Une douzaine de titres pour les premières lectures en version intégrale dirigées à des apprenants de FLE de NIveau Intermedio 1, des EOI (Ecoles Officielles de Langues), cad A2+/B1
Computer Parts in French - Les parties de l'ordinateur.pptx
12 lectures pour apprenants de FLE A2/B1
1. 12 LECTURES Intermedio1 Liste des lectures proposées aux étudiants de FLE de l'EOI Niveau A2/B1 Par ordre de difficulté croissante Janvier 2010, Madrid
2. Le petit Nicolas La maîtresse est inquiète, le photographe s'éponge le front, le Bouillon devient tout rouge, les mamans ont mauvaise mine, quant à l'inspecteur, il est reparti aussi vite qu'il était venu. Pourtant, Geoffroy, Agnan, Eudes, Rufus, Clotaire, Maixent, Alceste, Joachim... et le petit Nicolas sont presque - toujours sages... Un chef-d'oeuvre d'humour à ne pas lire si vous n'aimez pas rire ! .
3. M.Ibrahim et les fleurs du Coran Moïse, «Momo», est un petit garçon de 12 ans qui s’ennuie à l’école et à la maison, auprès de son père, un avocat juif neurasthénique. Mais dans la rue Bleue où il habite, il y a des dames peu farouches qui ont bien des bontés pour lui, et surtout Monsieur Ibrahim, l’épicier arabe du quartier, musulman ,soufi exactement, originaire d’un Orient Lointain. Or, M. Ibrahim semble connaître les secrets du bonheur et du sourire dont Momo fait vite son profit. Et quand son triste père l’abandonne pour aller se jeter sous un train, M. Ibrahim adopte un Momo enchanté de devenir son fils.
4. Oscar et la dame en rose Voici les lettres adressées à Dieu par un enfant de dix ans. Elles ont été retrouvées par Mamie Rose, la " dame rose " qui vient lui rendre visite à l'hôpital pour enfants. Elles décrivent douze jours de la vie d'Oscar, douze jours pleins de personnages drôles et émouvants. Ces douze jours seront peut-être les douze derniers. Mais, grâce à Mamie Rose qui noue avec Oscar un très fort lien d'amour, ces douze jours deviendront légende. Eric-Emmanuel Schmitt vient de réaliser l'adaptation de son roman au cinéma.
5. Le petit prince J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s'était cassé dans mon moteur. Et comme je n'avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, tout seul, une réparation difficile. C'était pour moi une question de vie ou de mort. J'avais à peine de l'eau à boire pour huit jours. Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée.
6. Il a jamais tué personne,mon papa C'est l'histoire d'un papa singulier, racontée par son fils sur le mode de la simplicité et de la naïveté. Un papa qui est docteur dans une ville de province, qui soigne des gens qui ne le payent pas mais lui offrent toujours à boire ; un papa qui finit ses journées fatigué et saoul, plus porté sur la bouteille que sur l'ordonnance ; un papa qui se cache derrière le piano de son cabinet, blagueur insupportable, à la fois j'menfoutiste et irresponsable, distrait, oubliant sa voiture dans un champ de betteraves ; un papa colérique qui menace de tuer la maman, "pas méchant, seulement un peu fou quand il avait beaucoup bu. Il a jamais tué personne, mon papa, il se vantait".
7. Lullaby Un matin du mois d'octobre, Lullaby décide de ne plus aller en cours. Elle écrit à son père, glisse dans un sac quelques objets et, empruntant le chemin des contrebandiers, part en direction de la plage. Un petit garçon qui revient de la pêche, une jolie maison grecque, mais surtout le soleil et la mer remplissent ses journées d'ivresse et de liberté. Un jour, pourtant, il faut revenir à l'école. Qui donc voudra croire à son étrange voyage ?
8. Le bal Nous sommes dans les années 30. Les Kampf en font partie de la nouvelle bourgeoisie. Rosine, la mère, organise un bal où elle invite tous les gens de la haute. Leur fille Antoinette, manquant cruellement d'affection voudrait aussi y participer mais sa mère l'y interdit car elle la juge trop jeune... ...mais patience car la vengeance est un plat qui se mange froid! A travers ce court roman, Irène Némirovsky nous dresse un portrait de la nouvelle bourgeoisie de l'époque ainsi que de l'adolescence. Un livre puissant qui mériterait de se ranger auprès des grands classiques.
9. La petite fille de M.Linh Monsieur Linh est un vieil homme. Il a quitté son village dévasté par la guerre, n’emportant avec lui qu’une petite valise contenant quelques vêtements usagés, une photo jaunie, une poignée de terre de son pays. Dans ses bras, repose un nouveau-né. Les parents de l’enfant sont morts et Monsieur Linh a décidé de partir avec Sang Diû, sa petite fille. Après un long voyage en bateau, ils débarquent dans une ville froide et grise, avec des centaines de réfugiés.
10. Le racisme expliqué à ma fille Un petit livre d'initiation à l'antiracisme, réellement adressé aux enfants, par l'intermédiaire de la fille de l'auteur. On verra que les questions sont simples mais qu'elles permettent, de fil en aiguille, d'aller au fond des choses. Qu'est-ce que le racisme ? Qu'est-ce qu'un étranger ? Pourquoi n'accepte-t-on pas facilement la «différence» ? Le raciste a-t-il peur, et de quoi ? Etc. En définitive - et c'est le propre de ces petits livres d'initiation - les réponses de Tahar Ben Jelloun s'adressent tout autant aux adultes qu'aux ados. .
11. L'étranger Condamné à mort, Meursault. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu'il faisait chaud. On n'en tirera rien d'autre. Rien ne le fera plus réagir : ni l'annonce de sa condamnation, ni la mort de sa mère, ni les paroles du prêtre avant la fin. Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la révélation de l'universelle équivalence du tout et du rien. La conscience de n'être sur la terre qu'en sursis, d'une mort qui, quoi qu'il arrive, arrivera, sans espoir de salut. Et comment être autre chose qu'indifférent à tout après ça ?
12. Ni d'Eve ni d'Adam L E moyen le plus efficace d’apprendre lej aponais me parut d’enseigner le français.Au supermarché, je laissai une petite annonce : « Cours particuliers de français, prix intéressant». Le téléphone sonna le soir même. Rendezvous fut pris pour le lendemain, dans un café d’Omote-Sando. Je ne compris rien à son nom, lui non plus au mien.