FRANCE
1. Immatriculations de véhicules neufs en novembre 2014 : -1,8%, baisse imputable aux voitures de marques étrangères
2. Marché du logement en octobre 2014 : -11,5% en glissement sur douze mois, au plus bas niveau depuis 16 ans
3. Dépenses de consommation des ménages en biens en octobre 2014 : -0,9%, imputable aux dépenses énergétiques
4. Taux de chômage au 3ème trimestre 2014 : 9,9% de la population active pour la France métropolitaine ; 10,4% pour la France entière
EUROPE
5. Consommation par habitant en Europe en 2012 : la France au-dessus de la moyenne européenne, mais en-dessous du niveau allemand
INTERNATIONAL
6. Climat des affaires aux Etats-Unis en novembre 2014 : ralentissement de l’activité manufacturière, rebond de l’activité non manufacturière
7. Tendances récentes des marchés
1. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 1
MEDEF Actu-Eco - n°185
Semaine du 1er au 5 décembre 2014
SOMMAIRE
FRANCE
1. Immatriculations de véhicules neufs en novembre 2014 : -1,8%, baisse imputable aux voitures de
marques étrangères
2. Marché du logement en octobre 2014 : -11,5% en glissement sur douze mois, au plus bas niveau
depuis 16 ans
3. Dépenses de consommation des ménages en biens en octobre 2014 : -0,9%, imputable aux
dépenses énergétiques
4. Taux de chômage au 3ème trimestre 2014 : 9,9% de la population active pour la France
métropolitaine ; 10,4% pour la France entière
EUROPE
5. Consommation par habitant en Europe en 2012 : la France au-dessus de la moyenne européenne,
mais en-dessous du niveau allemand
INTERNATIONAL
6. Climat des affaires aux Etats-Unis en novembre 2014 : ralentissement de l’activité manufacturière,
rebond de l’activité non manufacturière
7. Tendances récentes des marchés
2. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 2
1. Immatriculations de véhicules neufs en novembre 2014 : -1,8%, baisse
imputable aux voitures de marques étrangères
* Le marché de l’automobile en France a
continué de se contracter en novembre 2014. Les
immatriculations de voitures particulières et
commerciales neuves, y compris véhicules des
domaines et transit temporaire (données cvs-cjo)
se sont une nouvelle fois repliées : -1,8%, après -
5% en octobre dernier.
Ce recul est entièrement imputable aux
voitures de marques françaises (-10,5%, après -
8,2% en octobre), les immatriculations de
voitures de marques étrangères ayant progressé
de +7,1% (après -1,4%).
Entre novembre 2013 et novembre 2014,
l’ensemble des immatriculations aura baissé de -
2,6% (-8,3% pour les voitures de marques
françaises, +3% pour les voitures de marques
étrangères).
Source : CCFA – Calculs Coe-Rexecode
*En moyenne mobile sur les trois derniers
mois connus (septembre, octobre, novembre
2014), les immatriculations de véhicules neufs se
sont repliées de -4,5% par rapport aux trois mois
précédents (-1,7% sur un an). Elles se sont ainsi
établies à 1 781 038 unités en rythme annualisé,
niveau inférieur de -14,4% à la moyenne des
années 2000-2013.
Dans le détail, les immatriculations se sont
contractées de -2,3% pour les voitures de
marques françaises, et de -6,5% pour les voitures
de marques étrangères.
A titre de comparaison, l’ensemble des
immatriculations a quasiment stagné sur la même
période en Italie (+0,3%) et a progressé de
+13,4% en Espagne.
Pour l’année 2015, le CCFA (Comité des
Constructeurs Français d’Automobiles) s’attend à
une stabilisation du marché : « il n’y a pas de
raison logique, d’un point de vue macro ou micro-économique
pour que le marché automobile
redémarre ».
1,8
1,5
1,7
1,9
2,1
2,3
2,5
2,7
2,9
Immatriculations de voitures neuves (millions
annualisés, moyenne mobile sur trois mois,
données CVS CJO)
Moyenne 2000-2013 = 2,1 millions
0,89
0,89
0,7
0,8
0,9
1,0
1,1
1,2
1,3
1,4
1,5
Immatriculations de voitures neuves (millions
annualisés, moyenne mobile sur trois mois,
données CVS CJO)
Marques étrangères
Marques françaises
3. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 3
2. Marché du logement en octobre 2014 : -11,5% en glissement sur
douze mois, au plus bas niveau depuis 16 ans
* Le redressement du marché de la
construction résidentielle ne semble pas
s’annoncer pour la fin de l’année.
En moyenne mobile sur les trois derniers mois
connus (août, septembre, octobre 2014), les
mises en chantiers de logement ont progressé de
+1,3% par rapport aux trois mois précédents
(données corrigées des variations saisonnières).
En revanche, les permis de construire se sont
repliées de -4,6% dans le même temps.
Source : SOeS / Coe-Rexecode
* Sur plus longue période, le marché de la
construction résidentielle demeure mal orienté.
En glissement sur douze mois, les mises en
chantier restent en baisse : -11,5% entre octobre
2013 et octobre 2014, soit -39 355 logements
nouveaux en moins. Elles se sont établies à
301 500 unités, plus bas niveau depuis octobre
1998. Il est inférieur de -20,9% à la moyenne
2000-2013 et de -23,6% à la moyenne des années
avant la crise (2000-2007), qui était d’environ
400 000 logements par an.
Dans le détail, ce repli des mises en chantier
pour l’ensemble de la France se retrouve dans
toutes les régions de la métropole, mais avec des
ampleurs disparates : de -30,3% en Lorraine à -
1,2% en Provence-Alpes-Côte d’Azur, en passant
par -15% en Bretagne et -24% en Midi-Pyrénées.
Les Départements et Régions d’Outre-Mer ont,
en revanche, enregistré une progression de
+6,8%.
Dans le même temps, les permis de construire
se sont inscrits en retrait de -12,5% par rapport à
octobre 2013. Ils s’établissent à 387 100 unités,
niveau inférieur de -17,7% à la moyenne de
longue période.
301,5
387,1
300
350
400
450
500
550
600
Constructions de logements
(glissement sur douze mois, milliers, données CVS,
date de prise en compte)
Permis de construire
Mises en chantier
4. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 4
3. Dépenses de consommation des ménages en biens en octobre 2014 : -
0,9%, imputable aux dépenses énergétiques
* Les dépenses de consommation des
ménages en biens (représentant 50% de la
consommation totale en biens et services) ont
reculé pour le deuxième mois consécutif en
octobre 2014 : -0,9% en volume, après -0,5% en
septembre.
Ce repli est essentiellement imputable aux
dépenses énergétiques (-6%, dont -5,2% pour les
seuls produits pétroliers), en raison de
températures nettement plus élevées que les
normales saisonnières. Elles atteignent ainsi leur
plus bas niveau depuis novembre 1997. Les
dépenses alimentaires ont également baissé mais
dans une mesure nettement moindre (-0,1%).
En revanche, les achats ont progressé en
équipement du logement (+0,1%), en
automobiles (+0,2%) et en textile-habillement-cuir
(+3,4%).
Source : INSEE
* En moyenne mobile sur les trois derniers
mois connus (août, septembre, octobre 2014), les
achats des ménages ont stagné par rapport aux
trois mois précédents (+0,5% sur un an).
Cette stagnation recouvre une nouvelle fois
des évolutions contrastées selon les catégories de
biens :
- un repli des dépenses énergétiques (-1,6%,
dont -0,9% pour les seuls produits
pétroliers) et, plus encore, en textile-habillement-
cuir (-2,1%) ;
- une progression des achats alimentaires
(+0,5%), liés à l’automobile (+0,6%), et plus
encore, des achats en équipement du
logement (+2,8%).
41 500
42 000
42 500
43 000
43 500
44 000
44 500
oct.-07
avr.-08
oct.-08
avr.-09
oct.-09
avr.-10
oct.-10
avr.-11
oct.-11
avr.-12
oct.-12
avr.-13
oct.-13
avr.-14
oct.-14
Consommation des ménages en biens (moyenne
mobile sur trois mois, millions d'euros constants)
6 500
6 700
6 900
7 100
7 300
7 500
7 700
7 900
8 100
oct.-07
avr.-08
oct.-08
avr.-09
oct.-09
avr.-10
oct.-10
avr.-11
oct.-11
avr.-12
oct.-12
avr.-13
oct.-13
avr.-14
oct.-14
Consommation des ménages en énergie
(moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros
constants)
5. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 5
4. Taux de chômage au 3ème trimestre 2014 : 9,9% de la population active
pour la France métropolitaine ; 10,4% pour la France entière
* Au 3ème trimestre 2014, selon les données
encore provisoires de l’INSEE, le taux de chômage
au sens du BIT (Bureau International du Travail)
s’est établi à 9,9% de la population active en
France métropolitaine, après 9,7% au trimestre
précédent. Il retrouve ainsi son niveau du 3ème
trimestre 2013, proche des plus hauts historiques.
En considérant la France y compris les
départements d’Outre-mer, le taux de chômage a
progressé de +0,3 point à 10,4% (+0,1 point sur un
an).
Source : INSEE
* Cette hausse du taux de chômage en
France métropolitaine au 3ème trimestre 2014 se
retrouve chez les hommes comme chez les
femmes et dans toutes les tranches d’âge :
Par sexe :
o +0,2 point du taux de chômage des hommes
sur un trimestre (stagnation sur un an)
repassant la barre des 10% de la population
active (10,1%). Ils représentent 53% du
nombre total de chômeurs ;
o +0,3 point du taux de chômage des femmes
sur un trimestre (stagnation sur un an) à
9,7% de la population active.
Par tranche d’âge :
o +1 point du taux de chômage des jeunes
(15-24 ans) à 23,7% de la population active (-
0,1 point sur un an). Ils représentent 22% du
nombre de chômeurs ;
o +0,2% sur un trimestre (+0,1 point sur un an)
du taux de chômage des 25-49 à 9,3% de la
population active (59% du nombre total de
chômeurs) et du taux de chômage des
seniors (50 ans et plus) à 6,7% (19% du
nombre de chômeurs).
9,9
6,5
7,0
7,5
8,0
8,5
9,0
9,5
10,0
10,5 Taux de chômage (France métropolitaine, %)
6. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 6
Source : INSEE
10,1
9,7
6,0
6,5
7,0
7,5
8,0
8,5
9,0
9,5
10,0
10,5
T3.2000
T3.2001
T3.2002
T3.2003
T3.2004
T3.2005
T3.2006
T3.2007
T3.2008
T3.2009
T3.2010
T3.2011
T3.2012
T3.2013
T3.2014 (p)
Taux de chômage (%, France métropolitaine)
Hommes
Femmes
23,7
9,3
6,7
0
5
10
15
20
25
30
T3.2000
T3.2001
T3.2002
T3.2003
T3.2004
T3.2005
T3.2006
T3.2007
T3.2008
T3.2009
T3.2010
T3.2011
T3.2012
T3.2013
T3.2014 (p)
Taux de chômage (%, France métropolitaine)
15-24 ans
25-49 ans
>49 ans
7. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 7
5. Consommation par habitant en Europe en 2012 : la France au-dessus
de la moyenne européenne, mais en-dessous du niveau
allemand
* L’INSEE vient de publier une étude
comparant la consommation effective des
ménages par habitant dans l’Union européenne1.
Il s’agit de « l’ensemble des biens et services que
les ménages consomment, que la dépense
correspondante leur incombe ou qu’elle soit prise
en charge par les administrations publiques (Etat,
collectivités territoriales et organisme de sécurité
sociale) ».
En France, la consommation par habitant
(exprimée en parités de pouvoir d’achat) est
supérieure de 14% à la moyenne de l’Union
européenne à 28. Ce niveau est comparable à
celui du Danemark et du Royaume-Uni, mais il est
inférieur de 7% à celui de l’Allemagne.
En effet, les trois premiers de ce classement
sont le Luxembourg, dont la consommation par
habitant est supérieure de 38% à la moyenne
européenne, l’Allemagne (23%) et l’Autriche
(20%). C’est dans les pays entrés le plus
récemment dans l’UE que le niveau de la
consommation par habitant est la plus faible
(pays baltes, pays d’Europe centrale et orientale).
Ces écarts de niveau de consommation par
habitant sont évidemment corrélés aux écarts de
niveau de production : le Luxembourg et
l’Autriche ont le PIB par habitant le plus élevé de
l’UE, la Roumanie et la Bulgarie le plus faible. En
France, le PIB par habitant dépasse de 9% la
moyenne européenne. Par ailleurs, « le poids des
dépenses de consommation prises en charge par
les administrations publiques dans la
consommation des ménages est plus important
en France (24%) que dans l’ensemble de l’UE
(20%) ».
49
50
60
62
63
63
72
73
73
75
77
79
85
85
92
97
98
100
100
111
113
114
114
114
116
117
120
123
138
0 20 40 60 80 100 120 140
Bulgarie
Roumanie
Croatie
Estonie
Lettonie
Hongrie
Rép.tchèque
Pologne
Slovaquie
Lituanie
Portugal
Slovénie
Grèce
Malte
Espagne
Chypre
Irlande
UE-28
Italie
Pays-Bas
Belgique
Danemark
France
Royaume-Uni
Finlande
Suède
Autriche
Allemagne
Luxembourg
Consommation effective des ménages par habitant en 2012
(volume, 100 = moyenne de l'UE à 28)
8. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 8
* Dans le détail, la consommation effective
des ménages par habitant en France est plus
élevée que celles dans les partenaires européens
dans quatre domaines :
- le transport, dont les achats automobiles
constituent le premier poste : consommation
supérieure de 26% à la moyenne européenne,
niveau semblable en Allemagne et au
Royaume-Uni ;
- le logement (y compris eau, énergie, etc.) :
consommation supérieure de 17% à la
moyenne européenne (supérieure de 23%
pour la seule consommation en énergie,
contre 12% en Allemagne) ;
- l’alimentaire (hors boissons alcoolisées) :
consommation supérieure de 16% à la
moyenne européenne, contre 3% en
Allemagne. Les écarts importants en ce
domaine s’expliquent par des comportements
spécifiques (consommation effectuée dans les
restaurants, cafés, pubs plus faible en France
qu’en Espagne ou au Royaume-Uni). Les
pratiques alimentaires sont également
propres : un Français achète 2,5 fois plus de
poisson qu’un Allemand, mais deux fois moins
qu’un Espagnol ; les Français consomment
15% de plus de viande que la moyenne
européenne, loin devant les Allemands ou les
Britanniques (20% en dessous de la moyenne)
mais derrière les Espagnols (15% au-dessus du
niveau français).
- la santé : consommation supérieure de 14% à
la moyenne européenne. « Il s’agit de biens et
services fortement pris en charge par la
collectivité » souligne l’INSEE.
Volume de la consommation effective des ménages par habitant et par catégorie de produits en 2012
100 = moyenne de l’Union européenne à 28
Allemagne Espagne France Italie Royaume-Uni
Consommation individuelle effective 123 92 114 100 114
Alimentation et boissons non alcoolisées 103 111 116 107 90
Boissons alcoolisées et tabac 121 89 100 84 79
Vêtements et chaussures 112 101 93 138 162
Logement, eau, électricité, gaz 114 85 117 104 98
Ameublement, équipement ménager et entretien 139 79 110 131 105
Santé 134 79 114 93 106
Transport 124 88 126 108 129
Communication 152 66 110 89 98
Loisirs et culture 113 86 110 78 172
Education 98 96 109 89 103
Hôtels, cafés et restaurants 87 209 99 126 111
Autres biens et services 146 75 124 76 110
Source : Eurostat
* Ces données reflètent la situation
instantanée en 2012. En termes d’évolution, les
chiffres montrent que la consommation par
habitant en France a stagné au cours des
dernières années alors qu’elle a, par exemple,
progressé en Allemagne. L’évolution
démographique propre à chaque pays a bien
évidemment joué un rôle (stagnation en
Allemagne, hausse de +0,5% l’an en moyenne
annuelle en France), mais ne suffit pas à
expliquer la stagnation de la consommation en
France. En effet, a également joué la montée du
chômage, qui pèse naturellement sur la
consommation moyenne.
(1) INSEE Première n°1523, Consommation par habitant : la France au-dessus de la moyenne européenne (novembre 2014)
9. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 9
6. Climat des affaires aux Etats-Unis en novembre 2014 : ralentissement
de l’activité manufacturière, rebond de l’activité non manufacturière
* Selon la dernière enquête réalisée auprès
des directeurs d’achat, l’indice synthétique ISM
du secteur manufacturier aux Etats-Unis s’est
légèrement replié en novembre 2014, tout en
restant à un niveau très élevé, nettement
supérieur au seuil des 50 et à la moyenne de
longue période (2000-2013). Ce repli traduit donc
une modération de la croissance de l’activité
manufacturière et non une contraction.
Dans le détail, ce recul de l’indice synthétique
recouvre des évolutions contrastées de ses
composantes :
- repli de l’indice relatif à la production et de
celui relatif à l’emploi ;
- hausse de l’indice relatif aux carnets de
commandes globaux, et, encore plus marqué
concernant les carnets de commandes à
l’exportation (plus forte hausse depuis
octobre 2013).
Source : Institute for Supply Management
* Dans le même temps, l’indice ISM
concernant les activités non manufacturières a
rebondi en novembre 2014, après deux mois
consécutifs de baisse. L’indicateur est nettement
supérieur au seuil des 50 et à sa moyenne de
longue période. Ce rebond traduit une
accélération de l’activité dans les secteurs non
manufacturiers.
Dans le détail, cette amélioration du climat
des affaires recouvre :
- une hausse de sa composante « activité /
production » et de sa composante « carnets de
commandes » (globaux comme à
l’exportation) ;
- un net repli de la composante « emploi ».
46
48
50
52
54
56
58
60
62
Indice synthétique ISM
(solde d'opinion des chefs d'entreprise, %)
non manufacturier
manufacturier
Expansion de l'activité
Contraction de l'activité
10. MEDEF Actu-Eco semaine du 1er au 5 décembre 2014 10
7. Tendances récentes des marchés
1,02
0,75
0,6
0,8
1,0
1,2
1,4
1,6
1,8
Taux de rendement des obligations d'Etat à 10 ans
(%)
France
Allemagne
1,96
1,84
1,7
1,9
2,1
2,3
2,5
2,7
2,9
3,1
Taux de rendement des obligations d'Etat à 10 ans
(%)
Espagne
Italie
1,23
1,22
1,24
1,26
1,28
1,30
1,32
1,34
1,36 1 euro = ... dollar
90
92
94
96
98
100
102
104
106 Indice boursier CAC 40 (100 = 2008)
86
88
90
92
94
96
98
100 Indice boursier Eurostoxx 50 (100 = 2008)
152
154
156
158
160
162
164
166
168
170
172 Indice boursier Standard and Poor's(100 = 2008)
11. MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 novembre 2014
Rédaction achevée le 5 décembre 2014
165
170
175
180
185
190
195
Cours des matières premières hors pétrole et métaux précieux
(100 = 1988)
dollars
euros
71,49
58,0
40
50
60
70
80
90
100
110
120
Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent)
dollars
euros
165
170
175
180
185
190
195
200 Cours des matières premières alimentaires
(1988 = 100)
dollars
euros
170
175
180
185
190
195
Cours des matières premières industrielles
(1988=100)
dollars
euros
200
205
210
215
220
225
230
235 Cours des matières premières métaux communs
(1988=100)
euros
dollars
euros
dollars
1204,8
1100
1150
1200
1250
1300
1350
Cours de l'once d'or (en dollars)