2. L'idée de notre production est venue
de l'existence d'un club nouveau au
collège cette année :
Le club spipoll
« Projet de sciences participatives, le SPIPOLL a pour
but d’obtenir des données quantitatives sur les insectes
pollinisateurs et/ou floricoles en mesurant les variations
de leur diversité et celles de la structure des réseaux de
pollinisation, sur l’ensemble de la France
métropolitaine. »
Notre Zolabeille est un clin d’œil aux
spipolliens du collège.
3. 1ère étape: les caractères
physiques d’un insecte
pollinisateur
La tête
4. - La tête
Munie de 2 yeux à facettes, de deux
antennes articulées et d’une trompe de
laquelle sort la langue pour aspirer le
nectar des fleurs.
6. - Le thorax
Il porte deux paires d’ailes et trois paires
de pattes, les pattes postérieures de
l’abeilles sont munies de poils (crochets)
qui servent à prélever le pollen, que
l’abeille transporte en pelotes.
9. 2ème étape : Fabrication de la
zolabeille
Tout de suite la solution de l’abdomen
nous est venue : 5 roues sur une tige
souple pour faire l’articulation avec le
thorax.
10. Et naturellement l’organisation du groupe
s’est créée David apportant les idées et
Arthur étant le chef de la construction.
William et Lucas en habiles mécaniciens.
Ensuite, ce fut plus difficile, l’idée d’un
insecte volant donc avec des ailes qui
bougent et des pattes qui lui permettent
de se déplacer était acquise.
Mais au niveau de la réalisation, c’était
une histoire…
Faire bouger des pattes de chaque côté
de l’animal avec un moteur nous a mis en
difficulté pendant plusieurs heures.
11. Et puis David a eu l’idée de faire vibrer le
moteur grâce à une barre désaxée, le moteur
a été placé à l’avant du thorax.
Le moteur a tourné, la Zolabeille s’est
déplacée et en plus en bourdonnant !
12. Dernière étape : les ailes et là aussi une
belle galère, nous avions choisi de garder
les ailes libres en ne les rattachant au
thorax que par une tige souple passant
dans les extrémités des pistons à ressort.
Dans les différentes configurations
envisagées le moteur avait tendance à
arracher les ailes plutôt qu’à les faire
vibrer…
13. Faire vibrer les ailes ! Comme nous avions
fait vibrer la Zolabeille ! Nous avons repris
le même procédé, en fixant le moteur au
bloc des ailes.
Et voilà la Zolabeille opérationnelle !
Répondant au deux actions prévues
bouger les ailes et se déplacer.
14. Choix d’un métier :
technicien méthode
Nous avons choisi ce métier car les les
qualités de ce professionnel se
rapprochent de celle que nous avons dues
mettre en œuvre dans notre projet:
- partir d’un cahier des charges
- trouver les moyens de le respecter avec
le matériel mis à notre disposition.
- respecter le timing pour notre
réalisation.