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Emanuele Sbardella - L’histoire de comme Paris est devenu plaine aux as
1. L’histoire de comme Paris
est devenu plaine aux as
Emanuele Sbardella
„AS m. argent monnayee […]
Meist in der Wendung être à l’as […]:
1881 Rig. jarg. des voleurs […].
In der Wendung être (plein) aux as „avoir
beaupoup d’argent“ (Ingeburg 1997:5)
2. « Telle est le destin: le passé est dévoré par
le présent […]. L'archeologie ne vas pas sans
la philosophie […]. A Paris, oú le luxe
evahisseur se trouve si mal à l'aise, dans ces
roues étroites et sombres qui souffisaient à
nos pères »
(Fournier, Paris detruit)
3. « Il a pour lui l'argent, l'agio, la banque, la
Bourse, le coffer-fort »
(Hugo, Napoleon le Petit)
4. « Ainsi, proposer un moyen capable d’initier
les masses à tous les bienfaits de la
civilisation, c’est tarir les sources de
l’ignorance, du vice, de la misère. Je crois
donc pouvoir, sans trop de hardiesse,
conserver à mon travail le titre d’Extinction
du Paupérisme »
(Louis Napoléon Bonaparte, Extinsion du
Paupérisme)
5. « C'était la cathédrale du commerce
moderne solide et légère, faite pour un
peuple de clientes. […] Un monde poussait
là, dans la vie sonore des hautes nefs
métalliques. »
(Zola, Au Bonheur des Dames)
« Elle volait avec de l'argent plein la poche,
elle volait pour voler, comme on aime pour
aimer, sous le coup de fouet du désir, dans le
détraquement de la névrose. »
(Zola, Au Bonheur des Dames)
6. « […] ces dames « Un lundi, quatorze mars, le Bonheur des Dames
exhalèrent leur inaugurait ses magasins neufs par la grande exposition des
rancune. On se nouveautés d'été, qui devait durer trois jours. […]
dévorait devant Au centre, dans l'axe de la porte d'honneur, une large
les comptoirs, la galerie allait de bout en bout, flanquée à droite et à
femme y gauche de deux galeries plus étroites, la galerie Monsigny
mangeait la et la galerie Michodière. On avait vitré les cours,
femme, dans une transformées en halls; et des escaliers de fer s'élevaient du
rivalité aiguë rez-de-chaussée, des ponts de fer étaient jetés d'un bout à
d'argent et de l'autre, aux deux étages. L'architecte, par hasard
beauté. » intelligent, un jeune homme amoureux des temps
(Zola, Au nouveaux, ne s'était servi de la pierre que pour les sous-
Bonheur des sols et les piles d'angle, puis avait monté toute l'ossature
Dames) en fer, des colonnes supportant l'assemblage des poutres
et des solives. Partout on avait gagné de l'espace, l'air et la
lumière entraient librement, le public circulait à l'aise,
sous le jet hardi des fermes à longue portée. »
(Zola, Au Bonheur des Dames)
7. « L'argent est devenu pour beaucoup la
dignité de la vie: il rend libre, est l'hygiène, la
propreté, la santé, presque l'intelligence. [...]
Puis la force irrésistible de l'argent, un
levier qui soulève le monde »
(Zola, Ébauche de L'Argent )
8. « Aristide Rougon s'abattit sur
Paris, avec ce flair des oiseaux
de proie qui sentent de loin
les champs de bataille »
(Zola, La Curée)
« Il dépensait un argent fou; le
ruissellement de sa caisse
continuait, sans que les
sources de ce fleuve d'or
eussent été encore
découvertes. »
(Zola, La Curée)
9. « Vous n’avez pas le droit de nudité sur la
misère et le malheur. »
(Hugo, correspondance privée)
10. « Ils buvaient là du propre argent, capable de
flanquer toutes les mauvaises maladies! »
(Zola, L’Assommoir)
11.
12.
13. « Deux mois avant la mort d'Angèle, il l'avait menée, un
dimanche, aux buttes Montmartre. […] On était à l'automne ; la
ville, sous le grand ciel pâle, s'alanguissait, d'un gris doux et
tendre, piqué çà et là de verdures sombres, qui ressemblaient à
Les Rougon-Macquartr egroupe un ensemble de vingt romans
de larges feuilles de nénuphars nageant sur un lac ; le soleil se
écrits par Émile Zola entre 1871 et 1893. Il porte comme sous-titre
couchait dans un nuage rouge, et, tandis que les fonds
Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire
s'emplissaient d'une brume légère, une poussière d'or, une rosée
d'or tombait sur la rive droite de la ville, du côté de la Madeleine
La Fortune des Rougon (1871)
La Curée (1872) [ >> http://www.gutenberg.org/files/17553/17553-h/17553-h.htm
et des Tuileries. C'était comme(1873)
Le Ventre de Paris
le coin enchanté d'une cité des
>> http://www.gutenberg.org/cache/epub/6470/pg6470.html
Mille et une Nuits, aux arbres d'émeraude, aux toits de saphir,
La Conquête de Plassans (1874)
aux girouettes de La Faute de vint un moment où le rayon qui glissait
rubis. Il l’abbé Mouret (1875)
Son Excellence Eugène Rougon (1876)
entre deux nuages fut si resplendissant,>> http://www.gutenberg.org/cache/epub/6497/pg6497.html
L’Assommoir (1877) [ que les maisons
Une page d’amour (1878)
semblèrent flamber et se fondre comme un lingot d'or dans un
Nana (1880)
creuset. Pot-Bouille (1882)
- Oh ! vois, dit Saccard,de vivre (1884) (1883) >> http://www.gutenberg.org/cache/epub/16852/pg16852.html
Au Bonheur des Dames
La Joie
avec un rire d'enfant, il pleut des pièces
de vingt francs dans Paris ! […].
Germinal (1885)
IlsParis de Zola onL'Œuvre (1887) instants à la fenêtre, ravis de ce
Le restèrent encore Terre (1886)
quelques
GoogleMaps
La
(avec des référencesBête humainevingt francs », qui finit par embraser
ruissellement de « pièces de
Le Rêve (1888)
La
à des citations de ces
(1890)
Paris entier. »
textes et des explications interactives) >> http://www.gutenberg.org/files/17516/17516-h/17516-h.htm
L’Argent (1891)
(Zola, La Curée) La Débâcle (1892)
>> http://goo.gl/maps/8PK8u
Le Docteur Pascal (1893)