe, et Lorraine Auffray.
- Il n’y a pas de ville intelligente sans comité de pilotage ouvert.
La smart cite est un projet collaboratif.
- Il n'y a pas de ville intelligente sans expérimentation.
- Il n'y a pas de ville intelligente sans échecs.
- Il n'y a pas de ville intelligente du jour au lendemain.
Ce ne sont pas les outils mis en place qui vont lui permettre d’émerger, mais bien leur
appropriation par les citoyens. Un temps nécessaire à chacun pour changer ses
habitudes et prendre de nouveaux réflexes.
- Il n’y a pas de ville intelligente sans ouverture du cadre de la loi.
Les pouvoirs publics vont devoir adapter les textes, fixer de nouvelles réglementations,
afin de tenir compte des mutations de notre monde
23. Apporter une réponse adaptée aux besoins des usagers qui
n’attendent pas forcement que leur bibliothèque soit “branchée”,
mais qu’elle leur propose des services utiles et efficaces en
phase avec leurs usages quotidiens.
L’enjeu est donc de s’adapter aux mutations en cours et
d’anticiper les besoins futurs en adoptant dans la mesure du
possible, une démarche prospective
Innovation publique
25. 1 La primauté de l’usager : partir des besoins et des usages observés sur le terrain.
2 L’ouverture : décloisonner les structures et les méthodes.
3 La coproduction : associer les parties prenantes autour de solutions concrètes.
4 L’action : s’inscrire dans la logique du « faire ».
5 L’agilité : tester rapidement sur le terrain.
6 L’expérimentation : reconnaître le droit à l’erreur.
7 L’impact : innover pour répondre à des problèmes
Les 7 principes pour developer l’innovation dans la culture professionnelle
27. Empowerment ou capacitation
Processus d’apprentissage qui vise à l’acquisition de plus de pouvoir
par les individus et augmenter sa capacité à prendre part une part
active à la vie citoyenne et aux politiques publiques.
https://www.flickr.com/photos/grenade/2941164568
28. Comprendre le concept de la ville intelligente.
- Contexte et définition.
- Les composantes de la ville intelligente
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
- Une bibliothèque inscrite dans la ville intelligente.
- Des dispositifs au service de la ville intelligente.
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
29. Les idées de centralisation et de décentralisation sont aujourd’hui rattrapées et
contredites par la notion de territoire distribué, « pair à pair ».
Prenant ancrage dans les usages et cultures numériques, cette conception du
réseau impacte désormais directement la construction, les flux et les liens
territoriaux dans lesquels la bibliothèque est inscrite, tant à l’échelle urbaine que
rurale.
Il est clair que ce qui importe aujourd’hui s’inscrit plus sur « la dimension
réticulaire des territoires, plutôt que la dimension territoriale des réseaux »
Notion de territoire distribué
Source : La bibliothèque distribuée : fabriquer ensemble un territoire des communs de la connaissance - P. Desfarges
30. la complexité de nos attentes, la relation désormais brouillée
entre l’amateur et le professionnel et notre attachement à n’être
jamais ni l’un ni l’autre, mais les deux à la fois.
Cela faisant, on assume cette contradiction et l’apparition d’une «
culture de la contribution, du partage » qui vient comme
institutionnaliser l’effacement de l’opposition classique entre
acteur et spectateur, entre producteur et consommateur, la
distinction claire entre public et privé, la relation très assumée
entre la consommation culturelle et la culture classique, le rôle des
collectivités territoriales.
Autant de ruptures qui jadis structuraient nos façons d’être et
de faire et qui aujourd’hui s’effacent pour donner une tonalité
différente à notre horizon d’attente, individuel et collectif.
« Source : Bibliothèque minimale ou bibliothèque augmentée? - Pierre Franqueville
Des attentes qui se complexifient
31. Le territoire ne tourne plus autour de la bibliothèque
Parler de proximité, est-ce en dernier objectif vouloir que la population fréquente les
espaces de la bibliothèque ?
Ou n’est-ce pas un renversement de perspective : parler d’une proximité qui
déplace les services de la bibliothèque – collections comprises – au plus près de la
population dans son cadre d’activités familiales, professionnelles ou sociales, sans
nécessairement vouloir que ce cadre intègre le lieu bibliothèque voire s’y
déplace ?
Cette hypothèse de proximité réellement nouvelle n’augure pas de la disparition de la
bibliothèque-lieu, mais pose la question de la bibliothèque vivante sur le territoire
de la population qu’elle sert, au-delà des services offerts dans un lieu à cette
population.
Source : Excentrer la bibliothèque : l’invention de la proximité - Bertrand Calenge
32. Source : L'innovation en bibliothèque : hacker, détourner, remixer, partager, participer - P. Desfarges
35. Source : Manifeste de l’UNESCO sur la bibliothèque publique
La bibliothèque publique, clé du savoir et de l’information
à l’échelon local
La bibliothèque publique est, par excellence, le centre d’information local,
où l’utilisateur peut trouver facilement toutes sortes de connaissances et
d’informations.
La liberté, la prospérité, le progrès de la société et l’épanouissement de
l’individu sont des valeurs humaines fondamentales, que seule l’existence de
citoyens bien informés, capables d’exercer leurs droits démocratiques et de
jouer un rôle actif dans la société permet de concrétiser. Or, participation
constructive et progrès de la démocratie requièrent une éducation
satisfaisante, en même temps qu’un accès gratuit et sans restriction au savoir,
à la pensée, à la culture et à l’information.
La bibliothèque publique, clé du savoir à l’échelon local, est un instrument
essentiel de l’éducation permanente, d’une prise de décisions indépendante et
du développement culturel de l’individu et des groupes sociaux.
36. • créer et renforcer l'habitude de lire chez les enfants dès leur plus jeune âge;
• soutenir à la fois l'auto-formation ainsi que l'enseignement conventionnel à tous les niveaux ;
• fournir à chaque personne les moyens d'évoluer de manière créative ;
• stimuler l'imagination et la créativité;
• développer le sens du patrimoine culturel, le goût des arts, des réalisations et des innovations
scientifiques ;
• assurer l'accès aux différentes formes d'expression culturelle des arts du spectacle ;
• développer le dialogue inter-culturel et favoriser la diversité culturelle ;
• soutenir la tradition orale ;
• assurer l'accès des citoyens aux informations de toutes catégories issues des collectivités locales ;
• fournir aux entreprises locales, aux associations et aux groupes d'intérêt les services d'information
adéquats ;
• faciliter le développement des compétences de base pour utiliser l'information et l'informatique ;
• soutenir les activités et les programmes d'alphabétisation en faveur de toutes les classes d'âge, y
participer, et mettre en oeuvre de telles activités, si nécessaire.
Source : Manifeste de l’UNESCO sur la bibliothèque publique
Les missions-clés de la bibliothèque
37. Smart city > smart library !
Source : La ville intelligente comme vecteur pour le développement durable : le cas de Montréal - Joëlle Simard
38. Cette nouvelle perception des territoires et l’émergence du concept de smart city
offre aux bibliothèque l’opportunité d’interroger leur rôle actif dans le
développement d’une « ville durable ».
39. Comprendre le concept de la ville intelligente.
- Contexte et définition.
- Les composantes de la ville intelligente
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
- Une bibliothèque inscrite dans la ville intelligente.
- Des dispositifs au service de la ville intelligente.
Un acteur de la ville intelligente : la bibliothèque.
40. - Faciliter l’accès aux services.
- Réduire la perception que son lieu de résidence peut être un inconvénient.
- Optimiser les déplacements et limiter la congestion
- Adapter les services et améliorer son efficacité
- Proposer des espaces publics attractifs (Wi-Fi libre et ouvert par ex. )
Les trois dimensions de la bibliothèque
41. Faire de la ville le terrain privilégié du service public participatif en faisant des habitants des
acteurs et des producteurs d’information.
Éclairer les choix des subventions aux services et équipements en permettant aux habitants de
faire part de leur avis et commentaires.
Limiter les écrans entres les élus, d’un côté, et les entreprises et les habitants, de l’autre, en
réduisant le nombre d’instances et de collaborateurs intermédiaires.
Permettre un investissement permanent des habitants et des entreprises dans le montage et le
suivi des grands projets, voire dans leur financement (crowdfunding)
Créer une plate-forme collaborative permettant aux citadins de s’investir dans des missions de
service public.
La bibliothèque, espace de la participation citoyenne
49. Les visiteurs peuvent parcourir et consulter une sélection de documents, obtenir une
carte de bibliothèque et en apprendre davantage sur les ressources et les services de la
bibliothèque.
50. La bibliothèque de la gare de Haarlem (Pays Bas)
A la bibliothèque de la gare de Haarlem, les livres sont empruntables, mais les journaux et
magazines doivent être consultés sur place. La bibliothèque offre au public le wifi, quatre
ordinateurs connectés à internet ainsi que deux iPads. Un bibliothécaire est présent en
permanence. Les non-adhérents peuvent prendre un abonnement uniquement pour la
bibliothèque de la gare, moyennant 40 euros par an. Le paiement à l’acte est aussi possible
(2,50 euros à l’acte, système par carte avec prépaiement).
Source : Bibliothèque de la gare de Haarlem - Amandine Jacquet.
51. Lire vous transporte à Montréal
Mis en appétit, les lecteurs peuvent ensuite emprunter le livre en version papier ou
numérique dans l’une des 45 bibliothèques montréalaises ou l’acheter sur le
portail Ruedeslibraires.com. Il est également possible de trouver les bibliothèques ou les
librairies montréalaises les plus proches, sur le site de l’opération.
Source : A Montréal, les bibliothèques numériques se déplacent en bus - Les numériques.
52. Le réseau de transport Transpole, propose aux lillois et aux personnes de passage de lire
en numérique. Les médiathèques de Lille ont sélectionné des livres numériques et les
mettent à disposition des lecteurs voyageurs prenant le métro et le bus. Ces ebooks sont
accessibles via des étiquettes NFC et QR Codes disséminés dans des stations de bus et
de métro de la métropole.
Source : BiblioMobi : la lecture numérique entre dans les rues de Lille - IdBoox
La bibliothèque mobile de la Métropole Européenne de Lille
54. L’association Bel Air a passé une convention avec la ville qui lui permet de profiter des «
désherbages » de la bibliothèque municipale. Tous les six mois, tous les ouvrages sont
ainsi renouvelés.
Source : À Rennes, les bibliothèques de rue en plein essor.
Les bibliothèques de rue à Rennes
55. Des livres retirés des collections, équipés
d’un bandeau bleu identifiant et installés
dans mobilier conçu et fabriqué dans les
ateliers de la Ville.
Les livres nomades sont installés dans
65 lieux de proximité, des commerces
(cinéma, bar, salon de coiffure, hôtel ….)
des équipements sportifs, des structures
municipales, des centres médicaux …
Un suivi des bibliothécaires.
Gratuit et sans inscription.
Possible mettre en "Livres nomades" ses
propres livres. Dépôt dans une
bibliothèque du réseau afin d’être
estampillés aux couleurs du dispositif.
Les livres nomades de la BM du Havre
Source : Nouveaux espaces et pratiques émergentes : Lire au havre . F. Legendre
56. Source : La bibliothèque comme tiers lieu ludique - Marie D. Martel -Thierry Robert
• Mettre en capacité, être acteur plutôt que consommateur
• Mettre en valeur l’innovation ascendante
• Fonctionnement horizontal
• Accès libre
• Créer, documenter, partager
• Travailler & apprendre mieux
• Encourager les déplacements de proximité
Tiers lieu de savoirs et savoirs faire partagés
57. La bibliothèque, un espace de co-working
La médiathèque n’est pas un simple lieu dédié au ludique ou au culturel, mais elle a
également une vocation sociale et économique. par cet espace de Co-working la
médiathèque a su s’ancrer non seulement parmi le citoyen lambda mais également
dans le tissu économique et industriel local (free-lance, chefs d’entreprise, artisans,
auto-entrepreneurs, formateurs impliqués dès l’ébauche du projet de coworking…)
Source : Quand la création d’un espace de co-working sert d’argument pour constuire une médiathèque - Bibliosession.
58. Espaces d’apprentissages collaboratifs
Apprendre à souder, coudre ou imprimer en 3D, il ne s'agit pas uniquement de développer ses
compétences numériques mais de développer ses compétences en réseau avec l'aide du reste
de la communauté. L'important ici n'est pas la technique mais la qualité des relations
développées entre les participants
59. Les ruches d’art
- Célèbre les forces et la créativité des individus et des communautés.
- Encourage les expériences autonomes de créativité, d’apprentissage et de partage de savoir-faire.
- Offre l’accès gratuitement et promeut l’économie du don.
- Partage les ressources incluant l’abondance de matériaux d’art disponibles pour la réutilisation créative.
- Partage les connaissances et les stratégies pour la recherche de financement et le développement économique.
Source : Faire de l’art, créer de la solidarité et réinventer les tiers lieux culturels - Bibliomancienne.
61. « Cette bibliothèque de l’état de NewYork permet aux usagers d’expérimenter en plein air en leur
prêtant un lopin de terre et en proposant des formations sur la croissance des végétaux et
l’agriculture urbaine.»
Source : Les fab-labs en bilbiothèque, nouveaux tiers lieux de création ? Bibliomancienne
62. Venez planter et prendre conseils à la médiathèque. Dès 16h nous vous proposons :
- un atelier jardinage pour les enfants, animé par une bibliothécaire
- la présence du club des « Jardiniers en Herbe » d’Elément Terre Mon Cher Jardin : sensibilisation à la nourriture
biologique
- la présence d’un jardinier-conseil pour les plus grands :
Source : Une Grainothèque fleurit àYourcenar ! -Yourbiblog
63. Une journée autour de la
grainothèque de la médiathèque
publique et universitaire de Valence,
en partenariat avec les
grainothèques de la Drôme.
Troquez, échangez, découvrez,
fabriquez, jouez, observez et testez
toutes vos passions autour du jardin.
65. Quatre ruches installées sur le toit de la bibliothèque de Salt Lake City. Elles produisent plus
de 45 kg de miel chaque année, mais elles sont surtout un moyen de sensibiliser les usagers
au rôle essentiel des abeilles dans la biodiversité et à leur sauvegarde.
Source : City Library turns out 50 pounds of honey
Des ruches à la bibliothèque
66. « Et elle s’inscrit parfaitement dans ce
mouvement de l’Economie Sociale et Solidaire
ou en tout cas, de consommation
collaborative émergent.
N’être pas seulement dans la proposition
(encore moins la prescription) mais accueillir
des usages des citoyens et favoriser les
échanges entre eux. »
Charlotte Hénard, responsable du pôle
actualités BMToulouse
Source :Troc de presse à la bibliothèque de Toulouse - Bibliobsession
Troc de presse
67. le produit de la numérisation est placé sous la Licence Ouverte/Open Licence d’Etalab et le
département se refuse à concéder des exclusivités à des tiers. Cela signifie que les documents
numérisés peuvent être librement réutilisés sans avoir à verser de redevances, y compris à des fins
commerciales, à condition de mentionner leur source.
Financement participatif - Crowfunding
69. Faire de la gratuité le principe
Une analyse fine du marché de la donnée publique dans le secteur
culturel met en exergue qu’à l’exception des grand projets de
réutilisation menés par de grands établissements publics, le plus
souvent des établissements publics à caractère industriel et
commercial, le bénéfice financier reste faible ou représente
des revenus marginaux.A ce titre, une mise en balance des
intérêts de l’Institution doit être réalisée entre les revenus financiers
réalisés en matière de réutilisation de ses données et la stratégie
numérique de dissémination, de visibilité et d’économie de notoriété
qui peut être développée par une ouverture plus grande des
données.
Recourir aux licences ouvertes
Un contrat de licence de rétilisation consenti à titre gratuit a été
élaboré dans le cadre d’un groupe de travail conduit par la mission
Etalab. . Ce contrat, qui s’appuie sur les dernières versions des
licences libres et gratuites élaborées par les Administrations, a
vocation à bénéficier aux réutilisateurs qui disposent ainsi d’un
outil juridique adapté à la réutilisation gratuite et au souhait de
favoriser l’innovation et le développement de l’économie
numérique. Le recours à ce contrat de licence est fortement
recommandé en ce qu’il permet de fixer par écrit les conditions de
réutilisation des informations publiques.
83. Un Living Lab est une méthodologie de recherche en
innovation menée par une réunion d’acteurs publics, privés
et citoyens qui travaillent en concertation continue, plutôt
qu’en vase clos, pour concevoir, améliorer et valider dans le
vécu (la « vraie vie »), des produits, des services, des
technologies, des outils, etc.
Living lab : innovation produite par et pour l’usager
84. Source : Du design au co design - Nicolas Beudon
87. Organisation des réunions de réflexion sur l’action culturelle et sur la
politique documentaire avec plusieurs acteurs sociaux, éducatifs et
médicaux du territoire: les professionnels de la Petite Enfance (crèches et
Relais d’Assistantes maternelles), la Mission locale, la Protection Maternelle
et Infantile, les chantiers d’insertion, l’école de musique, les maisons de
retraite, etc
91. Qu’est-ce que tu n’aimes pas, qu’est ce que tu aimes dans la bibliothèque ?
Qu’est-ce que tu fais à la bibliothèque ?
Qu’est-ce que tu aimes faire quand tu n’es pas à la bibliothèque ?
Dans la bibliothèque de tes rêves, il y a quoi ?
Source : BiblioRemix Junior : La méthode
Biblioremix Junior - Médiathèque Louise Michel