1. THE GOOD LIFE 100% PARIS
THE GOOD LIFE 100% PARIS/Tour #13
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The Good Book
Focus : The Good Street-Art
Blazed & Confused
Livre imprimé/livre numérique
2. La participation de 100 artistes et une surface peinte de 4500m2. Pour
une exposition qui ne durera 1 mois (Du 1er au 31 octobre 2013).
Il est maintantn 12h, voilà presque 4 heure que j’attend, heureuse-
ment il fait beau et un artiste viens faire une performence en direct
juste sous nos yeux. Dans la file on apprend qu’exceptionnellement
la tour sera ouverte toute la nuit, certain sont rassuré car cela leur
assure une place dans ce lieu mystique, moi j’ai peur. Il est 13 h le
soleil ne se couche pas avant 19h cela voudrait dire que l’attente sera
encore de minimum 6 heure...
Tout le long de la file on peu observer des messages ecrits aux
marqueur tel-que : “ Je suis arrivé a 8h... Il est 11H54”.
J’espère que cette expo vaut le coup !
Dans la file d’attente je rencontre des artistes, des enfants accompa-
gnés, mais aussi des personnes agés, la population est hétéroclite, cela
me donne le sourire. Le street art sort enfin de ces barrières, il n’est plus
limtés a “la rue”, il est entré dans la classe “art”.
J’observe les visiteurs, eux aussi sont pret à patienter les quelques
10 h d’attente pour vois cette exposition unique. La tour #13 est un im-
meuble regroupant des logements sociaux, alors que celle-ci doit etre
détruite la marie du 13 ème arrondissement décide de permettre au
artiste de rue de peindre dans un premiere temps la facade puis chacun
des appartement de l’immeuble. La réalisation de cette oeuvre géante
aura pris 7 mois.
En ce mercredi matin glacial dans les rues de la capitale, je descend
du métro pour me rendre à la tour #13. La tour #13 c’est un immeuble
desafecté puis réhabilité par de tres nombreux street-artiste à l’initiative
de la ville de Paris.
Il est 08h14, je commence a entré dans la file qui me parrait d’hors et
déja interminable. Des rumeurs cours depuis quelques jours maintenant.
Il y’aurai au minimum 10h d’attente avant d’accéder au temple. Je suis
déterminé mais 10h c’est beaucoup !
The Good Street-Art : Tour #13
Aujourd’hui nous partons pour un lieu unique, et éphémère. Sur les quai de seine au 5 rue Fulton, Paris 13e , se dresse cette
immense tour surnomé par ses visiteurs “ Temple du street art”. Je suis armé de mon apareil photo et d’une grande volonté,
je me retrouve donc à 8 h ce matin d’ octobre 2013. Voici ma retrospective sur la Tour #13.
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THE GOOD LIFE 100% PARIS/Tour #13
3. Il est 19h33, j’entre enfin dans le sanctuaire apres plus de
10h30 d’attente, l’expo peut commencer.
Dés les premiers pièces nous sommes plongé dans l’ambiance, un
artiste a suspendu des bombes de peintures en forme d’ogive afin
de s’élever contre le systeme Syrien.
Je continue mon chemin lors’un Monsieur m’interpelle : “Vous
avez le choix sois vous montez la tour a pied, sois vous prenez
l’ascenseur et vous la descendez à pied ?” Une majorité des visteur
choisi alors l’ascenseur, je décide de montez les escaliers.
Je vais profitez de cette article pour me poser des questions et
donc vous questionnez à propos du street-art.
Effectivement, il y’a encore peu de temps le street-art était largement
négligé par le grand public, ceux-ci le voyait comme un poid pour la
société. Ce public avait l’occasion de l’observer au quotidien dans les
rues, les métro et peu être mème sur n’importe quel mur si l’on ob-
serve bien, mais non, ils ont attendu que cette art soit politiquement
et donc médiatiquement reconnu pour commencer à le voir. Grâce à
des artistes tel-que Bansky, Shepard Ferey (Obey), Invader ou encore
C215, qui ont permis au street art de connaitre sa libération. Du jour
ou lendemain les médias on en fait leur “dada” tant bien mème qu’ils
le négliaient voir le combattaient hier encore...
La question que je me pose aujourd’hui est la suivante : “ Le
Street Art est il devenue populaire car économique-
ment intérréssant ?”
Je pense qu’il est légitime de se demander pourquoi des oeuvres sont
aujourd’hui vendu des milliers d’euros, alors qu’il n’est censé n’ être
qu’une peinture éphèmere sur un mur. Dés lors que les galeristes se
sont intérréssés au vrais artistes de la rue, d’autres artistes mécon-
nuent ont vu le jour aussi, ils sentaient que cette art deviendrai alors
une machine écomique.
Aujourd’hui le capitalisme perverti nôtre population, on ob-
serve que lorsque des oeuvres ne sont pas exposés, au sens clas-
sique au seins d’une galerie, elles sont a peine observés. Lorsque
les médias en parle c’est par ce que le capitalisme le veux. Ont
peu desormais donné un prix ? en vendre ? en acheter ? tres bien
je vais gagner de l’argent ! Le grand public observe l’évolution à
travers son petit écran et on leur annonce qu’une oeuvre se vend
200 000 euros ! Comment ca ? Et bien oui messieurs dames, les
petits ecritaux ou portraits que vous voyez sur vos mur coutent trés
cher ! Du coup ce grand public se met à observer dans ses rues,
puis dans les journaux, sur internet jusqu’au jourd ou il s’achetera
un t-shirt OBEY. La machine économique Street-art est lancé, je suis
heureux pour les artistes, mais je constates une fois de plus que
l’homme n’à plus de personnalité, il suit le mouvement.
Il ne faut pas oublier que le Street-art est un mouvement con-
testaire, qui se bat contre certaine valeurs, ces même valeur qui
aujourd’hui promouvoit cette art.
Dans les marches de nombreuses oeuvres son présentes, un
gigantèsque arbre tarvers toute la cage d’escalier, c’est impres-
sionant. Le graphisme est magnifique et l’ambiance parfaite. Je
poursuit mon chemin au traver des différents appartements ou
de nombreuses instalations on été misent en place. Les ouevres
se suivent mais ne ressemblent pas, les différents pays et donc
cultures représentés sont bien présentes, chacun des artistes a son
propre univers, parfois torturés, ou engagés. Chacune des pièces
de l’appatement sont peintes, des toilettes pleines de giclures de
sang, des salles de bains ou des corps jonchent le sol, ou encore un
portrait d’un de mes auteurs favoris a savoir : Arthur Rimbault.
J’oublie vite l’attente et découvre un univers somptueux, de
la couleur, de l’engagement, une démarche artistique sans equi-
voque.
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5. De mon point de vu l’air numerique mange petit à petit
nos liberté en pensant en avoir plus nous devont ultra dépendant
du système, donc des esclaves modernes. Les livres numériques
incluent l’achat d’une tablette numérique, via cette même tablette
vles entreprises peuvent détenir de tres nombreuses informations
sur vous, cela ira enrichir des bases de données qu’il revendront
au plus offrant ! Pourquoi veulent ils nous faire passer dans une
air completement numérique ? Nous avons vecu des siècles en uti-
lisants le livre papier, celui-ci a permit aux auteurs de nous compté
des récits des anciens temps, le simple fait d’imprimé sur du pa-
pier à permit à ces livres de traverser le temps. Imaginer vos tab-
lettes numérique, d’ici deux années la tablette acheté aujourd’hui
deviendra completement obsolète, dans vingt ou trente ans les
formats de lectures seront différents, vous ne pourrez pas laisser
une belle bibliothèque à vos enfants. Votre tablette sera dépassé il
faudra alors acheter de nous ces livres numériques, cela nous fait
rentrer dans une air “d’hyper-consomation”. Le livre physique est
un élément majeur de notre histoire, ils nous rapporte des récits et
nous permet de ne pas oublier le passé, il ne vit pas sur batterie ou
sur une supposé technologie, il se suffit a lui même.
Livre imprimé / Livre numérique
Aujourd’hui le livre numérique tente de remplacer peu à peu les livres imprimés. Nous en sommes en droit de nous
demander si cette avancé technologique est réellement pertinantes ? Effectivement nous pouvons pensez que le livre
numérique annihile le vrai plaisir de lecture à savoir l’utilisation de ses différents sens tel-que l’odorat ou encore le
touché.
Le second problème serai le simple fait de lire un livre au trav-
ers un écran nous abbruti au même point que notre télévision.
L’écran abîme les yeux et supprime les raports humains, effective-
ment devant un écran nous sommes seul et donc fermé sur ce qui
se déroule autour de nous, devenont de bêtes moutons lisant des
livre sur tablette sans jamais relever les yeux. Quand tout à coup la
tablette tombe à terre ! MISÉRICORDE ! Mon écran est cassé oh non
! Je ne peux finir mon livre ! Et directement la réflexion suivante :
“ Je dois me racheter une tablette...” Nous sommes en plein dans
le système, consommons encore et encore ! Faites tombez un livre
imprimé, allez-y, il ne sera pas cassé ou autre, de plus la batterie
ne s’arrêtra pas de fonctionner je peux vous l’assurer !
Et que serai l’autodafé avec des tablettes numérique ? Bien sur je
plaisante, cependant le seul vrai avantage que je trouve a cette air
du livre numérique est la protection et la sauvegarde de la culture.
effectivement grace au différents moyes de sauvegardes qui sont
misent a notre disposition les autodafé à venir seront des actes
sans grande importance pour notre culuture puisque tout notre
connaissance sera en mémoir au quatre coin du monde.
Pour conclure je dirai que le seul avantage du livre
numérique est le fait de pouvoir stocker bon nombres de vos
bouquins favoris sur une seul et même tablette. Les livres im-
primés prennent de la place, ce dont nous manquons cruellement
au XX1 ème siècle. Cependant le livre physique est aussi une
passerelle culturelle entre nous et nos futurs enfants, un livre se
partage une tablette non. Je finirai mon sujet en pausant une
question à savoir si le réel problème ne viendrai pas du fait que
les populations ne lisent plus ?
Autodafé de 1933
Robin Alliel pour THE GOOD LIFE/2014
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