Vulnérabilité numérique d’usage : un enjeu pour l’aide à la réussitepdf
APLIC Modules
1.
2. Antipsychotiques ILP disponibles au Canada
Première génération
•
•
•
•
•
Deuxième génération
• Palmitate de palipéridone
• Microsphères de rispéridone
Décanoate de fluphénazine
Décanoate de flupenthixol
Décanoate d’halopéridol
Palmitate de pipotiazine
Décanoate de zuclopenthixol
3. Antipsychotiques ILP de deuxième génération
disponibles au Canada
ILP
Indication
Propriétés
Mécanisme
Palmitate de
palipéridone
Schizophrénie
Suspension injectable
à libération prolongée
pour administration
intramusculaire
En raison de son hydrosolubilité
extrêmement faible, le palmitate de
palipéridone se dissout lentement au
point d’injection et est hydrolysé
enzymatiquement en palipéridone,
qui à son tour est absorbée dans la
grande circulation
Microsphères
de rispéridone
Schizophrénie et
troubles apparentés
Poudre pour
suspension injectable à
libération prolongée
pour administration
intramusculaire
L’association du profil de libération
et du schéma posologique (injection
IM toutes les deux semaines) assure
des concentrations thérapeutiques
stables.
Trouble bipolaire
4. Données probantes
Davis et al. (1994)
• Les résultats de la méta-analyse portent à croire que l’efficacité
des antipsychotiques ILP est significativement supérieure à celle
des antipsychotiques oraux
Articles de synthèse (Cochrane) publiés de 1999 à 2007
• Les articles de synthèse antérieurs ne démontraient pas de
différence convaincante
Leucht et al. (2011)
• Les articles de synthèse récents ont démontré des avantages
importants des antipsychotiques ILP
Manchanda R, Chue P, Malla A, et al. Long-acting injectable antipsychotics: evidence of effectiveness and use. Can J Psychiatry.
2013;58(5 Suppl 1):5S–13S.
5. Examen de Cochrane sur les
antipsychotiques ILP
Critique des données probantes
Utilisation des échantillons provenant de
patients hospitalisés
Essais de courte durée (quelques semaines)
Randomisation inappropriée
Abhijnhan A, Adams CE, David A, Ozbilen M. Depot fluspirilene for schizophrenia. Cochrane Database Syst Rev
2007;1:CD001718.
Da Silva Freire Coutinho E, Fenton M, Quraishi SN. Zuclopenthixol decanoate for schizophrenia and other serious
mental illnesses. Cochrane Database Syst Rev 1999;3:CD001164.
6. Méta-analyse récente
Leucht et al. (2011)
Kishimoto et al. (2012)
10 ECR; n = 1 700
21 ECR; n = 5 176
> 1 an; consultation externe seulement
> 6 mois; patients hospitalisés et en
consultation externe
Critères d’inclusion (plus spécifiques)
Critères d’inclusion (plus larges)
•
•
•
•
•
•
•
•
Schizophrénie ou troubles apparentés
Tout système diagnostique, tous âges, patients
masculins et féminins
Seulement les études à long terme définies
comme des études d’un an ou plus
Les études en consultation externe
Les études dont la population comptait 25 % ou
moins de patients hospitalisés ou celles
comportant une phase initiale menée chez des
patients hospitalisés étaient admissibles
Les essais utilisant des processus de
randomisation inappropriés ont été exclus
•
•
•
≥ 17 ans
Diagnostic de schizophrénie ou de trouble
schizo-affectif
Les études portant sur d’autres diagnostics,
comme le trouble schizophréniforme, ont
été incluses
Les études d’une durée d’au moins 24 semaines
qui fournissaient des renseignements relatifs aux
rechutes, comme la rechute ou la
réhospitalisation définie dans l’étude
L’exclusion du penfluridol, un antipsychotique
oral à prise hebdomadaire, considéré ni
comme antipsychotique ILP ni comme
antipsychotique oral
Leucht C, Heres S, Kane JM, et al. Oral versus depot antipsychotic drugs for schizophrenia – a critical systematic
review and meta-analysis of randomised long-term trials. Schizophr Res 2011;127(1-3):83–92.
Kishimoto T, Robenzadeh A, Leucht C, et al. Long-acting injectable vs oral antipsychotics for relapse prevention
in schizophrenia: A meta-analysis of randomized trials. Schizophr Bull 2 janvier 2013, publié en ligne avant impression. P. 1-22.
7. Rechute (critère d’évaluation principal)
Leucht et al. (2011)
•
21,6 % pour les antipsychotiques ILP p/r à 33,3 % pour les
antipsychotiques oraux (p = 0,0009) – très significatif
Kishimoto et al. (2013)
•
25,8% pour les antipsychotiques ILP p/r à 31,4% pour les
antipsychotiques oraux (p = 0,41) – non significatif
• Résultats semblables lorsque des critères plus spécifiques
sont utilisés
• 30,6 % pour la fluphénazine ILP p/r à 41,9 % pour les
antipsychotiques oraux (p = 0,02)
• Non significatif pour les autres antipsychotiques ILP
(halopéridol, olanzapine, rispéridone, zuclopenthixol)
comparativement aux antipsychotiques oraux
Leucht C, Heres S, Kane JM, et al. Oral versus depot antipsychotic drugs for schizophrenia – a critical systematic
review and meta-analysis of randomised long-term trials. Schizophr Res 2011;127(1-3):83–92.
Kishimoto T, Robenzadeh A, Leucht C, et al. Long-acting injectable vs oral antipsychotics for relapse prevention
in schizophrenia: A meta-analysis of randomized trials. Schizophr Bull 2 janvier 2013, publié en ligne avant impression. P. 1-22.
8. Critères secondaires d’évaluation
Taux de réhospitalisation
Taux de retrait ou d’abandon
• Toutes causes confondues
• Événements indésirables
Non-observance
Tous les résultats ci-dessus ne sont pas significatifs
Leucht C, Heres S, Kane JM, et al. Oral versus depot antipsychotic drugs for schizophrenia – a critical systematic
review and meta-analysis of randomised long-term trials. Schizophr Res 2011;127(1-3):83–92.
Kishimoto T, Robenzadeh A, Leucht C, et al. Long-acting injectable vs oral antipsychotics for relapse prevention
in schizophrenia: A meta-analysis of randomized trials. Schizophr Bull 2 janvier 2013, publié en ligne avant impression. P. 1-22.
9. Observance, réhospitalisation et
antipsychotiques ILP
• Étude de cas finlandaise réalisée à partir de registres
• 2 588 patients atteints de schizophrénie et ayant obtenu
leur congé de l’hôpital après une première hospitalisation
entre 2000 et 2007
• 1 406 (54,3 %) d’entre eux n’ont pas fait exécuter une
ordonnance d’antipsychotiques ou ont utilisé leurs
médicaments pendant moins de 30 jours.
• Le risque de réhospitalisation des patients recevant des
antipsychotiques ILP était d’environ un tiers de celui des
patients prenant des antipsychotiques oraux
Tiihonen J. et al. A Nationwide Cohort Study of Oral and Depot Antipsychotics After First Hospitalization for Schizophrenia. American
Journal of Psychiatry 2011;168(6):603.
10. La mauvaise observance ne se
reflète pas dans les essais cliniques
Les patients sont :
• hautement sélectionnés,
• motivés et
• étroitement surveillés
Les patients participant à des ECR sont plus
susceptibles d’accepter de recevoir le traitement
et d’être coopératifs, ce qui masque toute
différence observable
11.
12. Antipsychotiques ILP de deuxième
génération disponibles au Canada
Palmitate de palipéridone (PP)
Disponibilité
Instauration
La trousse contient :
• 1 seringue préremplie
• 2 aiguilles
• 1 po de calibre 23 ou 1,5 po de calibre 22 (selon le poids
du patient et le point d’injection)
Jour 1 : 150 mg par injection profonde dans le muscle deltoïde
Jour 8 : 100 mg par injection profonde dans le muscle deltoïde
• 50, 75, 100 et 150 mg
• Conserver à température ambiante
• Chez les patients qui n’ont jamais pris de palipéridone par
voie orale ou de rispéridone par voie orale ou par injection,
il est recommandé de déterminer la tolérabilité avec de la
palipéridone orale ou de la rispéridone orale avant
d’instaurer un traitement
Supplément oral
Posologie et ajustements posologiques
• La supplémentation orale n’est pas requise au début du
traitement (conformément à la monographie)
• Posologie mensuelle (50 à 150 mg) par injection dans le
muscle deltoïde ou fessier
• Sur le plan clinique, certains patients (p. ex., ceux qui sont
gravement malades, qui ont pris antérieurement un
médicament à une dose élevée, ou qui présentent des
symptômes aigus) peuvent avoir besoin d’une
supplémentation orale au moment de l’instauration
du traitement
ADG ILP
• Les patients subissant un premier épisode peuvent avoir
besoin de doses moins élevées
Monographie d’INVEGA SUSTENNA® Product Monograph, 30 décembre 2013.
• L’absorption est meilleure si le produit est injecté dans le
muscle deltoïde, surtout lors de la prise des doses initiales
• La dose d’entretien peut être ajustée mensuellement
• Il faut tenir compte des caractéristiques de libération
prolongée lors de l’ajustement posologique, car l’effet de la
dose peut ne pas être manifeste avant plusieurs mois
13. Antipsychotiques ILP de deuxième
génération disponibles au Canada
Microsphères de rispéridone (RILP)
ADG ILP
Disponibilité
Instauration
La trousse contient :
• 1 fiole de microsphères de rispéridone
• 1 seringue préremplie contenant le diluant
• 2 aiguilles
• 2 po de calibre 20 (muscle fessier)
• 1 po de calibre 21 (muscle deltoïde)
•
•
12,5, 25, 37,5 et 50 mg
•
Garder réfrigéré (2 à 8 degrés Celsius); laisser le produit atteindre
la température ambiante avant l’injection
•
Utiliser dans les 6 heures suivant la reconstitution de la préparation
•
25 mg toutes les deux semaines par injection profonde dans le
muscle deltoïde ou fessier
Peut demeurer hors du réfrigérateur pendant une période
allant jusqu’à 7 jours à des températures ne dépassant pas
25 degrés Celsius
Supplément oral
Posologie et ajustements posologiques
•
On doit continuer la prise de suppléments oraux pendant les
3 semaines suivant la première injection
•
La dose peut être ajustée mensuellement (intervalle posologique : 25,
37,5, 50 mg [maximum])
•
Certains experts prônent la réduction progressive de la dose
après 3 semaines. Les patients présentant des symptômes aigus
pourraient avoir besoin d’une période de supplémentation orale
prolongée jusqu’à ce que la dose efficace de l’antipsychotique
ILP ait été établie
•
Dans la pratique clinique, des doses de 75 mg ont été utilisées chez
des patients qui ont montré une bonne tolérance, mais qui ont besoin
d’une dose plus élevée pour obtenir une réponse clinique complète
•
Le patient doit continuer de prendre la plus faible dose possible
•
Les augmentations posologiques ne doivent pas s’effectuer à moins
de quatre semaines d’intervalle. Les effets cliniques des
augmentations posologiques ne doivent pas être attendus avant les
trois semaines suivant la première injection de la dose plus élevée.
Monographie de RISPERDAL® CONSTA® Product Monograph, 13 août 2013.
14. Passage d’un antipsychotique oral à
un ADG ILP
Palmitate de palipéridone (PP)
Palmitate de palipéridone à 150 mg (deltoïde)
Cesser le traitement oral
Palmitate de palipéridone à 100 mg (deltoïde)
Patient JOUR 1 JOUR 8
traité par
(± 2 à 4 jours)*
voie orale
* Pour éviter une dose oubliée
Souple 50 à 150 mg (deltoïde ou fessier)
4 SEMAINES PLUS TARD
Souple
50 à 150 mg
(deltoïde ou
fessier)
MENSUELLEMENT
(± 7 jours)*
Microsphères de rispéridone (RILP)
Microsphères de rispéridone à 25 mg
(deltoïde ou fessier)
Microsphères de rispéridone à 25 mg
(deltoïde ou fessier)
Cesser le
traitement oral
Patient JOUR 1
traité par
voie orale
JOUR 14
JOUR 21
(SEMAINE 2)
Souple 25 à 50 mg
(deltoïde ou fessier)
Souple 25 à 50 mg
(deltoïde ou fessier)
JOUR 28
(SEMAINE 4)
TOUTES LES
2 SEMAINES
Souple 25 à 50 mg
(deltoïde ou fessier)
TOUTES LES
2 SEMAINES
Conversion approximative : Rispéridone orale à 2-3 mg (25 mg de RILP), rispéridone orale à 4-5 mg (37,5 mg de RILP), rispéridone orale à 6 mg ou plus (50 mg de RILP)
Ces rapports sont approximatifs et peuvent ne pas s’appliquer à certains patients
Monographie d’INVEGA SUSTENNA® Product Monograph, 30 décembre 2013.,
Monographie de RISPERDAL® CONSTA® Product Monograph, 13 août 2013.
15. Remplacement d’un traitement par des antipsychotiques
injectables à libération prolongée (ILP)
• La tolérance à la palipéridone orale ou à la rispéridone
orale doit être établie chez les patients n’ayant jamais
reçu l’un ou l’autre de ces agents
• Lors de la substitution chez un patient prenant une dose
stable d’un antipsychotique injectable à libération
prolongée, instaurer le traitement par le palmitate de
palipéridone au lieu d’administrer la prochaine injection
planifiée, puis continuer mensuellement
• Le schéma posologique d’instauration d’une semaine
n’est pas nécessaire
Monographie d’INVEGA SUSTENNA® Product Monograph, 30 décembre 2013.
Monographie de RISPERDAL® CONSTA® Product Monograph, 13 août 2013.
16. Remplacement d’un traitement par des antipsychotiques
injectables à libération prolongée (ILP)
Équivalence approximative des doses entre les microsphères de
rispéridone et le palmitate de palipéridone
(conformément à la monographie)
Dose antérieure de microsphères
de rispéridone
Dose de palmitate de
palipéridone
25 mg toutes les 2 semaines
50 mg éq. tous les mois
37,5 mg toutes les 2 semaines
75 mg éq. tous les mois
50 mg toutes les 2 semaines
100 mg éq. tous les mois
Le passage des microsphères de rispéridone au palmitate de palipéridone chez les patients au stade précoce de la
psychose peut nécessiter un ajustement posologique plus prudent
On recommande que les patients passant d’un antipsychotique ILP de première génération à un
antipsychotique ILP de deuxième génération reçoivent leur injection au moment de la prochaine
injection planifiée et suivent le schéma posologique des ADG ILP. La dose choisie dépend de la dose
d’antipsychotique ILP de première génération que reçoit le patient (dose faible, moyenne ou élevée)
Monographie d’INVEGA SUSTENNA® Product Monograph, 30 décembre 2013.
Monographie de RISPERDAL® CONSTA® Product Monograph, 13 août 2013.
17.
18. Acceptation des antipsychotiques ILP
par les patients
Il est important que les médecins et les patients :
• échangent des connaissances sur les antipsychotiques ILP
• réfléchissent à leurs biais et à leur attitude face aux injections
Les discussions collaboratives sont essentielles à
l’acceptation de tout plan de traitement
Les techniques d’entrevue motivationnelle peuvent
favoriser les discussions collaboratives
19. Entrevue motivationnelle : Définition
On a utilisé l’entrevue motivationnelle pour améliorer
l’observance du traitement
L’entrevue motivationnelle fait correspondre le niveau
de reconnaissance des problèmes des patients, ainsi
que leur motivation à changer, à des stratégies et
objectifs précis.
Kisely S, Ligate L, Roy MA, Lavery T. Applying Motivational Interviewing to the initiation of long-acting injectable atypical
antipsychotics. Australasian Psychiatry 2012;20(2);138-142.
20. Entrevue motivationnelle : Principes
L’entrevue motivationnelle repose sur quatre principes :
1. exprimer de l’empathie au moyen de l’écoute réfléchie;
2. faire apparaître l’écart qui existe entre les valeurs
fondamentales du patient et son comportement actuel;
3. favoriser l’auto-efficacité pour augmenter le degré de
confiance des patients en leur capacité à réaliser le
changement souhaité; et
4. venir à bout de la résistance en évitant d’argumenter.
Kisely S, Ligate L, Roy MA, Lavery T. Applying Motivational Interviewing to the initiation of long-acting injectable atypical
antipsychotics. Australasian Psychiatry 2012;20(2);138-142.
21. Entrevue motivationnelle :
Étapes du changement
Le changement, comme il est conceptualisé dans
l’entrevue motivationnelle, passe par les cinq étapes
suivantes :
•
•
•
•
•
Précontemplation
Contemplation
Préparation
Action
Entretien
Kisely S, Ligate L, Roy MA, Lavery T. Applying Motivational Interviewing to the initiation of long-acting injectable atypical
antipsychotics. Australasian Psychiatry 2012;20(2);138-142.
22. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Exprimer une
réflexion simple
Déplacer le centre
des préoccupations
Venir à bout
de la résistance
Prendre parti
pour la négation
Poser des
questions ouvertes
Reformuler
Exprimer
de l’empathie
Faire
apparaître l’écart
Recadrer
Éviter
d’argumenter
Affirmer
23. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Exprimer une réflexion simple.
Répondez à la résistance par la non-résistance,
en répétant les déclarations du patient par une
formulation neutre
24. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Déplacer le centre des préoccupations
Aidez le patient à déplacer le centre de ses
préoccupations loin des obstacles et des barrières
25. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Venir à bout de la résistance
Faites participer la personne au
processus de résolution du problème
26. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Prendre parti pour la négation
Captez la voix négative pendant la discussion
27. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Poser des questions ouvertes
Sollicitez des informations supplémentaires
de façon neutre
28. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Reformuler
Vérifiez plutôt que de supposer que
vous savez ce que ça signifie
30. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Faire apparaître l’écart
Encouragez le patient à voir les différences entre
sa situation présente et son espoir dans l’avenir
31. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Recadrer
Utilisez une interprétation nouvelle et
positive de l’information négative du patient
32. Compétences pour l’entrevue motivationnelle
Éviter d’argumenter
Cela est contre-productif et met
le patient sur la défensive
35. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
36. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
37. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
38. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Examinez les bons et les moins bons aspects de
la situation actuelle (p. ex., le patient ne prend
pas ses médicaments oraux régulièrement)
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
39. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
40. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Comparez les bons et les moins
bons aspects (appartenance
des problèmes)
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
41. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Discutez des objectifs à court et à long terme
définis par le patient
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
42. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Discutez des différences entre les objectifs
souhaités et atteignables à court et à long terme
Discutez des objectifs à court et à long terme
définis par le patient
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
43. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Discutez ouvertement de toute
différence entre les points de vue du
médecin et du patient
Discutez des différences entre les objectifs
souhaités et atteignables à court et à long terme
Discutez des objectifs à court et à long terme
définis par le patient
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
44. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Résumez et passez en revue périodiquement
Discutez des différences entre les objectifs
souhaités et atteignables à court et à long terme
Discutez des objectifs à court et à long terme
définis par le patient
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
45. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Demandez une prise de décision
Résumez et passez en revue périodiquement
Discutez des différences entre les objectifs
souhaités et atteignables à court et à long terme
Discutez des objectifs à court et à long terme
définis par le patient
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
46. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Aidez le patient à prendre une
décision qui reflète ses points de
vue, ses objectifs et ses
connaissances
Demandez une prise de décision
Résumez et passez en revue périodiquement
Discutez des différences entre les objectifs
souhaités et atteignables à court et à long terme
Discutez des objectifs à court et à long terme
définis par le patient
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
47. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Passez en revue les objectifs et
fournissez un soutien continu de
l’auto-efficacité
Demandez une prise de décision
Résumez et passez en revue périodiquement
Discutez des différences entre les objectifs
souhaités et atteignables à court et à long terme
Discutez des objectifs à court et à long terme
définis par le patient
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
48. Étapes de l’entrevue motivationnelle :
Une approche pratique
Passez en revue les objectifs et
fournissez un soutien continu de
l’auto-efficacité
Demandez une prise de décision
Résumez et passez en revue périodiquement
Discutez des différences entre les objectifs
souhaités et atteignables à court et à long terme
Discutez des objectifs à court et à long terme
définis par le patient
Examinez l’importance personnelle pour ce patient
Évaluez l’importance
Élaborez un plan d’action collaboratif pour la rémission et le rétablissement
Créez des liens et établissez une alliance thérapeutique
49. Cliquez ici pour participer aux études de cas et répondre à l’évaluation
Editor's Notes
References:Manchanda R, Chue P, Malla A, et al. Long-acting injectable antipsychotics: evidence of effectiveness and use. Can J Psychiatry. 2013;58(5 Suppl 1):5S–13S.
References:Abhijnhan A, Adams CE, David A, Ozbilen M. Depot fluspirilene for schizophrenia. Cochrane Database Syst Rev. 2007;1:CD001718.Da Silva FreireCoutinho E, Fenton M, Quraishi SN. Zuclopenthixoldecanoate for schizophrenia and other serious mental illnesses. Cochrane Database Syst Rev. 1999;3:CD001164.
References:Leucht C, Heres S, Kane JM, et al. Oral versus depot antipsychotic drugs for schizophrenia – a critical systematic review and meta-analysis of randomised long-term trials. Schizophr Res. 2011;127(1-3):83–92.Kishimoto T, Robenzadeh A, Leucht C, et al. Long-acting injectable vs oral antipsychotics for relapse prevention in schizophrenia: A meta-analysis of randomized trials. Schizophr Bull. 2013 Jan 2. Epub ahead of print. P 1-22.
References:Leucht C, Heres S, Kane JM, et al. Oral versus depot antipsychotic drugs for schizophrenia – a critical systematic review and meta-analysis of randomised long-term trials. Schizophr Res. 2011;127(1-3):83–92.Kishimoto T, Robenzadeh A, Leucht C, et al. Long-acting injectable vs oral antipsychotics for relapse prevention in schizophrenia: A meta-analysis of randomized trials. Schizophr Bull. 2013 Jan 2. Epub ahead of print. P 1-22.
References:Leucht C, Heres S, Kane JM, et al. Oral versus depot antipsychotic drugs for schizophrenia – a critical systematic review and meta-analysis of randomised long-term trials. Schizophr Res. 2011;127(1-3):83–92.Kishimoto T, Robenzadeh A, Leucht C, et al. Long-acting injectable vs oral antipsychotics for relapse prevention in schizophrenia: A meta-analysis of randomized trials. Schizophr Bull. 2013 Jan 2. Epub ahead of print. P 1-22.
Reference:Tiihonen J. A Nationwide Cohort Study of Oral and Depot Antipsychotics After First Hospitalization for Schizophrenia. American Journal of Psychiatry. 2011;168(6):603.
References:Monographied’INVEGASUSTENNA® Product Monograph, 30 décembre 2013.
References:Monographie de RISPERDAL® CONSTA® Product Monograph, 13 août 2013.
References:Monographied’INVEGASUSTENNA® Product Monograph, 30 décembre 2013.Monographie de RISPERDAL® CONSTA® Product Monograph, 13 août 2013.
References:Kisely S, Ligate L, Roy MA, Lavery T. Applying Motivational Interviewing to the initiation of long-acting injectable atypical antipsychotics. Australasian Psychiatry. 2012; 20(2); 138-142.
References:Kisely S, Ligate L, Roy MA, Lavery T. Applying Motivational Interviewing to the initiation of long-acting injectable atypical antipsychotics. Australasian Psychiatry. 2012; 20(2); 138-142.
References:Kisely S, Ligate L, Roy MA, Lavery T. Applying Motivational Interviewing to the initiation of long-acting injectable atypical antipsychotics. Australasian Psychiatry. 2012; 20(2); 138-142.