Présentation de l'e-transformation de la formation professionnelle, réalisée dans le cadre de la formation MBA MCI (Marketing et Commerce sur Internet) - Octobre 2014 - Promotion Part Time.
Site internet dédié: http:www.e-formationpro.fr
12. Massification
Conception de
l’offre
Chaîne de Valeur - évolution
Réalisation de la prestation
Services
Conception de l’offre
Réalisation
de la
prestation
AVANT
APRES
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13. Massification
Une grande banque décide de former une business unit aux
« fondamentaux de l’économie digitale »
Septembre :
Business Case
extension à 1 000 salariés
Coût : 55 K€
Mai - juillet :
200 « testeurs »
Coût : 20 K€
Coût par personne = 100 €
Coût par personne = 55 €
Coût par heure = 7 €
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14. Massification
Open Online
Un nouveau modèle économique qui repose sur la masse
Présentiel Je paie pour un forfait d’heures
E-learning Je paie pour un accès illimité au
contenu
Open Online
Si c’est gratuit,
qui paie ?
MOOC : je paie la certification
Tutos : c’est la pub qui paie
COOC : c’est le producteur du
contenu qui paie !
Ces nouveaux
modèles
reposent sur la
masse :
ils ne sont
rentables que
si le produit
est diffusé
massivement
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16. Massification
Qu’est ce que vous avez retenu ?
Qu’est ce qu’un MOOC ?
Par différence, qu’est ce qu’un COOC ?
Quels bénéfices pour un salarié ?
Quels bénéfices pour une entreprise ?
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22. Systématisation et mesurabilité
• Automatisation des process = réduction des coûts
• Mode SaaS (via le cloud) = >Accessibilité des outils pour tous (presque)
• CAS Volkswagen
MANAGER
COLLABORATEUR
Demande de formation
Service RH
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23. Systématisation et mesurabilité
TOUS LES ACTEURS DE LA FORMATION CONNECTES A
UNE SEULE PLATEFORME
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24. Systématisation et mesurabilité
LMS c’est aussi la possibilité de créer soi-même ses
contenus sans passer par un DSI
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25. Systématisation et mesurabilité
• Gestion intégrée à l’intérieur d’une gestion globale = GPEC,
recrutement
• Suivi des actions de formation avec précision et en temps réel
• Maîtrise des coûts et calcul du ROI
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26. Systématisation et mesurabilité
Précis et mesurable
Peu précis
Service en silo Gestion globale
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73. La révolution « sociale »
Brainstorm
Visibilité
Projet de
groupe
Valoriser
INDIVIDU
GROUPE
Organisation
SAVOIR Coopétition
Culture
Remise en
question
Pourquoi
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75. Les leviers e-marketing
Mots clés les plus recherchés Mots clés les plus chers
Keyword Suggested bid
organismes formation professionnelle 17,07 €
formation professionnel informatique 8,57 €
formation informatique pour adulte 6,81 €
formation anglais professionnel paris 6,72 €
formation anglais professionnel 6,67 €
formation professionnelle anglais 6,48 €
formation professionnelle langue 6,14 €
certificat de formation professionnelle 6,14 €
cap petite enfance formation continue 5,98 €
formation comptable 5,64 €
formations informatique 5,45 €
formation cap petite enfance 5,40 €
formation coach professionnel 5,28 €
formation comptabilité paris 5,27 €
organisme de formations 5,19 €
Keyword Avg. Monthly Searches
greta 49 500
cfa 40 500
formation 40 500
formation professionnelle 22 200
alternance 14 800
caces 14 800
formation continue 12 100
formation aide soignante 12 100
formation adulte 6 600
formation informatique 5 400
formation dif 5 400
organisme de formation 4 400
greta paris 4 400
formation auxiliaire de vie 3 600
formation en alternance 3 600
Source : Adwords – outil de planification de mots clés – consulté le 27/09/2014
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76. Les leviers e-marketing
Saisonnalité du mot clé « formation professionnelle » et recherches associées
Source : Adwords – outil de planification de mots clés – consulté le 28/09/2014
Evolution de l’intérêt pour la recherche « formation professionnelle » sur le web en France
Source : Google trends – octobre 2014
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77. Les leviers e-marketing
Adwords pour lancer les start-up
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79. Les leviers e-marketing
Nombre de pages
Date de site
VU / mois
Liens entrants
Afpa Cegos Demos
170 k
1997
400 k
26 k
9 k
1996
80 k
206 k
40 k
1997
25 k
4 k
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80. Les leviers e-marketing
Adwords
Blog Youtube
2
216k vues
Pas en
France
Facebook
1 180 likes
2-3 posts / mois
727 likes
2-3 posts / mois
3 000 likes
8-10 posts / mois
1 200 likes
8-10 posts / mois
Twitter
1 200 tweets
3 000 followers
2 600 tweets
3 500 followers
680 tweets
14 000 followers
Autres
Site dédié
e-learning
~20 livres
blancs
10 livres
blancs
Cegos
Demos
Cross
Knowledge
360 learning
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81. DEMOS : 6000 vues avec bref Les leviers e-marketing
DEMOS : 6000 vues avec bref
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82. CEGOS 200K vues pour 6 commentaires… Les leviers e-marketing
CEGOS 200K vues pour 6 commentaires…
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88. Conclusion
12 interviews
1 site web 150 h de connexion internet
5 litres de café
1 200 messages Facebook
Cette e-transfo a nécessité
4 curations
la lecture de 300 articles
25 jh de travail
2 naissances
2500 recherches Google
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Nouveaux outils numériques qui émergent
E-learning environ 10% du marché – pas encore satisfaction élevée
Pas d’acteur qui a changé le marché (netflix, amazon, uber…)
La pédagogie n’est pas née avec le digital.
Tout le monde (ou presque) a entendu parler des écoles Montessori (il en existe plus de 22 000 partout dans le monde !)
Maria Montessori. Grande pédagogue dont l’influence perdure encore aujourd’hui, est née en 1870 dans un petit village italien.
Diplômée de médecine, Maria Montessori s’est consacrée à la recherche sur les pratiques pédagogiques et s’est également inspirée des travaux des médecins français Jean Itard et Edouard Seguin avec un postulat commun que les troubles des déficients mentaux étaient davantage d’ordre pédagogique que médical.
Elle expérimenta ses conseils dans une classe de déficients dont elle avait la charge, et obtint des résultats spectaculaires. C’est alors qu’elle eut l’idée d’utiliser ces méthodes pour l’éducation des enfants « normaux ».
On peut résumer sa méthode pédagogique en « aide-moi à faire seul », le rôle de l’éducateur étant d’amener l’apprenant à être actif dans son apprentissage, via des principes pédagogiques rationnels lesquels pourraient, un siècle après Maria Montessori être appliqués à la formation des adultes.
Nous avons tous ici expérimenté la pédagogie traditionnelle, que ce soit au niveau scolaire ou dans le cadre de formations professionnelles.
Ce type de pédagogie repose sur le modèle transmissif en présentiel: du savoir, du modèle, de l'autorité, de l'effort, de l'individualisme et de la sanction.
Le rôle de l’enseignant est d’expliquer clairement dans le cadre d’un cours magistral.
Le rôle de l’élève est d’écouter attentivement.
2 autres courants pédagogiques doivent également être cités :
Le modèle béhavioriste repose sur l’apprentissage qui a été décomposé en plusieurs étapes intermédiaires. Ce processus d’apprentissage est bien adapté au développement des automatismes pour les choses simples. L’enseignant anime des travaux pratiques, guide et aide les apprenants à résoudre les exercices en levant les difficultés. L’apprenant écoute et réagit en déduisant les comportements souhaitables.
Le modèle constructiviste fait référence aux travaux de Jean Piaget (psychologue et pédagogue) qui a développé les théories dites constructivistes à partir de 1925. Ce principe repose sur la construction des connaissances au cours du développement biologique de l'homme. C'est parce que l'homme est actif qu'il acquiert des connaissances. Ce modèle de pédagogie active est basé sur la psychologie cognitive grâce à un contexte réel d’apprentissage.
L'élève a un rôle proactif car il est un décideur dans sa démarche de construction du savoir, bien qu'il soit accompagné par l'enseignant qui a notamment pour tâche de lui offrir un environnement d'apprentissage riche et stimulant.
On retrouve ces courants pédagogiques sous divers angles via l’usage des outils numériques.
Au niveau pédagogique, il s’agit désormais de passer de la transmission du savoir à l’acquisition de compétences, de l’enseignement quantitatif à l’enseignement qualitatif, de la massification à la personnalisation via différents dispositifs.
Pour rappel, l’e-learning dans la formation professionnelle date du milieu des années 90 avec des acteurs issus du web ; il a été considéré à l’époque comme l’eldorado financier d’une part et comme mode de substitution au présentiel d’autre part.
Succès éphémère avec l’explosion de la bulle internet en 2001 d’autant que le client doute alors de l’efficacité pédagogique du E-learning.
De 2002 à 2007, de nouveaux acteurs issus de la formation apparaissent et admettent que certaines formations doivent être assurées en présentiel et d’autres en e-learning. Ceci va donner un nouveau départ au e-learning mais son efficacité vs le présentiel n’est pas totalement admis.
De 2008 à 2012, les pédagogues arrivent à se faire entendre sur le fait que :
le e-learning seul n’est pertinent que dans très peu de cas
Combiner différentes modalités d’apprentissage au sein d’un dispositif de formation répond à des fondamentaux pédagogiques
L’heure du blended learning ou de la formation mixte a sonné.
On ne répond alors plus à un besoin de formation avec une seule modalité mais en combinant plusieurs.
Aujourd’hui, le digital learning correspond à une réelle transition : le passage de la technologie comme modalité d’apprentissage à la technologie comme outils intégrés au service de formation.
C’est le passage de l’usage au moyen : la technologie au niveau des moyens et non de la stratégie pédagogique.
Cela se traduit par la numérisation des supports impliquant à la fois :
de nouvelles façons d’apprendre pour les stagiaires
un travail préparatoire différent pour les formateurs qui doivent alors revoir les outils et moyens mis en œuvre, que ce soit pour des sessions organisées en présentiel ou en e-learning.
Le digital learning implique enfin de prendre en compte un autre élément, celui de la réceptivité des apprenants aux nouvelles technologies.
C’est même l’un des points les plus importants car, sans l’aval et la participation des stagiaires, la formation perd de son intérêt.
Vous admettrez facilement que nous n’avons pas tous la même capacité d’assimilation et dans un cours magistral par exemple, cette différence conditionne certains comportements.
L’attention, la compréhension et la mémorisation sont les bases d’une bonne assimilation lors d’un cours magistral.
Or, l’apprenant n’ose pas toujours interrompre le formateur pour solliciter un complément d’information ou une reformulation.
Il se trouve donc parfois dans une situation délicate que, j’en suis sûre, nous avons tous déjà expérimenté au moins une fois.
Réitérer encore la question vous aurait donc fait passer pour quelqu’un d’un peu lourd…
Et de ce fait, l’objectif de l’apprentissage n’apparaît pas optimal.
La vidéo est un moyen d’éviter ce genre de situation tout en favorisant l’apprentissage théorique.
L’apprenant assimile les connaissances à son rythme : il se focalise sur la vidéo donc il est attentif, il mémorise grâce à la possibilité de répétitions et de pauses autant de fois qu’il en éprouve le besoin pour une assimilation efficace.
L’apprenant se trouve dans une expérience positive.
Ce principe est notamment décrit par Salman KHAN (apprentissage des mathématiques et sciences physiques) qui compare cette méthode d’apprentissage à celle du vélo : on répète l’exercice jusqu’à ce que l’on sache et que l’on soit parfaitement autonome.
Ce dispositif permet également un diagnostic des points de progression et un tracking des progrès de l’apprenant, ce qui permet de mieux adapter le présentiel par la suite.
Ceci fait référence à la pédagogie différenciée.
La pédagogie inversée (classe inversée) ou flipped-classroom
La pédagogie inversée est le fait d’amener les apprenants à découvrir les notions de la compétence qui lui sera transmise, et ce, avant le présentiel :Pour être plus précis, le fonctionnement de la pédagogie inversée est le suivant :Par rapport à une classe traditionnelle, la prise de notes se fait à l’extérieur de la classe à partir des supports vidéos dites « capsules » et le temps présentiel est ainsi libéré pour approfondir, appliquer et assimiler les notions.Les apprenants vont pouvoir consulter les vidéos et préparer les connaissances en lieu et place du cours magistral traditionnel à leur propre rythme et en toute autonomie.Ce qui était fait à la maison le sera désormais en présentiel : activités, projets de groupe et échanges. On retrouve donc la notion d’un modèle centré sur l’apprenant et non plus sur le formateur tout en améliorant l’expérience d’apprentissage. D’un point de vue pratique, les points de blocage des apprenants sont désacralisés grâce aux ateliers et échanges que permettent le présentiel dans un esprit de collaboration et non plus de compétition."
Au-delà de l’usage de la vidéo, les atouts des outils numériques sont particulièrement nombreux pour passer plus de messages en variant les méthodes d’enseignement.
La pédagogie mixte ou blended-learning est un processus d’apprentissage qui s’articule entre une formation présentielle et une formation en ligne dont les modes et les supports divergent en fonction de la compétence à transmettre à l’apprenant avec un format pédagogique performant et innovant.
Ceci permet de diversifier les modes et les supports de formation en fonction de la compétence à transmettre à l’apprenant.
Ainsi, les supports peuvent être de différentes formes : sons, vidéos, images…
Dans l’approche blended-learning, l'apprenant est mis au centre du dispositif.
Les outils numériques permettent non seulement d’évaluer le niveau des apprenants mais aussi d’adapter de nouvelles formations pour optimiser leurs connaissances.
Dans une véritable approche « blended learning », Les périodes d'enseignement vont alterner avec des périodes de mise en œuvre et de retour sur expérience, dans des parcours pouvant durer plusieurs mois.
Les atouts respectifs de la formation traditionnelle en salle et de différents modes d'apprentissage à distance sont combinés pour servir l'objectif de développement des compétences voulu.
Le présentiel sera centré autour de l’humain et de la mise en pratique qui est primordiale dans le processus d’apprentissage car elle favorise les échanges avec les les exercices de mise en situation.
A la fin de chaque présentiel, les outils numériques permettent de transmettre les savoirs essentiels du cours et vérifier leur maîtrise.
La complémentarité entre les activités en ligne et hors ligne devient totale puisqu’entre chacune de ces sessions, les apprenants pourront avancer à leur rythme grâce à des modules de E-learning combinant révision des cours et exercices en ligne.
La pédagogie active voire interactive via les serious games consiste en la simulation de situations professionnelles : c’est l’apprentissage expérientiel.
Le serious game est conçu comme une salle d’entraînement virtuelle dans laquelle plusieurs exercices pratiques inspirés de situations réelles sont proposés. Il peut être utilisé en salle, à distance ou en réseau et être déployé dans plusieurs pays, dans différentes langues et peut venir en complément d’une formation en salle.
L’apprenant est « acteur de son apprentissage », il s’implique et agit. Le jeu amène les participants à prendre des décisions, à faire des choix et mobiliser des comportements afin d’améliorer par exemple ses compétences en management, gestion de la relation client et vente.
Il s’agit de mettre l’apprenant dans des situations très proches de la réalité en impactant le changement des mauvaises pratiques et ainsi comprendre la meilleure manière de se comporter en situation réelle.
Exemple d’application :
Crédit Agricole : Serious Game au service de la lutte contre la fraude pour faire acquérir aux conseillers clientèle les bons réflexes pour une vérification au quotidien. Grâce aux algorithmes du jeu, l’apprenant rencontre des clients avec différents types de fraudes d’un client à l’autre.
On ne découvre pas une révolution sociale au sens propre du terme mais plutôt dans son emploi contemporain.
Il est reconnu depuis l’antiquité et l’apparition des premiers grands philosophes que l’acte social est un des piliers de l’apprentissage. Le fait de communiquer et d’échanger avec l’autre à toujours eu une importance capitale dans le processus d’apprentissage. Que se soit avec l’enseignant directement ou les élèves entre eux.
L’enseignant ou le formateur va avoir plusieurs rôles cruciaux :
- Livrer la bonne information à retenir
- Challenger nos connaissances
- Corriger nos erreurs
- Stimuler notre envie d’apprendre
Les autres apprenants, par le biais de leur questionnements et avis, apportent un éclairage tout aussi important dans cet apprentissage, les informations qui circulent alors dans la salle sont autant de briques ajoutées à notre connaissance personnelle.
Même si le monde professionnel n’a pas les mêmes exigences que la formation initiale et scolaire en terme de développement de connaissance (réflexion, critique, analyse…)*, il s’avère que l’aspect social conserve son importance pour les raisons évoquées.
On parle alors de Social Learning.
Le social learning se caractérise comme l’application d’outils de partage, de connaissance sur une plateforme entre apprenants dans une optique collaborative. C’est le nouveau concept qui va révolutionner la formation dans les années à venir.
Cette innovation majeure est à la formation à distance ce que le web 2.0 est à l'internet traditionnel.
C’est un mode de formation collaboratif peu coûteux, rapide et efficient pour bénéficier des connaissances présentes à l’intérieur d’une entreprise et d’en favoriser la transmission.
Avec le social learning, les rôles sont plus flous. L'apprenant peut rester cantonné dans son rôle. Il peut aussi apprendre en dehors de la sphère normale (d'autres "maîtres", de ses pairs...) et il peut aussi devenir enseignant (partage avec ses pairs).
E-learning Blended learning Social Learning
Du coté des réseaux sociaux, chaque plateforme a son role dans la formation:
Il est intéressant de noter que ces plateformes ne sont pas des plateformes d’apprentissage à la base, mais que le savoir dépasse le support.
G+ devrait arriver à terme comme une plateforme de référence pour la formation grâce à ses outils intégrés. Complément idéal de la Khan academy par ex.
N’oublions pas, par ailleurs, les médias sociaux: les blogs, wikipedia, Delicious, etc…
Bien que ces outils ne soient pas destinés à la formation à la base, ils en présentent tous les avantages.
Cependant, il en va de l’acceptation de la culture du partage de l’information, sans quoi ces outils ne servent à rien.
Les formateurs ont du s’adapter aux usages personnels des apprenants qui ont adaptés
70-20-10
C’est un modèle d’apprentissage et de développement que l’on doit à Morgan McCall, Robert W. Eichinger et Michael M. Lombardo du Center for Creative Leadership, paru dans leur livre « The Career Architect Development Planner » en 1996.
Celui-ci est basé sur l’observation et la recherche des années 60 à aujourd’hui.
Il suggère que l’apprentissage des travailleurs efficaces et productifs se base pour environ :
70 % sur l’expérience, on the job ;
20 % sur l’apprentissage social, les conversations, les échanges et les feed-back ;
Et seulement 10 % sur un contexte formel.
Il ne faut pas considérer ce modèle 70:20:10 comme un schéma strict. Il s’agit d’un cadre de référence. Il explique le processus d’apprentissage et démontre qu’il ne fait pas intervenir uniquement la formation formelle (10 %), et que l’apprentissage sur le terrain et les échanges sociaux constituent deux instruments d’apprentissage puissants. Il ne faut cependant pas voir le rapport 70:20:10 comme des silos, mais plutôt comme un continuum, une série de vagues.
Tout programme d’apprentissage formel respectable contient par exemple aussi des formes d’apprentissage informel.
De nombreuses organisations souhaitent appliquer le modèle 70:20:10 pour améliorer leur gestion du temps et des budgets. Elles veulent que l’apprentissage se déroule pendant le travail. Il permet de réorienter les efforts et les ressources vers les processus générant l’apprentissage le plus efficace : à partir de l’expérience, de la pratique, des conversations et des évaluations.
Ex: Goldman Sachs l’utilise depuis les années 90 et met l’accent sur le social.
Un manager qui souhaite progresser doit bien savoir coacher son équipe et ses collègues.
http://www.learninglive.be/fr/lapprentissage-doit-sinscrire-dans-la-duree
Comprendre: Ecouter, sensibiliser
Converser: Informer, interagir
Collaborer: Intégrer pairs/clients dans la démarche
Capitaliser: Formaliser en interne le savoir recueilli
Parce que le social learning requiert design, formation, accompagnement, leadership, veille et mise en avant des succès, petits ou grands, voici une approche novatrice et pragmatique pour accompagner les entreprises tout au long de leur démarche, tant en interne (outils et apprentissage collaboratifs) qu’en externe (médias sociaux).
Cela requiert aussi de la transparence. Il est révolu le temps de “celui qui détient l’information, détient le pouvoir”. C’est un véritable challenge car il faut aller au-delà de la pensée personnelle et égoïste vers une pensée partagée et altruiste. Apprendre à l’autre afin de mieux avancer ensemble.
Cette transparence favorise l’accès aux personnes et aux informations dont nous pouvons avoir besoin pour prendre les bonnes décisions. Elle est la conséquence de la communication ouverte et multidirectionnelle que permettent les outils sociaux. Elle ne peut pas se décréter ou être forcée. La transparence dans l’entreprise 2.0, c’est rendre nos actions et décisions visibles pour les autres. C’est le partage d’information. C’est savoir qui a fourni cette information. On parle ici de responsabilisation et de reconnaissance. En rapprochant les personnes, leurs expériences et leurs idées, le social learning permet d’accroître notre confiance dans l’information partagée et dans ceux qui l’ont créée.
Aujourd’hui dans un environnement complexe, les vrais avantages concurrentiels sont créés par des gens capables de trouver des informations pertinentes, de les transformer en connaissances pratiques et de créer de la valeur avec.
En conclusion sur le social learning, le but final est de devenir une organisation apprenante.
Il ne s’agit pas de gaver les collaborateurs d’information et attendre qu’ils les digèrent. Il faut fournir aux personnes les bonnes ressources, au bon moment et via le canal adéquat.
L’organisation apprenante se dessine quand les gens commencent à apprendre par eux-mêmes, au moment où ils ont besoin de certaines connaissances ou compétences spécifiques. C’est alors que l’apprentissage s’inscrit véritablement dans la durée.
Ce « self apprentissage » n’est pas sans vous évoquer les MOOCs j’imagine.
Caroline va vous en parler et vous montrer comment l’entreprise s’est adaptée à ce nouveau phénomène.
Keywords: Diversité, feedback, pourquoi vs best practices,
Mots clés assez chers
Chaussures vernies : ~2€
Hotel venise ~22€
Même niveau que comparateur assurance
Entre 400 et 600 000 recherches par mois sur adwords
Faible saisonnalité si ce n’est été plus creux, et bonnes résolutions de janvier
Faible différence d’une année sur l’autre, marché stable, confirmé par google trends
Recherche très centralisées sur ile de France, un peu surreprésentée même si 25% des acteurs de formation en Ile de France et 21% de la population active