Projet Open Source Ecology - Transitions² / "Agenda pour le Futur" - Open Con...
Restitution atelier infolab opendataweek
1. “de l’InfoLab à la dataschool”
Restitution de l’atelier
innovations démocraTIC & libertic
Opendataweek, 24 Mai 2012,
Claire Gallon Libertic, Cecile Delemarre Innovations démocraTIC
et Christophe Tallec, Utilisacteur pour innovations démocraTIC
2. SS
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Une réflexion ouverte sur les besoins d’infolabs en France
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Un article paraissait
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récemment dans internet Actu,
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intitulé “As-t-on besoin d’InfoLabs
de
en France”.
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http://www.internetactu.net/2012/05/15/
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Ce questionnement
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sur les enjeux en formats
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de rencontre et d’émulation
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était partagé avec les participants
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de l’opendataweek.
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Libertic ouvrait l’atelier,
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en partageant ses retours
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et réflexions sur la
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dataschool. Les participants
répartis en équipe, ace
ont ensuite construits leurs
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retours d’expériences.
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http://libertic.wordpress.com/
De
3. L’atelier
vers la v1 du kit de l’infolab
30 participants ont rejoint l’atelier
“de l’infolab à la dataschool”
ce 24 Mai dernier lors de
l’opendataweek, pour partager
leurs retours d’expériences
de dispositifs liés à l’exploration
des données ouvertes,
en se projetant dans la
conception d’un atelier idéal
pour une ville.
Associations, villes, régions,
experts de l’open data,
journalistes, ont combinés
leurs visons de l’enjeu.
4. Méthodologie
le kit infolab v1
L’atelier était l’occasion
de co-créer la première version
du kit infolab, un outil ouvert
de cartographie de la problématique,
servant à brainstormer
et concevoir l’infolab idéal.
Les participants se sont
réunis par famille de cartes,
les “acteurs”, les “enjeux”,
les “types de données”,
les “connaissances”,
les “dispositifs d’animation”
et les dispositifs de “restitution”.
5. le kit...
Un langage visuel pour faciliter les échanges
Les participants étaient invité
dans la deuxième phase
de l’atelier à utiliser le kit
de jeu de l’infolab
pour visualiser leur retour
d’expérience.
Le kit permet de représenter
les problématiques liées à la
valorisation des données. Il
comprend les cartes “acteur”,
“connaissances”, “dispositif
d’animation”, “dispositif de
restitution”, catégorie de
données et “enjeux”.
Accompagné de différentes
méthodes d’animations,
le jeu facilite les réflexions
de groupe.
6. Equipe 1
Les acteurs
Les participants ont travaillé à la
définition de catégories
et sous catégories pour
aborder toutes les dimensions de
cette problématique :
autorité publique, sphère tech-
nicienne, utilisateurs. (détails sur
post-it géants)
L’équipe suggère la création d’un
éco-système au centre duquel la
ville joue le rôle de coordinateur/
animateur.
Remarque : La catégorie
“Grand public” est encore très
indifférenciée et peut être un peu
éloignée des sujets open data.
Une seule distinction est faite
avec les publics en situation
d’apprentissage
(scolaires, étudiants).
7. Equipe 2
Les enjeux
mutualisation, éditorialisation, Il faut comprendre le sens
personnalisation sont les notions que l’on peut tirer des données,
clés dégagées par l’équipe. en racontant une histoire à partir
de celles-ci pour la rendre plus
L’enjeu fort ici est de rendre la compréhensible aux gens.
donnée attractive, moins sérieuse
et ennuyeuse. Ajout de Simon Chignard :
> pour rendre la donner attractive Les formats qui se veulent créatifs
et véritablement appropriable il comme les hackatons donnent
faut passer par la personnalisation des résultats médiocres (c’est en
de celle-ci dans le traitement mais partie lié au fait que les jeux de
aussi et surtout dans le rendu données disponibles ne
et la visualisation. permettent pas grand chose autre
que des applis sur les transports
> cette personnalisation passe par etc). Il y a un enjeu autour
l’éditorialisation – que l’on peut de la durée d’un process
rapprocher du data-storytelling et ses objectifs, (les hackatons,
: Car on peut s’interroger sur toujours). Il faut faire attention
l’interêt et l’utilité de s’intéresser à l’ambition de certains
au budget de sa commune... projets et de la déception
qui peut s’en suivre !
8. Equipe 3
les dispositifs, formats de restitution
Point de départ de la réflexion par inclusion
du groupe : les participants des préoccupations
ont établi une dichotomie de l’utilisateur.
entre la pratique
et le théorique. > Un moyen ludique
peut-être celui
> Finalement, il n’y aurait du serious game, adapté
pas d’enjeu de connaissances au profil de l’utilisateur,
à posséder absolument, son niveau d’expérience,
ses points forts et faibles etc
partant du fait qu’on ne peut
demander aux gens > Ne pas faire réagir à des
de monter en compétence sur données mais à des thèmes,
toutes les connaissances que c’est beaucoup plus parlant !
la data exige.
L’approche doit être plus
pragmatique et il faut
prendre les choses,
dans le sens inverse,
9. Equipe 4
les dispositifs, formats d’animation
Double logique, l’ animation La création de tiers-lieu
interne/externe à la structure de confiance qui mélange
compétences et permanence
Il existe le besoin d’une du lieu est aussi évoquée.
adaptation au public/niveau
d’expérience Sans oublier des formats
plus classiques d’animation
Plusieurs propositions (cartoparty, hackaton)
de formats ont été fait pour susciter de l’intérêt
par l’équipe : autour de la donnée et enfin
la présence en ligne
Approche de type résidence avec la formation
(observation d’un lieu et son de communauté
fonctionnement, comment et des livechats
l’infolab peut rentrer
ds ce contexte,...)
10. Equipe 5
les types de données
Les participants ont d’abord De même, on peut poser
réfléchi sur ce qu’était la question sur les moyens
une “catégorie”, un “type” de récupération de la donnée
et une “nature” de données. (capteurs, contribution
(pas de détails donnés dans volontaire...)
la restitution)
Rajout de couple d’opposition
avec un type particulier
de données (temporaire/
permanentes...)
Remarque : l’aspect
crowdsourcé de la donnée
est évoquée. Cela peut nous
questionner : “l’origine de la
donnée” et son moyen
de production peuvent-ils
constituer une catégorie ?