Les conséquences de la pollution citées dans le texte comprennent le réchauffement climatique, la détérioration de l'environnement, des déséquilibres écologiques, des maladies liées à la pollution de l'air, la fragilisation des organes respiratoires (poumons, gorge, bronches), et la pollution de l'eau causant des dommages aux écosystèmes aquatiques. De plus, le texte souligne que certains matériaux tels que le plastique, les métaux et le verre ne sont pas biodégradables, entraînant des déchets persistants dans l'environnement.
2. SOMMAIRE
Définition d’un Ordinateur
DEFINITION DE CARTE MERE
LES COMPOSANTS DE LA CARTE MERE
L’EMPLACEMENT DE LA CARTE MERE
LES DIFFERENTES FORMAT DE LA CARTES MERES
DEFINITION DE PROCESSEUR
LES CARACTERISTEQUES DE PROCESSEUR
L’ARCHETECTURE DE L’INTEL 4004
LES TYPES DE PROCESSEUR
DEFINITION DE LES MEMOIRES
DEFINITION RAM ET ROM
CONCLUSION
3. Définition l’ordinateur:
Un ordinateur est un appareil électronique servant au
traitement automatique des données. Ainsi, il est constitué de
deux principales parties à savoir : le Matériel et le logiciel.
Le matériel encore appelé Hardware en Anglais, c’est
l’ensemble des composantes de l’ordinateur que l’on peut voir
et toucher. Tandis que le logiciel est l’ensemble des
instructions (Programmes) indiquant à l’ordinateur de
traiter l’information. Alors, il existe deux sortes de logiciel : le
système d’exploitation et les logiciels d’application.
4. I. LA CARTE MERE:
1.DEFINITION:
La carte mère ou (MotherBoard/Mobo) est le composant principal de l'unité centrale.
C’est une circuit imprimé équipé de composants. Le rôle de la carte mère est de centraliser et
traiter les données échangées dans un ordinateur à l'aide du processeur, qui est fixé dessus. La
carte mère gère donc le disque dur, un disque, le clavier et la souris, le réseau, les ports USB…
5. 2.LES COMPENSANT DE LA CARTE MÈRE:
La carte mère est composée de :
• Processeur.
• Les circuits du contrôleur (Chipset, jeu de puces).
• Le Bus.
• La mémoire RAM.
• Connecteurs d’extension pour ajouter des cartes supplémentaires.
• Ports pour périphériques externes.
• CMOS.
• La ROM.
• Puces BIOS.
• Puces supplémentaires offrant des fonctionnalités variées
6. 3. L’EMPLACEMENT DE LA CARTE MERE:
La carte mère est placée au fond des boîtiers. Tous les composants du
système sont directement reliés à la carte mère. Les périphériques
externes (clavier, souris ou écran) ne pourraient pas communiquer avec le
système sans cette dernière.
7. 4.LES DIFFÈRENT FORMAT DE LA CARTE MÈRE:
Les principaux types de cartes mères sont les suivant :
AT : et son dérive Baby-AT ont été utilisées à partir de 1984 sur les premier PC, avant d’être
remplacés par le format ATX
ATX : Cree en 1995 par Intel. Elle présente ainsi beaucoup plus de ports USB, des ports
FireWire, une connectique réseaux des connectiques vidéo et son, ainsi la présence d’un bouton
d’allumage, permettant un arrêt et un allumage faciles de la machine.
BTX : est une norme développée par Intel principalement pour améliorer le refroidissement du
processeur par rapport à ATX. Été lance par la société Intel en 2005 correspond à trois
formats :
Le format BTX standard
Le format Micro BTX
Le format Pico BTX
Le format Nano BTX
DTX : lance en 2007 par AMD (Advanced Micro Devices : est un fabricant américain de semi-
conducteur, microprocesseurs, cartes graphiques),
8. 5.conclusion:
Pour conclure, nous avons vu que la carte mère est le point central de votre ordinateur.
Elle va mettre en relation chaque composant grâce au BIOS et va faire transiter les informations
entre eux. Il est donc important de prendre une carte mère avec un socket récent, une connectique
adaptée à vos besoins et pourquoi pas deux ports PCI-express pour accueillir deux belles cartes
graphiques.
10. 1.DEFINITION:
Le processeur est un composant électronique qui n'est autre que le "cœur pensant" de tout ordinateur.
Il est composé de plusieurs éléments dont, entre autres, les registres (mémoire interne).
Dans le monde des PC, les principaux fabricants sont : INTEL, IBM, CYRIX, AMD, NEXGEN
(désormais racheté par AMD), CENTAUR et TEXAS INSTRUMENT. Sur les autres systèmes, il y a
aussi : MOTOROLA (principalement Macintosh), ARM, ATT, DEC, HP, MIPS et SUN. Dans le
domaine des compatibles, Intel a été et reste le pionnier. Cette société américaine a fixé un standard
(80x86) sur lequel repose la totalité des logiciels PC.
11. 2.Caractéristiques des processeurs:
La fréquence:
elle permet de comparer facilement 2 processeurs. Mais attention de ne pas
comparer l’incomparable .
Par exemple, un Pentium 4 à 3.2 GHz sera moins performant qu'un Core 2 Duo à
2Ghz.
Le cache:
Le cache est une mémoire pour les calculs qui reviennent souvent. Cette mémoire
est beaucoup plus rapide que la RAM, et influe donc sensiblement sur les
performances globales du CPU.
Le socket:
reçoit le processeur, les sockets ont un nombre différent de « contact » afin de
recevoir les picots du processeur. Ce nombre correspond au nom du socket
(socket AM2,AM2+,AM3,775,1156 etc..).
13. 4. LES TYPES DE PROCESSEURS:
microcontrôleur
microcontrôleur (µc, uc, ou encore MCU en anglais) est un circuit intégré et compact,
conçu pour régir une opération spécifique et dans un système intégré. Il comprend un
processeur, une mémoire et des périphériques d’entrée et de sortie sur une seule carte ou
une seule puce. Ces circuits sont utilisés dans les véhicules, les machines industrielles, les
appareils médicaux, les émetteurs-récepteurs radio mobiles, les distributeurs
automatiques ou encore les appareils ménagers.
14. processeur ARM
Un processeur ARM est un type de processeur informatique développé par ARM Holdings, une
entreprise britannique. ARM, qui signifie Advanced RISC Machine (Machine RISC Avancée),
utilise une architecture RISC (Reduced Instruction Set Computing), ce qui signifie que ses
instructions sont généralement plus simples et s'exécutent plus rapidement que les
processeurs CISC (Complex Instruction Set Computing) traditionnels.
Les processeurs ARM sont largement utilisés dans une variété d'applications, notamment les
smartphones, les tablettes, les appareils portables, les systèmes embarqués, les serveurs, et
même certains ordinateurs personnels. Leur efficacité énergétique, leur puissance de
traitement et leur faible coût en font un choix populaire pour de nombreux fabricants de
dispositifs électroniques.
15. LE MIPS :
Un processeur MIPS est un type de processeur informatique basé sur l'architecture MIPS
(Microprocessor without Interlocked Pipeline Stages), développée par MIPS Technologies,
Inc. MIPS est une architecture de type RISC (Reduced Instruction Set Computing), qui se
caractérise par un jeu d'instructions relativement simple et efficace.
Les processeurs MIPS sont utilisés dans une variété d'applications, y compris les systèmes
embarqués, les routeurs, les consoles de jeux vidéo, les équipements réseau, et les
supercalculateurs. Ils se distinguent par leur efficacité énergétique, leur performance, et
leur faible coût, ce qui en fait un choix populaire pour de nombreux fabricants de dispositifs
électroniques
16. processeur X86:
Le processeur x86 est une famille de processeurs informatiques basée sur l'architecture x86,
développée par Intel Corporation et AMD principalement. Cette architecture est largement utilisée
dans les ordinateurs personnels, les serveurs, les stations de travail et de nombreux autres
appareils informatiques.
L'architecture x86 tire son nom de l'ensemble d'instructions original des premiers processeurs
Intel, le 8086 et le 8088. Depuis lors, l'architecture a été étendue, améliorée et modernisée à
plusieurs reprises pour répondre aux exigences croissantes en matière de performances, de
capacités et de compatibilité avec les logiciels existants.
Les processeurs x86 se caractérisent par leur jeu d'instructions complexe (CISC - Complex
Instruction Set Computing) qui comprend une grande variété d'instructions permettant de réaliser
des opérations complexes en une seule instruction. Cette architecture est souvent comparée à
celle des processeurs RISC (Reduced Instruction Set Computing), comme ARM et MIPS, qui
privilégient des instructions plus simples mais plus nombreuses.
Les processeurs x86 sont utilisés dans une large gamme de systèmes, des ordinateurs de bureau
et portables grand public aux serveurs d'entreprise et aux supercalculateurs. Ils sont compatibles
avec une vaste gamme de logiciels et de systèmes d'exploitation, ce qui en fait l'une des
architectures les plus répandues et les plus influentes dans le domaine de l'informatique.
17. LE PROCESSEUR X64:
Le processeur x64, également connu sous le nom d'AMD64 ou Intel 64, est une architecture de
processeur 64 bits basée sur les extensions x86. Cette architecture a été introduite par AMD en 2003
avec leur processeur Opteron, et elle a ensuite été adoptée par Intel sous le nom de "Intel 64".
Les processeurs x64 offrent plusieurs avantages par rapport à leurs prédécesseurs 32 bits, notamment
une capacité accrue à adresser la mémoire (plus de 4 Go de RAM), un support amélioré pour les calculs
en virgule flottante, et une meilleure performance dans les applications gourmandes en ressources. Les
systèmes d'exploitation et les logiciels compatibles avec l'architecture x64 peuvent tirer parti de ces
avantages pour offrir une expérience utilisateur améliorée en termes de vitesse et de capacité de
traitement.
18. LE PROCESSEUR AVR:
Le processeur AVR est une famille de microcontrôleurs basée sur l'architecture RISC (Reduced
Instruction Set Computing) développée par Atmel, une entreprise maintenant sous la
Microchip Technology Inc. Les microcontrôleurs AVR sont largement utilisés dans une
d'applications, y compris les systèmes embarqués, les appareils électroménagers, les jouets,
instruments de musique électroniques, les capteurs, les télécommandes, et bien plus encore.
Les processeurs AVR se caractérisent par leur faible consommation d'énergie, leur puissance
traitement, leur simplicité d'utilisation, et leur large disponibilité d'outils de
populaires auprès des amateurs, des ingénieurs et des développeurs en raison de leur
de leur adaptabilité à de nombreux projets électroniques.
19. III. LES MÉMOIRES:
1.definition:
La mémoire est un composant de base de l'ordinateur, sans lequel tout
fonctionnement devient impossible. Son rôle est de stocker les données avant et
pendant leur traitement par le processeur. Ces données sont d'apparence binaire et
mémorisées sous forme d'impulsions électriques (une impulsion est égale à 1, aucune
impulsion est égale à 0). Plusieurs types de mémoires sont utilisés, différentiables par
leur technologie (DRAM, SRAM, ...), leur forme (SIMM, DIMM, ...) ou encore leur
fonctionnement (RAM, ROM,).
20. ROM (Read−Only Memory)
La ROM, ou "Read-Only Memory" en anglais, est une forme de mémoire informatique
qui conserve ses données même lorsque l'alimentation électrique est coupée.
Contrairement à la RAM (Random Access Memory), la ROM ne peut pas être modifiée de
manière dynamique par le système ou l'utilisateur une fois qu'elle a été programmée. Elle
est souvent utilisée pour stocker des instructions de base ou du firmware essentiel pour
le fonctionnement d'un appareil électronique, telles que les instructions de démarrage
d'un ordinateur ou les logiciels de contrôle embarqué dans les appareils électroniques.
La ROM peut être présente sous différentes formes, telles que des puces intégrées sur
une carte mère, des cartouches de jeu vidéo, ou des disques optiques comme les CD-
ROM et les DVD-ROM.
21. RAM (Random Access Memory)
La RAM, ou mémoire vive en français, est un type de mémoire informatique
volatile utilisée par les ordinateurs et d'autres appareils électroniques pour stocker
temporairement des données et des instructions accessibles rapidement par le processeur.
Contrairement à la mémoire de stockage permanente, comme le disque dur ou la mémoire
flash, la RAM perd son contenu lorsque l'alimentation est coupée. La RAM permet un accès
rapide aux données, ce qui en fait un élément crucial pour les performances des systèmes
informatiques, car elle permet de stocker les données en cours d'utilisation par les
programmes et le système d'exploitation.
22. CONCLUSION:
En conclusion, nous avons exploré les composants essentiels qui constituent un ordinateur
moderne. Du processeur qui agit comme le cerveau de la machine à la mémoire qui stocke
temporairement les données, chaque élément joue un rôle crucial dans le fonctionnement
harmonieux de l'ensemble. Les périphériques d'entrée et de sortie permettent à l'utilisateur
d'interagir avec l'ordinateur, tandis que la carte mère agit comme une colonne vertébrale, reliant
tous les composants ensemble. Ensemble, ces pièces forment un écosystème complexe mais
cohérent, illustrant la magie de la technologie moderne. Il est essentiel de comprendre la
fonction de chaque composant pour tirer le meilleur parti de nos machines et apprécier
pleinement le monde numérique dans lequel nous vivons.
23. IV Différents types de
mémoires de masse:
La mémoire de masse (appelée
également mémoire physique ou mémoire
externe) permettant de stocker des informations à
long terme, y compris lors de l'arrêt de
l'ordinateur. La mémoire de masse correspond aux
dispositifs de stockage magnétiques, tels que le
disque dur, aux dispositifs de stockage optique,
correspondant par exemple aux CD-ROM ou aux
DVD-ROM, ainsi qu'aux mémoires mortes.
24. 1. LE DISQUE DUR:
a-definition:
Le disque dur est l'organe servant à conserver les données de manière permanente,
contrairement à la mémoire vive, qui s'efface à chaque redémarrage de
l'ordinateur.
Le disque dur est relié à la carte-mère par l'intermédiaire d'un contrôleur de disque
dur faisant l'interface entre le processeur et le disque dur. Le contrôleur de disque
dur gère les disques qui lui sont reliés, interprête les commandes envoyées par le
processeur et les achemine au disque concerné. On distingue généralement les
interfaces suivantes :
IDE
SCSI
Serial ATA
Avec l'apparition de la norme USB, des boîtiers externes permettant de connecter
un disque dur sur un port USB ont fait leur apparition, rendant le disque dur facile à
installer et permettant de rajouter de la capacité de stockage pour faire des
sauvegardes. On parle ainsi de disque dur externe par opposition aux disques durs
internes branchés directement sur la carte mère, mais il s'agit bien des mêmes
disques, si ce n'est qu'ils sont connectés à l'ordinateur par l'intermédiaire d'un
boîtier branché sur un port USB.
25. b- Structure:
Un disque dur est constitué non pas d'un seul
disque, mais de plusieurs disques rigides (en anglais
hard disk signifie disque dur) en métal, en verre ou
en céramique, empilés à une très faible distance les
uns des autres et appelés plateaux (en anglais
platters).
Les disques tournent très rapidement autour d'un
axe (à plusieurs milliers de tours par minute
actuellement) dans le sens inverse des aiguilles
d'une montre. Un ordinateur fonctionne de manière
binaire, c'est-à-dire que les données sont stockées
sous forme de 0 et de 1 (appelés bits). Il existe sur
les disques durs des millions de ces bits, stockés
très proches les uns des autres sur une fine couche
magnétique de quelques microns d'épaisseur, elle-
même recouverte d'un film protecteur.
La lecture et l'écriture se fait grâce à des têtes de
lecture (en anglais heads) situées de part et
d'autre de chacun des plateaux. Ces têtes sont des
électro-aimants qui se baissent et se soulèvent pour
pouvoir lire l'information ou l'écrire. Les têtes ne
sont qu'à quelques microns de la surface, séparées
par une couche d'air provoquée par la rotation des
disques qui crée un vent d'environ 250km/h ! De
plus ces têtes sont mobiles latéralement afin de
pouvoir balayer l'ensemble de la surface du disque
26. Cependant, les têtes sont liées entre elles et seulement une seule tête peut lire ou écrire à un moment
donné. On parle donc de cylinder pour designer l'ensemble des données stockées verticalement sur la
totalité des disques.
L'ensemble de cette mécanique de précision est contenu dans un boîtier totalement hermétique, car la
moindre particule peut détériorer la surface du disque. Vous pouvez donc voir sur un disque des
opercules permettant l'étanchéité, et la mention "Warranty void if removed" qui signifie littéralement
"la garantie expire si retiré" car seuls les constructeurs de disques durs peuvent les ouvrir (dans des
salles blanches, exemptes de particules).
c-fonctionnement:
Les têtes de lecture/écriture sont dites « inductives », c'est-à-dire qu'elles sont capables de générer
un champ magnétique. C'est notamment le cas lors de l'écriture : les têtes, en créant des champs
positifs ou négatifs, viennent polariser la surface du disque en une très petite zone, ce qui se traduira
lors du passage en lecture par des changements de polarité induisant un courant dans la tête de
lecture, qui sera ensuite transformé par un convertisseur analogique numérique (CAN) en 0 et en 1
compréhensibles par l'ordinateur.
Les têtes commencent à inscrire des données à la périphérie du disque (piste 0), puis avancent
vers le centre. Les données sont organisées en cercles concentriques appelés « pistes », créées par
le formatage de bas niveau.
Les pistes sont séparées en quartiers (entre deux rayons) que l'on appelle secteurs, contenant les
données (au minimum 512 octets par secteur en général).
27. On appelle cylindre l'ensemble des données situées sur
une même piste sur des plateaux différents (c'est-à-dire à
la verticale les unes des autres) car cela forme
On appelle enfin cluster (ou en français unité
d'allocation) la zone minimale que peut occuper un
fichier sur le disque. En effet le système d'exploitation
exploite des blocs qui sont en fait plusieurs secteurs
(entre 1 et 16 secteurs). Un fichier minuscule devra
donc occuper plusieurs secteurs (un cluster).
Sur les anciens disques durs, l'adressage se faisait
ainsi de manière physique en définissant la position de
la donnée par les coordonnées cylindre / tête / secteur
(en anglais CHS pour Cylinder / Head / Sector).
28. 3-mode de bloc:
Le mode bloc et le transfert 32 bits permettent d'exploiter pleinement les performances de
votre disque dur. Le mode bloc consiste à effectuer des transferts de données par bloc, c'est-
à-dire par paquets de 512 octets généralement, ce qui évite au processeur d'avoir à traiter
une multitude de minuscules paquets d'un bit. Le processeur a alors du "temps" pour
effectuer d'autres opérations.
Ce mode de transfert des données n'a malheureusement une véritable utilité que sous
d'anciens systèmes d'exploitation (tels que MS-DOS), car les systèmes d'exploitation récents
utilisent leur propre gestionnaire de disque dur, ce qui rend ce gestionnaire obsolète.
Une option du BIOS (IDE HDD block mode ou Multi Sector Transfer) permet parfois de
déterminer le nombre de blocs pouvant être gérés simultanément. Ce nombre se situe entre 2
et 32. Si vous ne le connaissez pas, plusieurs solutions s'offrent à vous :
Consulter la documentation de votre disque dur ;
Rechercher les caractéristiques du disque sur internet ;
Déterminer expérimentalement en effectuant des tests.
Le mode bloc peut toutefois générer des erreurs sous certains systèmes, à cause d'une
redondance de gestionnaire de disque dur. La solution consiste alors à désactiver l'un des
deux gestionnaires :
La gestion logicielle du mode 32-bit sous le système d'exploitation ;
Le mode bloc dans le BIOS.
29. Mode 32
bits:
Le mode 32 bits (par opposition au mode 16 bits) est caractérisé
par un transfert des données sur 32 bits. Le transfert sur 32 bits
correspond à 32 portes qui s'ouvrent et se ferment
simultanément. En mode 32 bits, deux mots (ensemble de bits)
de 16 bits sont transmis successivement, puis assemblés.
Le gain de performance lié au passage du mode 16 bits au mode
32 bits est généralement insignifiant. Quoiqu'il en soit il n'est la
plupart du temps plus possible de choisir le mode, car la carte
mère dértermine automatiquement le type de mode à adopter en
fonction du type de disque dur.
La détermination automatique du mode 32 bits peut toutefois
ralentir les lecteurs de CD-ROM IDE dont la vitesse est
supérieure à 24x lorsqu'ils sont seuls sur une nappe IDE. En
effet, dans le cas où le lecteur de CD-ROM est seul sur la nappe,
le BIOS peut ne pas détecter sa compatibilité avec le mode 32
bits (puisqu'il cherche un disque dur), auquel cas il passe en
mode 16 bits. La vitesse de transfert (appelée par abus de
langage taux de transfert) est alors en dessous du taux de
transfert annoncé par le constructeur.
La solution dans ce genre de cas consiste à brancher sur la
même nappe que le lecteur de CD-ROM un disque dur supportant
le mode 32 bits.
30. Caractéristiques techniques
• Capacité : volume de données pouvant être stockées sur le disque.
• Taux de transfert (ou débit) : quantité de données pouvant être lues ou écrites sur le disque par unité de temps. Il
s'exprime en bits par seconde.
• Vitesse de rotation : vitesse à laquelle les plateaux tournent, exprimée en tours par minutes (notés rpm pour rotations
par minute). La vitesse des disques durs est de l'ordre de 7200 à 15000 rpm. Plus la vitesse de rotation d'un disque est
élevée meilleur est le débit du disque. En revanche, un disque possédant une vitesse de rotation élevé est généralement
plus bruyant et chauffe plus facilement.
• Temps de latence (aussi appelé délai rotationnel) : temps écoulé entre le moment où le disque trouve la piste et le
moment où il trouve les données.
• Temps d'accès moyen : temps moyen que met la tête pour se positionner sur la bonne piste et accéder à la donnée. Il
représente donc le temps moyen que met le disque entre le moment où il a reçu l'ordre de fournir des données et le
moment où il les fournit réellement. Il doit ainsi être le plus court possible.
• Densité radiale : nombre de pistes par pouce (tpi: Track per Inch).
• Densité linéaire : nombre de bits par pouce sur une piste donnée (bpi: Bit per Inch).
• Densité surfacique : rapport de la densité linéaire sur la densité radiale (s'exprime en bits par pouce carré).
• Mémoire cache (ou mémoire tampon) : quantité de mémoire embarquée sur le disque dur. La mémoire cache permet de
conserver les données auxquelles le disque accède le plus souvent afin d'améliorer les performances globales ;
• Interface : il s'agit de la connectique du disque dur. Les principales interfaces pour disques durs sont les suivantes :
• IDE/ATA ;
• Serial ATA ;
• SCSI ;
• Il existe par ailleurs des boîtiers externes permettant de connecter des disques durs en USB ou firewire.
31. 2-CD-ROM:
Le Compact Disc a été inventé par Sony et Philips en 1981 afin de constituer un support audio
compact de haute qualité permettant un accès direct aux pistes numériques. Il a été officiellement
lancé en octobre 1982. En 1984, les spécifications du Compact Disc ont été étendues (avec l'édition
du Yellow Book) afin de lui permettre de stocker des données numériques.
a-La géométrie du CD:
Le CD (Compact Disc) est un disque optique de 12 cm de diamètre et de 1.2 mm d'épaisseur
(l'épaisseur peut varier de 1.1 à 1.5 mm) permettant de stocker des informations numériques,
c'est-à-dire correspondant à 650 Mo de données informatiques (soient 300 000 pages
dactylographiées) ou bien jusqu'à 74 minutes de données audio. Un trou circulaire de 15 mm de
diamètre en son milieu permet de le centrer sur la platine de lecture.
b-La composition du CD:
Le CD est constitué d'un substrat en matière plastique (polycarbonate) et d'une fine pellicule
métallique réfléchissante (or 24 carat ou alliage d'argent). La couche réfléchissante est recouverte
d'une laque anti-UV en acrylique créant un film protecteur pour les données. Enfin, une couche
supplémentaire peut être ajoutée afin d'obtenir une face supérieure imprimée.
32. La couche réfléchissante possède de petites alvéoles.
Ainsi lorsque le laser traverse le substrat de
polycarbonate, la lumière est réfléchie sur la couche
réfléchissante, sauf lorsque le laser passe sur une
alvéole, c'est ce qui permet de coder l'information.
Cette information est stockée sur 22188 pistes
gravées en spirales (il s'agit en réalité d'une seule
piste concentrique).
Les CD achetés dans le commerce sont pressés, c'est-
à-dire que les alvéoles sont réalisées grâce à du
plastique injecté dans un moule contenant le motif
inverse. Une couche métallique est ensuite coulée sur
le substrat en polycarbonate, et cette couche
métallique est elle-même prise sous une couche
protectrice.
Les CD vierges par contre (CD-R) possèdent une
couche supplémentaire (située entre le substrat et la
couche métallique) composée d'un colorant
organique (en anglais dye) pouvant être marqué (le
terme brûler est souvent utilisé) par un laser de forte
puissance (10 fois celle nécessaire pour la lecture).
C'est donc la couche de colorant qui permet
d'absorber ou non le faisceau de lumière émis par le
laser.
33. c-Fonctionnement:
La tête de lecture est composé d'un laser
(Light Amplification by Stimulated Emission
of Radiation) émettant un faisceau lumineux
et d'une cellule photoélectrique chargée de
capter le rayon réfléchi. Le laser utilisé par
les lecteurs de CD est un laser infrarouge
(possédant une longueur d'onde de 780 nm)
car il est compact et peu coûteux. Une
lentille située à proximité du CD focalise le
faisceau laser sur les alvéoles.
Un miroir semi réfléchissant permet à la
lumière réfléchie d'atteindre la cellule
photoélectrique, comme expliqué sur le
dessin suivant :
34. Un chariot est chargé de déplacer le miroir de façon à
permettre à la tête de lecture d'accéder à l'intégralité
du CD-ROM.
On distingue généralement deux modes de
fonctionnement pour la lecture de CD :
La lecture à vitesse linéaire constante (notée CLV
soit constant linear velocity). Il s'agit du mode de
fonctionnement des premiers lecteurs de CD-ROM,
basé sur le fonctionnement des lecteurs de CD audio
ou bien même des vieux tourne-disques. Lorsqu'un
disque tourne, la vitesse des pistes situées au centre
est moins importante que celle des pistes situées sur
l'extérieur, ainsi il est nécessaire d'adapter la vitesse
de lecture (donc la vitesse de rotation du disque) en
fonction de la position radiale de la tête de lecture.
Avec ce procédé la densité d'information est la même
sur tout le support, il y a donc un gain de capacité.
35. D-Bus d'extension:
On appelle bus d'extension (parfois Bus de périphérique ou en anglais expansion bus) les bus possédant des connecteurs permettant
d'ajouter des cartes d'extension (périphériques) à l'ordinateur. Il existe différents types de bus internes normalisés caractérisés par :
Leur forme,
Le nombre de broches de connexion,
Le type de signaux (fréquence, données, etc).
Le bus ISA
La version originale du bus ISA (Industry Standard Architecture), apparue en 1981 avec le PC XT, était un bus d'une largeur de 8 bits
cadencé à une fréquence de 4,77 MHz.
En 1984, avec l'apparition du PC AT (processeur Intel 286), la largeur du bus est passée à 16 bits et la fréquence successivement de
6 à 8 MHz, puis finalement 8,33 MHz, offrant ainsi un débit théorique maximal de 16 Mo/s (en pratique seulement 8 Mo/s dans la
mesure où un cycle sur deux servait à l'adressage).
Le bus ISA permettait le bus mastering, c'est-à-dire qu'il permettait de communiquer directement avec les autres périphériques sans
passer par le processeur. Une des conséquences du bus mastering est l'accès direct à la mémoire (DMA, pour Direct Memory Access).
Toutefois le bus ISA ne permettait d'adresser que les 16 premiers mégaoctets de la mémoire vive.
Jusqu'à la fin des années 1990 le bus ISA équipait la quasi-totalité des ordinateurs de type PC, puis il a été progressivement
remplacé par le bus PCI, offrant de meilleures performances.
Connecteur ISA 8 bits :
36. Connecteur ISA 16 bits :
Le bus MCA
Le bus MCA (Micro Channel Architecture) est un bus propriétaire amélioré conçu par IBM en
1987 afin d'équiper leur gamme d'ordinateurs PS/2. Ce bus, d'une largeur de 16 et 32 bits,
était incompatible avec le bus ISA et permettait d'obtenir un taux de transfert de 20 Mo/s.
Le bus EISA
Le bus EISA (Extended Industry Standard Architecture), a été mis au point en 1988 par un
consortium de sociétés (AST, Compaq, Epson, Hewlett-Packard, NEC, Olivetti, Tandy, Wyse
and Zenith), afin de concurrencer le bus propriétaire MCA lancé par IBM l'année précédente.
Le bus EISA utilisait des connecteurs de même dimension que le connecteur ISA, mais avec
4 rangées de contacts au lieu de 2, permettant ainsi un adressage sur 32 bits.
Les connecteurs EISA étaient plus profonds et les rangées de contacts supplémentaires
étaient placées en dessous des rangées de contacts ISA. Il était ainsi possible d'enficher une
carte ISA dans un connecteur EISA. Elle rentrait cependant moins profondément dans le
connecteur (grâce à des ergots) et n'utilisait ainsi que les rangées de contacts supérieures
(ISA).
37. Notion de bus local
Les bus d'entrée-sortie traditionnels, tels que le bus ISA, MCA ou EISA, sont directement reliés
au bus principal et sont donc forcés de fonctionner à la même fréquence, or certains
périphériques d'entrée-sortie nécessitent une faible bande passante tandis que d'autres ont
besoin de débits plus élevés : il existe donc des goulots d'étranglement sur le bus (en
anglais le terme « bottleneck », littéralement « goulot de bouteille » est couramment utilisé).
Afin de remédier à ce problème l'architecture dite de « bus local » (en anglais local bus)
propose de tirer partie de la vitesse du bus processeur (FSB) en s'interfaçant directement sur
ce dernier.
Le bus VLB
En 1992 le bus local VESA (VLB pour VESA Local Bus) a été mis au point par l'association
VESA (Video Electronics Standard Association sous l'égide de la société NEC) afin de proposer
un bus local dédié aux systèmes graphiques. Il s'agit d'un connecteur ISA 16-bits auquel vient
s'ajouter un connecteur supplémentaire de 16 bits :
Le bus VLB est ainsi un bus 32-bit prévu initialement pour fonctionner à une fréquence de 33 MHz
(fréquence des premiers PC 486 de l'époque). Le bus local VESA a été utilisé sur les modèles
suivants de 486 (respectivement 40 et 50 MHz) ainsi que sur les tout premiers Pentium, mais il a
rapidement été remplacé par le bus PCI.
38. LES PORTS D’UN ORDINATEUR
• PRENONS L'EXEMPLE DE CET ORDINALORSQUE VOUS OBSERVEZ UN ORDINATEUR,
VOUS POUVEZ VOIR QU’IL EXISTE DIFFÉRENTS TYPES DE PRISES, APPELÉES "PORTS".
CEUX-CI PERMETTENT DE CONNECTER DE NOUVEAUX PÉRIPHÉRIQUES À VOTRE
ORDINATEUR.
• TEUR PORTABLE SUR LEQUEL ON TROUVE
39. 1.LES PORTES USB:
• 1.USB TYPE A:
• LE PORT USB DE TYPE A EST LE PLUS
CONNU ET LE PLUS COURAMMENT
UTILISÉ. IL EST FACILEMENT
RECONNAISSABLE PAR SA FORME
RECTANGULAIRE. ON LE RETROUVE
GÉNÉRALEMENT SUR LA
GRANDE MAJORITÉ DES APPAREILS
NUMÉRIQUES : ORDINATEURS, CLAVIERS,
SERVEURS, ETC.
• IL S’AGIT ÉGALEMENT DU TYPE DE PORT
USB UTILISÉ SUR LES CLÉS USB
PERMETTANT UNE CONNEXION SIMPLE ET
RAPIDE À N’IMPORTE QUEL APPAREIL AFIN
40. 2.USB TYPE B
• DANS L’UNIVERS MUSICAL, CE PORT USB EST LARGEMENT UTILISÉ. VOUS LE
RETROUVEREZ RÉGULIÈREMENT SUR NOS FICHES PRODUITS. NOUS PROPOSONS
DE NOMBREUX CÂBLES USB AFIN DE RELIER PAR EXEMPLE VOTRE ORDINATEUR À
VOTRE DAC EXTERNE.
• LES APPAREILS HIFI TELS QUE LES AMPLIFICATEURS, LECTEURS RÉSEAU, DAC
AUDIO OU ENCORE SERVEURS AUDIO INTÈGRENT TRÈS SOUVENT UN PORT USB-
B. IL SE DISTINGUE DE L’USB-A PAR SA FORME LÉGÈREMENT ARRONDIE EN COIN.
41. 3.USB TYPE C
• APPARU EN 2014, L’USB TYPE C VISE
À SIMPLIFIER LA NORME USB POUR QU’ELLE NE
REPOSE PLUS QUE SUR CET UNIQUE
CONNECTEUR. DANS LES ANNÉES À VENIR, CE
CONNECTEUR EST PRÉVU POUR REMPLACER
L’ENSEMBLE DES CONNECTEURS USB ACTUELS,
Y COMPRIS LES TRADITIONNELS USB-A, USB-B,
MINI-USB ET MICRO-USB. IL S’AGIT DU FUTUR
CONNECTEUR USB UNIVERSEL. CE TYPE D’USB
EST MULTI USAGES PUISQU’IL PEUT
TRANSMETTRE AUSSI BIEN DES DONNÉES, DE
LA VIDÉO, QUE DU COURANT. LE PRINCIPAL
AVANTAGE DE CE CONNECTEUR EST QU’IL NE
DISPOSE PAS D’UN SENS DE BRANCHEMENT. IL
PEUT ÊTRE BRANCHÉ DANS UN SENS COMME
DANS L’AUTRE. AUJOURD’HUI, L’ON RETROUVE
CE CONNECTEUR USB SUR DE NOMBREUX
APPAREILS, NOTAMMENT SUR CERTAINS
SMARTPHONES, TABLETTES, ORDINATEURS
42. 4.MICRO-USB
• LE MICRO-USB EST ANNONCÉ EN 2007 POUR RÉPONDRE, ENCORE UNE FOIS, À LA
COMPACITÉ TOUJOURS PLUS IMPORTANTE DES APPAREILS NUMÉRIQUES. DE CETTE FAÇON,
LE MICRO-USB EST ENCORE PLUS FIN QUE LE MINI-USB. LE CONNECTEUR MICRO-USB EST
À PEU PRÈS 2 FOIS MOINS ÉPAIS QUE LE CONNECTEUR MINI-USB.
• LE PORT MICRO-USB A LONGTEMPS ÉTÉ CONSIDÉRÉ COMME LE PORT USB DE
CHARGEMENT UNIVERSEL. IL EST TRÈS SOUVENT UTILISÉ SUR LES SMARTPHONES ET
TABLETTES ANDROID AFIN DE RECHARGER CES PÉRIPHÉRIQUES.
•
43. 2.LES DIFFERENTS PORTS VIDEO:
1.PORT HDMI
• HDMI (HIGH-DEFINITION MULTIMEDIA INTERFACE) EST UNE INTERFACE AUDIO/VIDÉO
ENTIÈREMENT NUMÉRIQUE NON COMPRESSÉE. ELLE OFFRE UNE QUALITÉ AUDIO ET
VIDÉO ENTIÈREMENT NUMÉRIQUE EXCEPTIONNELLE, UNE DIFFUSION AUDIO ET VIDÉO
ENTIÈREMENT NUMÉRIQUE VIA UN SEUL CÂBLE.
•
44. 2. LE PORT VGA:
VIDEO GRAPHICS ARRAY (VGA) EST UN STANDARD D'AFFICHAGE POUR
ORDINATEURS LANCÉ EN AVRIL 1987 PAR IBM AVEC LA MISE EN MARCHÉ DE LA
GAMME PS/2, EN MÊME TEMPS QUE LE MCGA, EN TANT QU'AMÉLIORATION DES
STANDARDS EGA (640 × 350) ET CGA.
LES CÂBLES VGA SONT LES MÊMES POUR LES DIFFÉRENTES RÉSOLUTIONS :
VGA, SVGA, XGA, SXGA, UXGA, QXGA. LA QUALITÉ ET LA LONGUEUR DU CÂBLE
PEUVENT CEPENDANT AVOIR UNE IMPORTANCE POUR LA QUALITÉ DES PLUS
HAUTES RÉSOLUTIONS.
45. 3.DISPLAY-PORT:
• EN MILIEU INFORMATIQUE, LE CÂBLE DISPLAYPORT EST UTILISÉ POUR FAIRE LA
LIAISON ENTRE LA CARTE MÈRE D'UN PC ET SON MONITEUR. EN EFFET, SA
PERFORMANCE EST NETTEMENT MEILLEURE QUE LE HDMI AVEC UNE VITESSE DE
TRANSFERT DE 21,6 GBIT/S SUR 4 CANAUX. DE PLUS, IL PEUT SUPPORTER UNE
RÉSOLUTION DE 3840 X 2160 OU 4K.
46. 3.LES PORTES OUDIO:
• LE PORT AUDIO, SOUVENT DE COULEUR VERTE,
VOUS PERMET DE BRANCHER DES HAUT-
PARLEURS OU DES ÉCOUTEURS À VOTRE
ORDINATEUR. LE PORT MICROPHONE,
GÉNÉRALEMENT ROSE, VOUS PERMET DE VOUS
BRANCHER À UN MICROPHONE EXTERNE. CES
PORTS PERMETTENT UNE ENTRÉE ET UNE SORTIE
AUDIO, ESSENTIELLES POUR DES TÂCHES COMME
LES VIDÉOCONFÉRENCES OU L’ÉCOUTE DE
MUSIQUE
47. 4. PORT SERIE:
• 1.QU'EST-CE QU'UN PORT SÉRIE ?
Un port COM est une interface série bidirectionnelle permettant d'envoyer et de recevoir des données bit par
bit.
Le port série est apparu bien avant les ordinateurs personnels à architecture IBM. Sur les premières
machines, le port COM était utilisé pour connecter des périphériques. Cependant, son domaine d'utilisation
était quelque peu différent de celui du port parallèle. Si le port parallèle était principalement utilisé pour
connecter des imprimantes, le port COM (soit dit en passant, COM est le diminutif de communication) servait
habituellement à connecter des périphériques de télécommunication tels que des modems. Mais des
périphériques tels que des souris série peuvent également interagir avec un ordinateur via une interface série.
48. 2.LES PRINCIPAUX PARAMÈTRES DES
PORTS COM
UN PORT COM COMPORTE LES PARAMÈTRES DE BASE SUIVANTS :
L'ADRESSE DU PORT D'E/S DE BASE ;
LE NUMÉRO IRQ (INTERRUPTION) ;
LA TAILLE D'UN BLOC D'INFORMATIONS ;
LA VITESSE DE TRANSMISSION DES DONNÉES ;
LE MODE DE DÉTECTION DE LA PARITÉ ;
LA MÉTHODE DE CONTRÔLE DU FLUX ;
LE NOMBRE DE BITS D'ARRÊT.
49. 3. LES AVANTAGES DE LA TRANSMISSION
DE DONNÉES SÉRIE
LA COMMUNICATION SÉRIE A BESOIN DE MOINS DE FILS CONDUCTEURS, CE QUI
RÉDUIT LE COÛT DE FABRICATION DE L'INTERFACE.
ELLE PERMET LA TRANSMISSION DE DONNÉES SUR DE LONGUES DISTANCES.
ELLE UTILISE UN FAIBLE NOMBRE DE FILS, GÉNÉRALEMENT UN SEUL, CE QUI
SIMPLIFIE AU MAXIMUM L'INTERFACE ENTRE LES PÉRIPHÉRIQUES ENVOYANT ET
RECEVANT DES DONNÉES.
LES PROTOCOLES SÉRIE SONT FACILES À IMPLÉMENTER.
50. 5.TYPES DE PORTS SÉRIE
• IL EXISTE DIFFÉRENTS TYPES D'INTERFACES DE COMMUNICATION DE DONNÉES,
ET CHACUNE EST CONÇUE POUR UNE UTILISATION SPÉCIFIQUE EN FONCTION DE
LA STRUCTURE DE PROTOCOLE ET DES PARAMÈTRES REQUIS. PARMI LES
INTERFACES SÉRIE, NOUS POUVONS CITER CAN, RS-232, RS-485, RS-422, I2C,
I2S, LIN, SPI ET SMBUS, MAIS RS-232, RS-485 ET RS-422 RESTENT LES PLUS
FIABLES ET LES PLUS COURANTES.